Sunday, December 19, 2010

JE VEUX POUR LA NOUVELLE ANNÉE AU MOINS UN FEFAN BIEN PLANTÉ OLÉ OLÉ OLÉ !


Les CHaudrons ont entrepris leur long voyage traditionnel du temps des Fêtes. Ils disputent sept matchs de suite à l'étranger. Nous ne serons pas débarrassés des fefans pour autant. On en verra un paquet faire les caves dans les arénas et dans les lieux publics des villes visitées par la CHiasse. Imbibés de robine, impolis, grossiers, colons, se croyant maîtres partout parce qu'ils revêtent le chandail du torCHon, ils feront encore honte à l'ensemble des Québécois. En effet, les Américains qui les voient faire des fous d'eux-mêmes, pensent que tous les Québécois et les Canadiens sont aussi épais que ça dans la vraie vie. Hochant la tête en signe de découragement, les citoyens des USA ne peuvent que nous plaindre d'habiter un pays où les gens sont si idiots et ne savent pas vivre... Fiers et patriotiques, les gens de Détroit n'ont pas laissé les fefans prendre le contrôle de la foule lors d'une récente défaite des CHieux contre leurs Red Wings. Ils ont vite étouffé les "Olé Olé Olé" des moronréalaids en les enterrant sous des huées. Puis en les surclassant par des cris d'encouragement à l'équipe locale. Pour leur donner une bonne leçon et les remettre à leur place, les partisans des autres clubs devraient faire comme ceux des Flyers (photo ci-dessus) qui s'arrangent pour fermer la gueule des opposants trop baveux. J'adorerais qu'une photographie ou une vidéo montre au monde entier un fefan se faire tabasser de la sorte. Puisque c'est la seule façon de leur apprendre la politesse et de leur faire prendre leur trou quand ils sont à l'étranger... Ça ferait un beau cadeau de fin d'année aux anti-habs !

D'ailleurs, un peu partout, les fefans se font ridiculiser, et se font traiter de singes bottés sans personnalité quand ils entonnent ces chants (Olé Olé Olé) copiés sur ceux des fans de soccer Européens. Des suiveux et des moutons... Ils n'ont pas assez de faire rire d'eux en raison de leurs comportements d'arriérés, ils en remettent en portant parfois le gilet "poteau de barbier" (photo à gauche), ou uniforme de prisonniers des Frères Dalton, dans lesquels ils sont aussi imbéciles qu'ils en ont l'air. C'est très caractéristique de leur part de se croire encore à l'époque de plus en plus lointaine du CH glorieux. De vivre dans le passé des nombreuses Coupe Stanley. Mais même à ce compte, même si par miracle du Saint Frère André le club des Molson était aujourd'hui champion, les fefans ne seraient pas justifiés d'écoeurer les amateurs de hockey des autres villes en étant aussi arrogants. La modération a bien meilleur goût, y compris à Mourial, où des brigands portant le torCHon bleu, blanc rouge, s'amusent à faire des émeutes, ces dernières années. Des émeutes qui ternissent l'image déjà pas si reluisante de leur bidonville de BS. Et qui nous font passer pour une bande de sauvages non civilisés... Mauvaise année au CH, à tous les fefans, et à leurs sympathisants !

Tuesday, December 14, 2010

China should be colonised says Nobel Prize winner Liu Xiaobo.

The media furore over the awarding of the Nobel Prize for peace to the Chinese dissident Liu Xiaobo is yet another egregious example of European moral decadence. The Nobel Prize for peace has always served to bolster US and European imperial interests, with past prizes going to war criminals such as Henry Kissinger and Barack Obama.
But this year's prize smacks of unmitigated pusillanimity.

Liu Xiaobo was inprisoned in China due to his subversive political activity. It is difficult to judge the particular circumstances of this repression, but let's take a brief look into this man's past.
What does Xibao favour in China? What is his vision for a 'New Democratic China'? In an interview in 1988, Xiaobo the freedom fighter said he believed China needed up to three hundred years of colonisation in order to acquire 'democratic values' comparable to the West. He has never renounced these views.

In the nineteenth Century China was occupied by Western powers. Britain's Opium Wars against China had reduced the Chinese population to servitude and misery. When the Chinese communists arrived in Shanghai in 1949, they found a city of down-trodden drug addicts. China under Western colonisation was not a democracy.
When the United States declared War on Iraq in 2003, Xiaobo told a Swedish human rights activist that he fully suppported the war.

In Xiaobo's political manifesto one can read his project for a new China. He hopes to see a radical privatisation of all land, similar to the seigneurial system of China's past, where foreign investors could buy up large tracts of land and apartments,virtually re-colonising China.

Once again the august Nobel Prize committee has chosed a champion of peace and human rights. Xiaobo has been an indefatigable proponent of war, colonisation, greed and mayhem. This man, considered a criminal and a traitor in his native country, this champion of war, advocate of colonisation and the 'human right' to exploit and be exploited, the human rights of countries to be bombed and invaded by the United States, is a most worthy recipient of this Year's Nobel Prize for Peace.

Monday, November 8, 2010

PANTHERS : LE DOSSIER MOEN N'EST PAS FERMÉ...


Même si les justiciers (durs à cuire ou batailleurs) des Panthers de la Floride n'ont pas réglé le cas de Travis Moen lorsqu'ils ont affronté le torCHon le 30 octobre dernier au Centre PouBell, ça ne signifie absolument pas que l'affaire (voir article précédent) a été reléguée aux oubliettes. L'attaque sauvage et particulièrement dégueulasse du gros sale des Caca sera vengée un jour ou l'autre, probablement en Floride, où des officiels favorables aux CHieux ont moins de chance de se trouver... Idéalement, c'est la victime de Moen, le jeune Erik Gudbranson (photo ci-dessus le montrant après que Moen l'ait frappé violemment alors que l'arbitre le retenait contre la bande), qui aurait été le mieux placé pour rendre la monnaie de sa pièce à son sournois agresseur. Mais voilà, le récent choix de repêchage des Panthers a été surpris par la lâcheté et le caractère dangereux des gestes du 32 moronréalaid, et il ne savait pas quoi faire dans les circonstances. Après la fin du match, Gudbranson a déclaré qu'il aurait pu se libérer de l'emprise de l'officiel et «casser le nez» de Moen. Il a préféré attendre une autre occasion...

Cependant, cette occasion ne se présentera pas durant la présente saison puisque, faute de s'entendre sur un contrat avec les Cats, Gudbranson a été retourné à son équipe junior. Au moment des malheureux incidents, le policier des Panthers, Andrew Peters, n'était pas dans l'alignement mais il avait pris bonne note de la "faute impardonnable" de Moen. Il lui réservait un chien de sa chienne en temps et lieu. Le dossier Moen a encore changé de mains toutefois puisque Peters a été échangé avant le début de la campagne. Pour les "jobs de bras", les Panthers sont allés chercher Darcy Hordichuk chez les Canucks de Vancouver. Ses nouveaux coéquipiers lui ont expliqué ce qui s'était passé à Mourial en match pré-saison et l'homme fort est bien au fait du dossier qui, a-t-il confirmé, aura des suites...fâcheuses pour monsieur Moen...

Tuesday, September 28, 2010

LES PANTHERS RÉSERVENT UN CHIEN DE LEUR CHIENNE À MOEN...


Le 22 mars dernier, dans une rencontre opposant les CHaudrons de MortYial aux Sénateurs d'Ottawa, Travis Moen (à gauche sur la photo) a quitté la patinoire en saignant comme un coCHon, après avoir été atteint au visage par le patin de Matt Cullen. Résultats : une coupure de près de dix centimètres, cinquante points de suture et une face à la Frankenstein (à droite sur la photo). Une expérience apeurante et pénible pour le gros CHieux de 6' 2", 216 livres. Son oeil gauche n'a pas été endommagé, mais c'est passé tout près. Avec un tel visage, Moen n'aurait pas eu besoin de masque pour passer l'Halloween. Mais le 31 octobre prochain, jour de cette lugubre fête de la peur, le numéro 32 du torCHon pourrait bien avoir encore le portrait magané et un faciès de monstre d'Halloween s'il n'en tient qu'à Andrew Peters, le dur à cuire des Panthers de la Floride.

C'est que Peters, ses coéquipiers et son coach Peter Deboer sont furieux contre Moen après le traitement qu'il a réservé au jeune Erik Gudbranson, (premier choix des Panthers au repêchage de cette année) dans le match hors-concours d'hier au Centre Bell. Peters n'était pas de l'alignement mais il compte bien régler son cas à Moen lors de la prochaine partie opposant les deux équipes, le 30 octobre, à la veille de... l'Halloween. Le matamore du bleu, blanc, merde, qui est devenu un spécialiste des coups CHiens, a plaqué Evgeny Dadonov par derrière, et Gudbranson a voulu s'en prendre à lui pour venger son coéquipier victime de ce coup dangereux et déloyal, un "cheap shot". Au moment où il voulait engager le combat contre Moen, le garçon d'à peine 18 ans a été retenu par un arbitre, qui l'a du même coup "cloué" dans la bande. Pendant qu'il avait les bras "barrés" par l'officiel, Moen s'est approché et lui a assené deux violents coups de poing, un à la tête et un uppercut directement dans l'oeil. Le pauvre Gudbranson, paralysé par l'arbitre, était dans une position vulnérable et il était incapable de se défendre.


Dans le vestiaire, après la partie, le jeune joueur avait le visage tuméfié, la joue fendue et un oeil enflé, résultats des gestes stupides et lâches de Moen. De son côté, DeBoer condamnait sans appel ces "sucker punches", surtout à l'endroit d'un quasi-adolescent. Les joueurs des Panthers n'en revenaient pas non plus. Le commentaire qui revenait le plus souvent : «s'attaquer à un jeune de 18 ans, ça ne prend pas beaucoup de courage». Les Panthers réservent un CHien de leur CHienne, à Moen. Ce dernier s'est caché après la rencontre, il s'est déguisé en courant d'air ou en fantôme (en prévision de l'Halloween ?) et il n'était pas disponible pour parler aux médias. Jacques "les oreilles dans le crin" Martin a fait l'hypocrite comme d'habitude en affirmant qu'il n'avait pas vu l'incident en question. Une attitude de jaunes et de couillons qui fait lever le coeur... Tout simplement dégueulasse et honteux... On ne peut que souhaiter que Peters soit de la formation qui affrontera le torCHon le 30 octobre, pour qu'il apprenne à Moen que ce qu'il a fait est scandaleux et pitoyable.


L'an dernier, la CHiasse a fait signer un contrat de trois ans (4,5 M.) à Moen pour qu'il abatte la sale besogne pour eux. Il s'est acquitté de sa tâche durant la première moitié de la saison, mais il est devenu invisible par la suite. Tout le monde s'entend pour dire que le natif de la Saskatchewan, âgé de 28 ans, n'a aucun talent naturel pour jouer au hockey. Ce n'est pas avec sa piètre fiche de huit buts et onze passes (taux de réussite de 7,5% par tir au but) qu'il peut rendre service aux CHieux. Ni en gagnant une mise au jeu sur quatre (25%) et en accumulant 57 minutes de punition... Dans la catégorie des +/-, il a encore fini dans le rouge (-2). Pas fameux pour un joueur défensif. Et ses problèmes ne datent pas d'hier (- 54 en carrière). Et ils ne sont pas finis non plus... Peters l'attend de pied ferme et avec une brique et un fanal, le 30 octobre. L'heure terrible du châtiment aura sonné... On peut enfreindre les règlements dans la NHL, mais on ne viole pas impunément les règles non écrites qui défendent à des grosses têtes de lard comme Moen, d'attaquer sournoisement des enfants de 18 ans comme Gudbranson... Que justice soit faite et honte aux Cannes à CHiens !

Wednesday, July 7, 2010

Democracy Now loves the CIA's Dalai Lama!


The independent media station Democracy Now is one of the most well known 'progressive' media outlets. However, the news station has shown a startling blindness when it comes to investigating covert CIA activities. This is quite apparent from its coverage of lesser known geo-political problems and genocides caused by the United States and its allies such as the Darfur crisis, a US destabilization campaign to control Sudanese oil resources, the Rwandan genocide carried out by Pentagon-trained dictator Paul Kagame with full US backing,and of course Tibet.


Here once again Democracy Now has done its job of steering the 'left' into ideologically confused waters. Amy Goodman enthusiastically greets the Tibetan despot and CIA agent the Dali Lama with fawning questions concerning peace and human rights.The Tibetan 'exiled community' and their descendants are of course experts on questions concerning peace and human rights having enslaved and brutalized the entire Tibetan population for centuries before the arrival of the Chinese Liberation Army in 1950. One would almost suspect from Mrs Goodman's tone that she and the CIA's old tyrant in robes have some deep 'spiritual' connection.

Notice the imperious attitude of the Dalai Lama towards his servile interpreter!Tibet's spiritual leader displays a decidedly poor command of English to boot.Having spent years outside his native land, traveling the world spreading the 'message' of Tibetan buddhism, earning over 200,000 dollars from the CIA per annum for terrorist activities against the Chinese government, one would think the least he could do is employ the services of a competent teacher.Oh, I beg your pardon your holiness, I meant language serf!
http://www.democracynow.org/blog/2010/5/24/amy_goodman_questions_dalai_lama_about_iraq_and_afghanistan_wars_and_about_tibet

Monday, July 5, 2010

P.K. SUBBAN SUR LES TRACES DE AL JOLSON


Première vedette du cinéma parlant dans le film Jazz Singer, le chanteur et acteur Al Jolson était spectaculaire sur scène. On dit qu'il subjuguait son public parce que chaque personne dans la salle avait l'impression qu'il chantait et performait pour elle seule, en particulier. Durant sa longue carrière (1911-1950) il a soulevé les foules et il fut le premier artiste à vendre un million de copies d'un disque. Jolson gesticulait beaucoup et il avait énormément de charisme. En regardant P.K. Subban jouer la comédie lors du match où les CanaCHiens ont été éliminés par les Flyers, le 24 mai dernier, j'ai été frappé par la ressemblance entre lui et Al Jolson. Le Jolson suppliant que l'on voit sur la photo est en tout point identique au Subban qui a prié l'arbitre de donner un quatre minutes de punition à un joueur des Flyers qui l'avait à peine effleuré au passage vers la fin de la partie. Se faisant saigner lui-même en écrasant ses grosses babines, le jeune défenseur du torCHon a tellement bien acté que l'officiel est tombé dans le panneau et a donné une double mineure au joueur de Philadelphie. Du grand art ! C'était alors 3-2 pour les Flyers, et cette pénalité aurait pu changer l'issue de la rencontre. Malheureusement pour "l'oscarisable" P.K., les Caca n'ont pu marquer et ils ont dû plier l'échine.


Conscient que son attitude fanfarone (il avait prédit que le CH gagnerait la Coupe), ses revirements coûteux et ses erreurs grossières avaient pesé lourd dans la débandade de son équipe en finale de Conférence de l'Est, la recrue des CHieux avait la mine basse après la dernière scène (photo ci-haut).


Il faut dire que le réveil était plutôt brutal pour le jeune blanc bec de la CHiasse. Tout le long de la série, les robustes Flyers lui ont montré comment ça se jouait en éliminatoires dans la LNH. Ils ont été sans pitié pour lui et sa bande de mauviettes. Par grands bouts, Subban a dû s'ennuyer de sa mère... Dans les deux dernières joutes, le 76 de la Guenille a été particulièrement pathétique. Les Flyers ont voulu lui montrer que son comportement arrogant et ses facéties de "fakeux" n'avaient pas leurs places chez les pros, surtout de la part d'une verte recrue qui n'a encore rien prouvé "en haut". Ils ont fait par exprès pour le frapper après les coups de sifflets. Parfois, P.K. a répliqué et à dû aller méditer au banc des punitions sur son inexpérience et sa stupidé. En d'autres occasions il a fait la "mémère" en chiâlant et en se plaignant aux arbitres. Disgrâcieux...pas digne d'un vrai homme.


Pourtant au début des playoffs, lorsqu'il se contentait de bien jouer sa position en défensive, de ne pas essayer de trop en faire, Subban a eu du succès. Faut croire que, par la suite, il s'est enflé la tête et s'est pris pour la vedette qu'il était dans les mineures. On l'a vu se lancer dans des montées d'un bout à l'autre de la patinoire. Sauf que les résultats n'ont pas été les mêmes que ceux qu'il a récoltés chez les Bull Dogs de Hamilton de la AHL. Au lieu de marquer des buts ou d'attirer les joueurs adverses vers lui avant de refiler le disque à des coéquipiers libres dans l'enclave, P.K. s'est fait rentrer dans la bande, a perdu la rondelle, se l'est fait enlever et/ou s'est ramassé sur le cul. De cette position, il était aux premières loges pour voir les opposants déclencher une contre-attaque et profiter de son absence en défense pour marquer en surnombre (3 contre 2 ou 2 contre 1). Un désastre...


Peu importe sa déconfiture finale, Piqué des vers Subban a une importante légion de fefans qui l'adore toujours. Ça se comprend, ils sont faits pour aller ensemble : prétentieux, grandes gueules, gesticulants, olé olé... Au plus noir des deux saisons précédentes, quand les Anti-Habs raillaient les fefans et leur club de pioCHes, les plus fanatiques Flanelleux serraient les dents en disant : "attendez que P.K. Subban arrive, ça va être à notre tour de rire". Oui, ils s'en promettaient beaucoup, mais ils devront encore patienter. C'est encore nous-autres qui avons ri les derniers... Que les victoires chanceuses contre Washington et Pittsburgh aient été plus que suffisantes aux fefans pour s'emballer, faire une émeute et croire en la Coupe Stanley; que les dingues des Caca aient vu en Subban un sauveur et un autre Bobby Orr; toute cette folie n'aura rendu que plus cuisante encore l'élimination en trois blanchissages et en cinq petits matchs de leur club de schtroumfs par les guerriers des Flyers. Des CHaudrons collants et sales qui ont été lavés, frottés à la laine d'acier et rincés à la grande eau...

Fidel Castro says world war is imminent

La felicidad imposible
4 Julio 2010 68 Comentarios

Prometí que sería el hombre “más feliz del mundo si estaba equivocado” y desgraciadamente mi felicidad duraría muy poco.

Todavía no ha concluido la Copa Mundial de Fútbol. Faltan aún seis días para el partido final.

¡Qué extraordinaria oportunidad se perderán posiblemente el imperio yanki y el Estado fascista de Israel para mantener apartadas las mentes de la inmensa mayoría de los habitantes del planeta de sus problemas fundamentales!

¿Quién se habrá percatado de los siniestros planes del imperio con relación a Irán y sus burdos pretextos para agredirlo?

Al mismo tiempo me pregunto: ¿qué hacen por primera vez los buques de guerra israelitas en los mares del Golfo Pérsico, el Estrecho de Ormuz y las áreas marítimas de Irán?

¿Es posible imaginar que de allí se marcharán los portaaviones nucleares yankis y los buques de guerra israelitas con el rabo entre las piernas, cuando se cumplan los requisitos contenidos en la Resolución 1929 del 9 de junio de 2010 aprobada por el Consejo de Seguridad de Naciones Unidas, que mantiene la autorización para la inspección de los buques y aeronaves iraníes con la posibilidad de llevarla a cabo en el territorio de cualquier Estado y que esta vez autoriza a hacerlo a los buques en altamar?

La Resolución establece también que no se realizaría la inspección de los buques iraníes sin el consentimiento de Irán. En ese caso, la denegación sería objeto de análisis.

Otro elemento añadido es la posibilidad de confiscar lo inspeccionado, si se confirma que incumple lo dispuesto por la Resolución.

Un Irán desarmado fue víctima de aquella cruel guerra con Iraq en la que masas de Guardianes de la Revolución limpiaban los campos de minas avanzando sobre las mismas.

Este no es el caso de hoy. Expliqué en Reflexiones anteriores que Mahmud Ahmadineyad fue jefe de los Guardianes de la Revolución en el Oeste de Irán, que llevó el peso principal de aquella guerra.

Años más tarde, un gobierno de Iraq envalentonado envió el grueso de su Guardia Republicana y se anexó el Emirato Árabe de Kuwait rico en petróleo, que fue presa fácil.

El gobierno de Iraq mantenía con Cuba estrecha amistad y se le prestaba, desde los tiempos en que no estaba en guerra con nadie, importantes servicios de salud. Nuestro país trató de persuadirlo de que abandonara Kuwait, y pusiera fin a la guerra que había provocado a partir de puntos de vista erróneos.

Hoy se conoce que una mediocre embajadora yanki, que sostenía con el Gobierno de Iraq excelentes relaciones, lo indujo al error cometido.

Bush padre atacó a su antiguo amigo dirigiendo una potente coalición con una fuerte composición árabe-musulmana-sunita de países que abastecen de petróleo a gran parte de las naciones industrializadas y ricas, la cual avanzó desde el Sur de Iraq para cortar la retirada a la Guardia Republicana que se replegaba hacia Bagdad, la que por prudencia de la Infantería de Marina y las Fuerzas Armadas de Estados Unidos -bajo la dirección de Colin Powell, general con prestigio, y posteriormente Secretario de Estado de George W. Bush- escapó hacia la capital de Iraq.

Por pura venganza, contra ella utilizaron los proyectiles contaminados con uranio empobrecido con los que por primera vez experimentaron el daño que podrían ocasionar en los soldados adversarios.

El Irán al que en este momento amenazan, con sus ejércitos de aire, mar y tierra, de religión musulmana-chiíta, en nada se parece a la Guardia Republicana que atacaron impunemente en Iraq.

El imperio está a punto de cometer un impagable error sin que nada lo pueda impedir. Avanza inexorablemente hacia un siniestro destino.

Lo único que puede afirmarse es que hubo cuartos de final en la Copa Mundial de Fútbol. De ese modo los fanáticos del deporte pudimos disfrutar los emocionantes partidos en que vimos cosas increíbles. Se afirma que, en 36 años, el equipo de Holanda no perdía un viernes en partidos de la Copa Mundial de Fútbol. Únicamente gracias a las computadoras podría sacarse esa cuenta.

El hecho real es que Brasil fue eliminado de los cuartos de final de la Copa.

Un juez dejó a Brasil fuera de la misma. Al menos esa fue la impresión que no se cansó de repetir un excelente narrador de la televisión cubana. Después la FIFA declaró que era correcta la decisión arbitral.

Más adelante, el mismo juez dejó a Brasil con 10 jugadores en un momento decisivo, cuando faltaba todavía más de la mitad del segundo tiempo del partido. Con seguridad que esa no fue nunca la intención del árbitro.

Ayer fue eliminada Argentina. En los primeros minutos el equipo alemán, a través del mediocampista Müller, sorprendió a la confiada defensa y al portero argentino logrando obtener un gol.

Con posterioridad, no menos de 10 veces los delanteros argentinos, por una del equipo alemán, no lograron un gol.

Por el contrario, el equipo alemán anotó tres más, y hasta Angela Merkel, Canciller Federal de Alemania, aplaudía rabiosamente.

Así, nuevamente, uno de los equipos favoritos perdió. De ese modo, más del 90% de los fanáticos del fútbol en Cuba quedaron estupefactos.

La inmensa mayoría de los amantes de ese deporte ni siquiera saben en qué continente está Uruguay. Un final entre países europeos será lo más descolorido y antihistórico desde que nació ese deporte en el mundo.

En cambio, ocurrieron hechos en la esfera internacional que no tienen nada que ver con los juegos de azar y sí con la lógica elemental que rige los destinos del imperio.

Una serie de noticias vieron la luz los días 1, 2 y 3 de julio.

Todas giran en torno a un hecho: las grandes potencias representadas en el Consejo de Seguridad de Naciones Unidas con derecho al veto, más Alemania, instaron el dos de julio al Gobierno de Irán a dar “una pronta respuesta” a la invitación que se le hiciera para retornar a las negociaciones por su programa nuclear.

El Presidente Barack Obama firmó el día anterior una Ley que amplía las medidas existentes contra los sectores energético y bancario de Irán, y podría penalizar a compañías que realicen negocios con el Gobierno de Teherán. Es decir, el bloqueo riguroso y el estrangulamiento de Irán.

El Presidente Mahmud Ahmadineyad afirmó que su país retomará las conversaciones a fines de agosto y destacó que en las mismas deben participar países como Brasil y Turquía, los dos únicos miembros del Consejo de Seguridad que se opusieron a las sanciones el 9 de junio.

Un funcionario de alto rango de la Unión Europea advirtió, despectivamente, que ni Brasil ni Turquía serán invitados a participar en las conversaciones.

No hace falta más para sacar las conclusiones pertinentes.

Ninguna de las dos partes cederá; una, por el orgullo de los poderosos, y otra, por la resistencia al yugo y la capacidad para combatir, como ha ocurrido tantas veces en la historia del hombre.

El pueblo de Irán, una nación de milenarias tradiciones culturales, se defenderá sin duda alguna de los agresores. Es incomprensible que Obama crea seriamente que se plegará a sus exigencias.

El Presidente de ese país y sus líderes religiosos, inspirados en la Revolución Islámica de Ruhollah Jomeini, creador de los Guardianes de la Revolución, las Fuerzas Armadas modernas y el nuevo estado de Irán, resistirán.

A los pueblos pobres del mundo, que no tenemos la menor culpa del colosal enredo creado por el imperialismo, ubicados en este hemisferio al Sur de Estados Unidos, los demás situados al Oeste, Centro y Sur de África, y los otros que puedan quedar indemnes de la guerra nuclear en el resto del planeta, no nos queda otra alternativa que enfrentar las consecuencias de la catastrófica guerra nuclear que en brevísimo tiempo estallará.

Desdichadamente no tengo nada que rectificar y me responsabilizo plenamente con lo escrito en las últimas Reflexiones.

Wednesday, June 16, 2010

LARAQUE SE SERA MOQUÉ DU CANACHIEN JUSQU'AU BOUT...


Il faut toujours se méfier des grandes trappes comme celle de Georges Laraque. Le torCHon et son ex-grand timonier Bob "dégainé" Gainey ont payé cher (4 millions de dollars plus le discrédit de leur organisation, aussi bonne en hockey que les citadins bourgeois des ARPENTS VERTS l'étaient en agriculture) pour avoir ignoré ce précepte. Avec sa grande gueule, Big Georges a réussi à vendre un produit avarié (lui) au boss des CHaudrons. Habile funambule du mensonge, il pouvait faire croire n'importe quoi et...son contraire. Après que Laraque ait lancé sa poudre de Perlimpinpin aux yeux de Gainey, celui-ci n'y a vu que du feu, lui faisant signer un contrat de 4,5 millions de $ pour trois ans, pendant que le batailleur savourait, d'abord en silence puis ouvertement, sa belle prise (Bob) roulée dans la farine.

Au moment de congédier le batailleur de couleur, le printemps dernier, Silent Bob admettait que Laraque l'avait bien eu en le tournant en bourrique. En plus, comble du ridicule et de la malchance, pendant que Gainey faisait son annonce, trois escarmouches éclataient derrière lui, sur la patinoire pendant la pratique de ses protégés. Cammalleri en venait aux coups avec Josh Gorges. Puis il livrait ensuite un match de "pousse-toi, pousse-moi" avec Laroche Lapierre avant de se faire prendre à la gorge par l'assistant-entraîneur Kirk Muller qui lui intimait l'ordre de se calmer le pompon. Un peu plus tard, Travis Moen et un autre joueur décidaient de s'escrimer à coups de bâtons devant le filet. "Quelle famille", comme disait Janette Bertrand ! Encore un manque de pot, Gainey avait voulu mettre le gros Georges à la porte au début de l'année, mais le terrible tremblement de terre en Haïti était venu contrecarrer ses plans et l'a forcé à retarder une décision qui aurait fait mal paraître la direction du torCHon (bof ! une de plus ou de moins...)


Dire qu'il y a quatre ou cinq ans, le gros beu d'origine haïtienne avait déclaré, à sa manière bouffone habituelle, qu'il aimerait mieux prendre sa retraite que de jouer pour la Guenille. Faut croire que Gainey n'était pas à l'écoute ou que Laraque lui a dit le contraire lors des pourparlers qui ont mené à la signature de son mirobolant contrat, avec clause de non-mouvement (ne pouvait être envoyé dans les mineures), s.v.p. ! Pauvre Bob D.G., tous sauf lui, étaient au courant que Laraque en avait arraché dans les derniers mois de son association avec les Penguins de Pittsburgh. Toujours blessé, il se plaignait souvent d'un mal de dos chronique (difficilement vérifiable, comme tous les bénéficiaires de la CSST le savent, ha ! ha ! ha !).

Comme de fait, le nouveau pugiliste des CHieux se présenta au camp d'entraînement dans une condition physique lamentable. Il se rapportait en plus à un coach (Carbonneau) qui ne voulait pas de lui. Pas difficile de comprendre que Laraque n'était guère motivé et vaillant sur la patinoire. Et qu'il préféra rester à l'écart le plus possible, sauf pour faire le clown dans le vestiaire et constituer une distraction de première qualité pour le reste de l'équipe. Tout en encaissant joyeusement son gros chèque de paye et en jouant les vedettes auprès des représentants des médias et des fefans. Les joueurnalissssssses étaient ravis, car avec ses déclarations aussi savoureuses qu'idiotes, Laraque leur donnait de la bonne copie.

Même les publicistes courraient après lui pour le faire jouer...dans des commerciaux. On se souvient surtout de sa participation à la publicité sur la boisson énergisante OCTANE (photo et caricature ci-dessus). Et de la fureur qu'elle a déclenchée chez les féministes, accusant Laraque (et le CH par ricochet) du grave "crime" de machisme (sexiste). Par dessus le marché, en septembre dernier, Laraque était devenu le "délégué syndical" des joueurs de la CHiasse. Raison de plus pour se faire aller allègrement le mâche-patates en dissertant sur tous les sujets, beaux et laids. Et pour se mettre le pied dans la bouche plus souvent qu'à son tour, même après avoir juré qu'il ne parlerait plus aux scribes. Un vrai cirque ! Un délice pour les Anti-CH.


Mais là où Big Georges a vraiment péché, c'est au soir de l'humiliante élimination du torCHon, balayé en quatre matchs par Boston, en première ronde des séries, l'an dernier. Il avait pris la défense de Scary Price, qui venait de faire son imitation de Patrick Roy, en levant les bras au ciel après un arrêt facile pour lequel la foule des fefans du Centre Bell l'avait applaudi dérisoirement. Laraque avait alors mentionné que les fefans n'étaient pas de bons partisans, puisqu'ils descendaient leur club au lieu de le supporter, dans les moments difficiles. Un peu plus loin, l'instructeur des gardiens de buts, Roland Melanson, s'en prenait à la "crasse" en pointant du doigt les fefans de la zone Molson-Ex. Oooooouuuuuu... erreur fatale ! On n'attaque pas les fefans qui paient le gros prix pour voir jouer les Canailliens et acheter toute leur gamme de produits dérivés. Pierre Boivin et sa gang protègent leur clientèle comme un chien veille sur son os. Melanson et Laraque ont été expulsés de l'équipe, peu de temps après leurs déclarations intempestives.

À sa façon coutumière, en saltimbanque du langage, Laraque a quitté les Caca en affirmant, la main sur le coeur, que les fefans étaient les meilleurs partisans au monde. Sans doute pour les amadouer afin qu'ils donnent généreusement ($$$) à la cause qu'il venait d'endosser, c'est-à-dire, la reconstruction en Haïti. Profitant de son statut de vedette à la langue bien pendue, Laraque est retombé rapidement sur ses pattes en devenant porte-parole pour les VERTS et les groupes de défense des animaux. Fier végétalien, il n'a pas convaincu tout le monde de son sérieux, dans ce domaine. De mauvaises langues prétendent l'avoir vu parfois, se délectant de fast food (photo ci-haut). Ce ne serait pas la première ni la dernière fois que Big Georges mènent tout le monde en bateau...

Les Anti-Habs vont s'ennuyer de lui. Il avait le tour, comme personne, de ridiculiser les lèche-cul journalisssssses et l'organisation du CanaCHien. S'amusant comme un chat avec une souris...à moins que ce ne soit plutôt comme une mouche avec un tas de merde... Oui, il les a bien possédé les CHieux. Et ce, toujours avec un grand sourire. Comme l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours... En le foutant à la porte, Gainey et Jacques Martin l'ont traité de "pas bon". Ce qui n'a pas empêché Laraque d'encaisser les bonis des séries éliminatoires pour les victoires contre Washington et Pittsburgh. Sans compter le million de dollars qu'il empochera cette année, les deux pieds bien installés sur la bavette du poêle. Mort de rire ! Nous aussi !

Monday, June 7, 2010

Lukashenko. Europe's last democrat
















There is no other nation in Europe so maligned and demonised as Belarus. Since the pronouncement of former US Secretary of State Condolezza Rice in 2008 calling the democratically elected president of the country “Europe’s last dictator”, the image and reputation of this noble country has been callously tarnished.
Belarus is deeply familiar with the notion of dictatorship. They, more than any other country, suffered the worst of Nazi atrocities during World War 11.Belorussia has always been a multicultural country with Jews, Christians and Muslims living side by side for centuries. This deep tolerance for cultural and religious differences is still celebrated in Belarus today. Yet the European Union, Israel and their mafia don the United States, never cease from spreading atrocious lies and disinformation concerning the Republic of Belarus. This is because Belarus is a social democracy which refuses to take orders from the IMF, the World Bank and their geopolitical manifestations in the form of the United States, the European Union and their numerous vassel-states.

Unlike the crony regimes in Ireland, Romania, Poland and other states, you will not find complicity in crimes against humanity in Belarus. There are no CIA stop-overs like Shannon, no CIA run -prisons where innocent people are incarcerated without trial or due process and tortured. Unlike Poland, you will not find Belarussian shock troops in Iraq. Unlike Ireland, you will not find Belarussian ‘military advisors’ in the illegal occupation of Afghanistan. Belarussians will pay for their oil and energy resources unlike the US and NATO who will bomb and occupy all of Central Asia and most likely Iran in order to get control of oil and gaz under the pretext of ‘security'.

President Lukashenko, whose salary amounts to a modest 17,000 Euro per year, has no connections to multi-national corporations unlike the crooks in the US and the EU who accuse him of ‘human rights’ violations, corruption and ‘electoral fraud’.
Under Alexander Lukashenko, Belarus has enjoyed some of the highest living standards in the former Soviet Union with little over 1 percent unemployment. But, of course, this constitutes a severe violation of human rights. But isn’t Lukashenko the man who praised Hitler in an interview with the German paper Handelsblatt in 1995? Is that the anti-Semitic guy who called a Jewish town a pigsty. No my dear reader. That is most definitely not he! The interview with Dr. Martin Zeiner was cleverly mistranslated to include references to Hitler. This was confirmed by the interviewer himself who said “"a tape of the interview had been quoted out of context and with the sequence of comments altered” Only an idiot would fall for such lies and only scoundrels like the BBC would repeat them.

Lukachenko is a communist and has spoken out against fascism on numerous public occasions. As for anti-Semitism and the pig-sty comment, the Belarussian president was actually praising the Jews. What he was trying to say is that Belarus is trying to encourage Jews to stay and that the town in question which once had a thriving Jewish community, is now a pigsty since they left for Israel. In spite of the fact that the chief Rabbi of Belarus has praised the Belarussian president for his kindness to the Jewish community, the EU and the US seem to think that Lukachenko is ‘anti-Semitic’ and also opposes ‘free media’. In 2000, a synagogue in Minsk was the victim of an arson attack from a racist group. This patsy group claims to be pro-Lukachenko. They are one of the many groups financed by the United States. When the president condemned the attack and outlawed their racist publications, the US and the EU condemned him for ‘cracking-down’ on the ‘free media’

The list of accusations against the Belarus president is impressive and shows just how effective the agents of capitalism are at destroying social democracies. For example, Amnesty International, whose former board director was US national security advisor Zbigniew Brzezinski, published a report accusing the Belarus President of countless ‘human rights’ violations. Among the absurd claims made by Amnesty International is that the scientist Yury Bandazhevsky is a ‘prisoner of conscience’ He was arrested and charged for accepting bribes from student’s parents. This is a crime for which he was justly punished.
As for the arrest of members from so-called ‘opposition groups’ Zubr and Kmara, it is a well-documented fact that these groups are financed by the United States, who has declared itself an enemy of Belarus. The financing of opposition groups in the United States by state openly hostile to the US government is illegal, with the notable exception of Israel. I haven’t seen any Amnesty International criticism of this.

The Belaurus government has also been accused of internet censorship and media control.Th is claim is absolute nonsense. The Open Net Initiative carried out a study recently to see if the claims about Internet censorship were true. They found “found no evidence of systematic and comprehensive interference with the Net. Any regime-directed tampering that may have taken place was fairly subtle, causing disruptions to access, but never turning off the alternative information tap”
Much of this misinformation concerning the Belarus media comes from Reporters Without Borders, another phony US-funded pressure group which targets any government who does not support the Washington Consensus. Reporters Without Borders rarely criticise the totalitarian control exercised by corporations over the media in the United States.

The US finances over 300 ‘pro-democracy’ NGOs in Belarus whose job is to spread neo-liberal dictatorship and fascism to a population happy with the system they have. In 2000, President Clinton appointed Micheal Kozak as US ambassador to Belarus. Kozak is a great champion of human rights. He oversaw the ‘humanitarian’ massacres of the US –trained contra rebels in Nicaragua under the Reagan regime. The contras slaughtered entire villages killing over 30,000 innocent men, women and children. Kozak later told the London Times that the the US ‘democracy’ mission in Belarus would be similar to those in Nicaragua. The EU is firmly behind the US mission threatening sanctions and spreading lies about repression and electoral fraud. But as we in Ireland know too well, the EU seems to have a problem with election results it doesn’t like. So what can we say about Lukashenko? He is anti-racist, anti-war, anti-corruption, pro-democracy and pro-freedom. Yep, he’s definitely Europe’s last dictator!

The problem with Belarussians is that they just don’t understand what we Europeans mean by liberty, democracy and ‘European values’. But don’t worry, we’ll teach them!

Saturday, May 22, 2010

COUPS EN VACHE ET COUPS DE LANGUES BRUNES...


Pour la première fois en dix-sept ans, le torCHon a franchi la deuxième ronde des séries éliminatoires de la Coupe Stanley. L'effet est prodigieux ! Beaucoup de ceux (celles) qui se moquaient des CHieux, il n'y a pas si longtemps, ne jurent maintenant que par eux. Belle bande d'hypocrites ! Même d'anciens joueurs des Nordiques supportent l'ennemi, à présent. Histoire d'attirer la sympathie des nouveaux fefans et de récolter leurs piastres dans les bars sportifs ou les commerces où ils sont patrons, et où ils cherchent à obtenir leur part de la "manne" des récents succès des CHaudrons. En d'autres lieux et en d'autres circonstances, on taxerait cette opération séduction, de véritable prostitution.

C'est pour le moins un coup en vache, c'est-à-dire, un coup de pied de côté, une traîtrise, que les partisans, demeurés fidèles aux Nordiques, n'ont pas vu venir... Ce lichage de culs bleu, blanc, rouge fait peine à voir. Il fait lever le coeur des Québécois qui ont dernièrement repris espoir de retrouver leur club de la LNH, dans la foulée d'une nouvelle prospérité animant une fierté revigorée par le succès des Fêtes du 400e anniversaire de la cité de Champlain.

Préférer s'acoquiner avec les fefans émeutiers et les vandales de Mourial, faut pas s'aimer... Quand on pense un peu à ce que ça représente MortYial : corruption des enveloppes brunes, repère de la pègre, incompétence et malhonnêteté des élus et des employés municipaux, gangs de rues criminalisés, bidonville pollué et sale, plaque tournante de l'entrée de la drogue en Amérique du Nord (port de Mourial). Le reflet de cette pourriture, ce sont les dossiers accablants qui sont l'objet d'enquêtes au moment où j'écris ces lignes. Le symbole de cette honte, c'est le Stade Olympique, qui a saigné les Québécois de plus de 1,1 milliard de dollars. Un scandale qui ne sera jamais égalé.

Rappelons que la gangrène moronréalaise atteint même la Sainte (?) Flanelle. L'an passé, le journal LA PRESSE a fait état de la liaison d'au moins trois CHieux (Hamrlik et les frères Kostitsyn) avec un membre de la pègre de MortYial. Plusieurs rumeurs ont également circulé sur d'autres affaires criminelles (viol, détournements de mineurs, beuveries, histoires de moeurs) impliquant des porte-merde des Cannes à CHiens. La plupart des individus soupçonnés ont été échangés à d'autres clubs ou ne sont plus avec le super Canaillien de Mourial. Bref, le CH a étouffé ($$$) ces scandales dans l'oeuf... Une équipe et une ville pourries, qui se méritent bien l'une l'autre...

Parfois je fais le cauchemar d'avoir un certificat de naissance moronréalaid et un passeport m'identifiant à la métropauvre. Quand je me réveille et que je me rends compte que ce n'est pas vrai, je passe une merveilleuse journée ! Honte aux vire-capots et aux nouveaux lèche-culs des CHieux ! Vous vous déshonorez de la pire façon... Il n'y aura pas de place pour vous les traîtres, dans le nouveau Colisée où évolueront les nouveaux Nordiques, dans quelques années... Les VRAIS partisans des Fleurs-de-lysés vous renient...

On the necessity of a thorough de-Trotskization of the left



"in place of finding myself face to face with a political chief who was directing the struggle for the liberation of the working class, I found myself before a man who desired nothing more than to satisfy his needs and desires of vengeance and of hate and who did not utilize the workers' struggle for anything more than a means of hiding his own paltriness and despicable calculations.

... in connection with this house, which he said very well had been converted into a fortress, I asked myself very often, from where had come the money for such work. . . . Perhaps the consul of a great foreign nation who often visited him could answer this question for us... .

It was Trotsky who destroyed my nature, my future and all my affections. He converted me into a man without a name, without country, into an instrument of Trotsky. I was in a blind alley. . . . Trotsky crushed me in his hands as if I had been paper."

Ramon Mercader, the man who saved the USSR from a fascist collaborator called Trotsky.



Reading an article by John Waters in the Irish Times recently criticising the activities of the Socialist Workers Party, I was surprised for once to find myself actually agreeing with him, but for all the wrong reasons. I can scarcely imagine ever having agreed with John Waters but I am glad to say that I do agree with him on this issue.

I was struck by the comment John made concerning the protests of the Socialist Workers Party, SWP outside the Dáil. I fully support protests but I do not,however, subscribe to the ‘ideology’ of the SWP. John, citing the work of Slavov Zizek, pointed out the paradox that radical demonstrations, far from being a critique of the bourgeois order, in fact, validate the freedoms granted under that order. There is a certain truth in this but Waters seems to think that the SWP advocates some form of radical revolutionary change. Waters, I believe, unwittingly, points at the central problem concerning the SWP, namely that it is as though capitalism itself had created the space for them to exist, that, far from offering a radical alternative to capitalism, the SWP are in fact a creation of capitalism itself.

Historically this is absolutely true. The key figure mentioned here by Waters is of course Leon Trotsky, the favourite counter-revolutionary of ‘Socialist Workers’. Leon Trotsky is perhaps one of the greatest liars in modern history and those political groups who still admire him, are tragically clinging on to a vicious falsification of left-wing history by claiming that Trotsky was the ‘true revolutionary’ and the ‘real successor to Lenin’. Lenin despised Trotsky and never ceased to point out his mistakes, his bumptious ego and his factional activity within the Bolshevik party in the former USSR. The usual phrase thrown out about Trotsky is that he was the ‘architect of the October Revolution’. This is indeed what Trotsky thought of himself but it bears no reflection on reality. Trotsky only joined the Bolshevik party when they were about to cease power in 1917. He was as Lenin described him an ‘opportunist’.

For years, he had vilified Lenin and the Bolsheviks, supporting every kind of right-wing policy disguised in left-wing jargon. Months before the Bolshevik revolution of 1917 while, Lenin , Stalin and others were working indefatigably at organising party activity, Trotsky was wining and dining in New York with the high and mighty of the capitalist world. The only contribution to the October Revolution by Trotsky was his command of the Red Army. The essence of a bourgeois army commander is to dictate and Trotsky was certainly a ruthless disciplinarian and dictator. In fact, most soldiers of the Red Army hated him for his dictatorial methods. He never ceased to criticise what he called the ‘Stalinist bureaucracy’ ignoring the fact that Lenin’s chief criticisms of Trotsky concerned his ‘tendency’ to couch right wing ideology in left wing slogans and that he devoted himself almost exclusively to ‘administrative matters’, in other words ‘bureaucracy’.

However, when it came to politics Trotsky, the disciplinarian and bureaucrat, refused to submit to the agreed rules of inter-party democracy. When his own right-wing ideas were defeated at party congresses, he reacted by forming his own faction, the so-called Trotsky-Bukharinite block.

In the famous Moscow‘show trials’ of 1937, many members of Trotsky’s ‘Leningrad Centre’ faction were accused of having conspired with Nazi Germany and Imperialist Japan in order to form a fascist puppet regime after a joint Nazi-Japanese invasion of the USSR. Trotsky was, of course, living in exile; but his terrorist faction had been infiltrated by the NKVD, the state security police. The prosecution produced a plethora of documentary evidence to convict the men of treason. Realising that they were caught, they all confessed to their crimes, blaming their gang leader Trotsky for their treasonous plans. The trials were observed by many Western diplomats who all concluded that they had been conducted fairly and that there was no question concerning the men’s guilt, including US president Roosevelt’s ambassador to Moscow Joseph E Davies. The Nazi minister for propaganda, Josef Goebbels, later wrote in his dairies, ‘The Fuhrer is furious with himself for having let himself be fooled by the potential of reports from his Bolshevik agents’. Hitler was indeed fooled but his arche nemesis Stalin was not! The trails were only deemed to be show trails after Soviet dictator Nikita khrushchev’s infamous ‘Secret Speech in 1956. But he has subsequently been shown by a number of historians to have been part of the self-same treasonous gang! Professor Grover Furr and Vladimir Bobrov have proven that every single anti-Stalinist tirade in Khushchev's 'Secret Speech' was a complete lie.It would not be too difficult to see why Khrushchev wanted to demonise Stalin.His economic policies were clearly a restoration of capitalism and his method of governance was far more dictatorial than his predecessor. In fact, Stalin had never been a dictator. He was elected by the party to take decisions in accordance with consensus of the central committee, who had the power to remove him at any time. As the great Irish communist Neil Goold Verschoyle pointed out:
‘Under capitalism a dictator may have great power because the powerful capitalist interests in the country agree to sink their differences and hand over the state to the control of one man pledged to suppress the people. But the Soviet Union is not a capitalist state, there are no powerful organised private interests’

Stalin offered to resign from the position of general secretary of the party no less than 4 times and criticised the 'cult of personality'on numerous occasions, a cult fanatically promoted by traitorous sycophants like Khrushchev who would later use it to denounce Stalin and destroy socialism in the USSR.

Stalin's work 'Economic Problems in the USSR' would not be published until 1978 when the Soviet Union was already in terminal decline. Trotsky's pathetic lies about Stalin and the Soviet Union were easily refuted by communist intellectuals of Trotsky's time who had traveled to the Soviet Union themselves. Jr Campbell's book 'Soviet Policy and its Critics' refutes Trotsky's lies one after the other with consumate ease. In the Spanish Civil War, the Trots helped the fascists to seize power by attacking the popular front to defend the Republic. Soviet foreign policy was based on Marxist principles applied to concrete reality. It was not dogmatic Marxism, but rather creative Marxism, that is to say Marxism-Leninism. The concrete reality after the failed revolutions in Germany was that socialism was unlikely to spread to Europe for some time. The Soviet Governement therefore judged that the best way to promote revolution was to build up socialist structures in the Soviet Union and conduct friendly relations with all other countries. The revolution would be permanent but in stages.Socialism in one country would lead to socialism in others. This policy initiatlly adumbrated by Lenin and later developed by Stalin subsequently proved to be correct with the victory of Mao in China, another revolution which Trotsky failed to understand.
By the time of the Spanish civil war, European nations were divided between bourgeois democracies where communist parties could agitate, albeit in a limited form, and fascist states where all oppposition to capitalism was outlawed. The Soviets therefore judged that a popular front composed of communist parties and progressive bourgeois elements to defend the gains of formal bourgeois democracy over fascist degeneration was the correct position to support in their foreign policy. There were, however, two principal forces that attacked this popular front, the Trotskyists and the fascists, the treason of the former ultimately leading to the rise of the latter.

The Trotskyite myth of Stalinist villainy was taken up by British intelligence agent George Orwell and subsequently re-layed by the film director Ken Loach. Shame on you Ken! Only ignoramuses, reactionaries and poor philosophers fall for Trotskyism. Yet there is, sadly, a plethora of such 'theorisits' still ranting and raving about their outcast 'prophet'.

George Orwell was not a fool but he was unquestionably a vicious reactionary. His only knowledge of the Soviet Union came, as he admitted, from the bourgeois press and, of course, Trotsky! Working for British intelligence, he submitted lists of writers who had actually visited and studied the Soviet Union for censorship; people like Anna Louis Strong, Walter Duranty, Sidney and Beatrice Webb and others.Once the left was split by Trotsky and Stalin's personality slandered by the traitor Khrushchev, the cold war historians delivered the coup de grace to history's greatest revolutionary Josef Stalin.Nazi sources of disinformation became the norm rather than the exception. Robert Conquest, another British intelligence agent, is the most notorious of the cold war sham historians.Aledandrre Adler, who has close connections with the CIA, is perhaps his equivalent in France.
By whom, then, was the ‘revolution betrayed’ to borrow another one of Trotsky’s phrases? By none other than himself! Shame on you SWP for promoting a convicted and proven fascist agent!

Monday, April 26, 2010

CAREY "HANNIBAL" PRICE


Difficile de trouver plus CHaudron que Carey Price, le choix de première ronde (5e rang) qui devait parfaire l'art de garder les buts et succéder glorieusement aux Patrick Roy, Ken Dryden et autres Jacques Plante de la "dynastique" Sainte Flanelle. Les fefans demandaient grâce pour lui, disant qu'il est jeune et qu'il va s'améliorer pour devenir dominant. Eh bien, c'est le contraire qui se produit ! Il s'enfonce de plus en plus dans la pourriture, blâme ses coéquipiers pour les sapins qu'il donne, perd les pédales à chaque fois qu'il encaisse une défaite. Résultat ? Les autres joueurs ne l'aiment pas et ils ne se forcent pas quand c'est Scary qui défend leur but; il est un des pires gardiens de la NHL : 38e pour les victoires (13), 31e pour la moyenne de buts alloués par partie (2,77), 53e pour les blanchissages (0). CHaudron percé...

On explique une partie des déboires de Price par le fait qu'il est un individu spécial, indiscipliné, foireux, négligeant et paresseux à l'entraînement. Dans les milieux anglophones, on le qualifie de "punk"...Il a la tête enflée et se prend pour Jesus Price. À l'extérieur de la patinoire, il se met en forme en...fumant des tonnes de cigarettes. Une n'attend pas l'autre. Dans une des photos du montage audio-visuel (voir en bas) que j'ai concocté, on le voit avec trois clopes au bec, pour faire son p'tit comique. CHaudron fumant...

Le gros problème de consommation excessive de boisson (et autres substances illicites) de Scary, est aussi bien documenté. Buvant de la robine avec ses amis morons, jusqu'aux petites heures du matin, des joueurs de la CHiasse ont révélé, sous le couvert de l'anonymat, que le cerbère névrosé portant le dossard no 31, arrivait parfois "CHaudasse" aux pratiques matinales, les yeux vitreux ou fermés, le teint vert, la bouche pâteuse et souffrant d'un visible mal de cheveux. CHaudron débordant...

Instable et inconstant devant sa cage, Carey de Price Krispies l'est tout autant dans sa vie amoureuse. On ne sait jamais s'il est encore en couple avec Angela Webber (par intermittence depuis six ans) ou s'il a pris congé d'elle pour se retrouver avec d'autres filles super sexy comme la pin-up que l'on voit ici, à gauche...

En tout cas, l'été dernier, Jacques "oreilles de bonhomme carnaval" Martin s'est rendu chez Scary, dans l'ouest du pays, pour l'inviter à plus de modération dans les clubs de nuit de Mourial. "Moins de beuveries, moins de pitounes = moins de buts accordés", lui a probablement dit le coach aux regards fuyants et au souffle court.

Bon, cet hiver, il semble que l'on a moins vu Price embrasser des bouteilles d'alcool et des femmes aux moeurs légères, mais pour la moyenne de buts accordés ça n'a pas marché... CHaudron brûlant...


Évidemment, ces privations et ces frustrations ont eu des conséquences néfastes sur le caractère et les comportements de ce digne descendant de la race amérindienne. Il est devenu plus colérique, violent et imprévisible que jamais. D'ailleurs, à ce chapitre, au moins, il est un des meilleurs portiers de la Ligue (6e) pour les punitions (8 min.).

Au cours de la saison, on l'a vu jouer du bâton comme d'un tomahawk, et vouloir se battre avec des joueurs adverses (ou de son propre groupe). Après son imitation bipolaire de Patrick Roy dans les séries le printemps passé, il a récidivé il y a quelques jours en lançant le disque vers les joueurs des Capitals après un but qui portait le score 4-2 en leur faveur.


Puis, quelques minutes plus tard en fin de match, dans un geste insensé, rappelant les agissements de fou furieux de Hannibal Lecter (photo ci-dessous), Scary, du banc des joueurs où on l'avait rappelé pour qu'il donne sa place à un sixième attaquant, a donné un coup de bâton à Nicklas Backstrom qui passait par là après avoir marqué dans un filet désert. Deuxième punition d'inconduite d'affilée pour Price et urgence de lui passer la camisole de force afin de prévenir un accident qui pourrait mettre en danger la vie des joueurs ou/et des spectateurs.

La prochaine fois que l'on sortira Hannibal Price d'un match, ce sera peut-être de cette façon (voir photo ci-dessous). On le conduira à l'asile, à moins qu'il n'ait été échangé à un autre club d'ici là, ce qu'il souhaite probablement et ce qui expliquerait possiblement sa conduite de fou à lier. CHaudron renversé...

Vous découvrirez d'autre preuves accablantes sur le cas de Carey dans le diaporama qui suit. Vous apprécierez, j'en suis sûr, le choix de musique qui accompagne les photos. Il s'agit d'une pièce intitulée ACT A FOOL de la formation Ludacris. Prenez plaisir à l'écouter. Certaines paroles de la chanson collent comme une seconde peau à notre ami Scary, le gardien d'avenir (!) sans garde-fous, des Caca ...


Monday, April 12, 2010

SERGEI KOSTITSYN A-T-IL PRIS SON TROU ?


Peu de choix de 7e ronde (200e, en 2005) ont fait autant parler d'eux que l'arrogant et fendant Sergei "grosse tétine" Kostitsyn. Ayant de graves problèmes d'attitude, il a volé à basse altitude (7 Buts -11 Aides-18 PTS) au cours de la saison qui se terminera bientôt pour les CHieux. Après ses fréquentations douteuses avec un membre du crime organisé (Pasquale Mangiola) inculpé pour trafic de drogue, le frère Sergei s'était attiré l'antipathie des autres joueurs des CHaudrons, allant même jusqu'à se battre contre Scott Gomez, au domicile de ce dernier, à la fin du camp d'entraînement, le 27 septembre 2009. Renommé pour être un foireux et un noceur, incarnant le type parfait de tout ce que les faiseurs d'images du torCHon désirent éviter à tout prix, le 74 des Canailliens a aussi développé des relations acrimonieuses avec les journalistes aplatventristes de Mourial. Les ayant traité de menteurs après le scandale dans lequel ils l'avaient impliqué, le cadet des frères K leur riait en pleine face lorsqu'ils osaient le questionner après les parties ou les entraînements.


À cause de ses coCHes mal taillées, et parce qu'il est stupide comme un fefan et paresseux comme un âne, Sergei a été renvoyé à Hamilton au club école des Cannes à CHiens (CHiens Bulldogs), par l'entraîneur Jacques Martin, insatisfait de son éthique de travail et surtout parce que le jeune fanfaron avait osé manquer l'autobus pour un match hors-concours à Québec. Une si belle ville dirigée par un si bon maire ! Remarquez que, puisque c'est un ivrogne solide, Sergei s'y connaît en matière de renvoi. Il a tant renvoyé après ses cuites et ses brosses multiples... Puisque le Night Life de Hamilton est nul à CHier, il était hors de question pour S.K.-74 d'aller dans ce trou pour y moisir. Autant aller en prison... On l'a suspendu (deux fois en trois semaines) sans salaire pour avoir désobéi aux ordres de la direction. Après l'intervention de son agent Don Meehan et des discussions avec Bob "l'éponge" Gainey, Sergei a fini par rentrer dans le rang et il est allé purger sa peine à Hamilton. Non pas sans avoir préalablement réclamé d'être échangé contre un paquet de gommes ballounes et un poster de Mike Ribeiro.

Rappelé par la CHiasse, pour combler l'absence de joueurs blessés, il a mangé son pain noir en bouchant les trous en désavantage numérique. Écoulant les punitions pour écouler la dernière année ($ 550 000) de son contrat. Il serait surprenant qu'il ait un avenir à Mourial, un bidonville sans avenir lui-même, au milieu des dépotoirs à ciel ouvert du quartier côtes-des-neiges. Repartant probablement et définitivement dans un "container" pour la Biélorussie, Sergei s'ajoutera donc à la liste de "flops" du club de la ville de Caïn : les Valentenko, Yemelin et autres Perezhogin. Un hommage à l'incompétence des hommes de hockey du Super CanaCHien de MortRyial. Dire que sur l'ancien site Anti-Habs, détruit par des fefans terroristes-émeutiers, un plouc genre ado aux dents cariées jurait dur comme fer que le CH était une dynastie et que Sergei Kostitsyn était un marqueur de trente buts dans la NHL... Ah ! Si jeunesse savait et si BS pouvait...

Wednesday, March 10, 2010

LE RETOUR À L'ÂGE DE...LAPIERRE

Décidément, c'est un tollé général contre Maxim "le cavernoman" Lapierre après son coup de couillon contre Scott Nichol des Sharks, dans le match de la semaine passée à San Jose. À entendre parler et à lire les reporters et les commentateurs, le geste du no 40 du torCHon nous ramènerait à l'âge de pierre, au temps préhistorique où les premiers ancêtres du genre humain ressemblaient encore beaucoup à des animaux.

Lapierre a blessé Nichol à l'épaule en le frappant sournoisement par derrière et en le projetant dangereusement contre la clôture. Il a écopé d'une suspension de quatre parties pour son acte de barbarerie. Le plus drôle c'est, qu'en se relevant, Nichol croyait que c'était le poltron à Markov qui lui avait fait ça ! Quel spectacle ce fut de voir Markov "le jaune" se défendre de toutes ses forces, pleurant dans son gilet et pissant dans sa culotte en jurant à Nichol que ce n'était pas lui le coupable ! Diantre qu'il avait peur de recevoir un coup sur la marboulette ! Quel pleutre !


Un des premiers à condamner La roche Lapierre a été Glen Healy, analyste à Hockey Night in Canada. Les caméras de HNC ont capté des images du cave des Canailliens, blaguant avec ses coéquipiers sur le banc des joueurs après son assaut contre le porte-couleur des Sharks. Il arborait un rictus sur sa gueule de sans génie, visiblement satisfait de son coup de coCHon impuni par les arbitres. Selon Healy, un tel comportement ajoutait l'insulte à l'injure. Ça ne fait pas longtemps que Lapierre est dans la Ligue, mais sa réputation de couillon est déjà faite.

David Pollak, du MERCURY NEWS, décrit l'attaque de la face à claques des CHieux comme étant un "cheap shot" de la pire sorte. Le comité de discipline de la NHL suspend Lapierre parce que son coup sur Nichol était en retard et à caractère "irresponsable". Kendall Lewis, du BLEACHER REPORT, est encore plus virulent, qualifiant le matamore des CHaudrons de "trou de cul", d'"idiot", de "vicieux", de "lâche", de "salaud". Il renchérit en soulignant que Nichol aurait pu rester paralysé après le geste "abominable" de Lapierre et que ce dernier discréditait le hockey aux yeux du nouveau public qui s'est mis à s'intéresser à ce sport grâce au battage médiatique qui a entouré la finale Canada-USA aux Jeux Olympiques de Vancouver.

Dans le même match à San Jose, on a eu d'autres exemples de couillonneries de la part du cave à Lapierre. Ci-dessus, il profite du fait que Jay Leach, le défenseur no 28 des Sharks, se chamaille avec Moen (32), pour le frapper au visage. Un deux contre un ! Pour le "fair play" et l'élégance, on repassera !

Heureusement pour les Cannes à CHiens, ils ont leurs employés du Réseau Bull Shit (RBS) pour les défendre. Le lèche-cul à Renaud Lavoie a plaidé en faveur de Lapierre en écrivant qu'il ne méritait pas une telle suspension. Quel mange-marde ! Ça fait pitié d'être ainsi à la solde de la mafia des Molson...