Ni pour les fefans bipolaires non plus, d'ailleurs. Il y a tout de même des partisans réalistes qui savent que le club des Molson est en décadence depuis plus de quinze ans, et qu'il n'est pas près de se sortir du trou. Ceux-là sont pas mal désillusionnés mais trouvent des trucs pour compenser leur déception lorsque les défaites de leurs pioCHeux s'annoncent assez tôt, et en haute définition (HD), les soirs de match, en écoutant les âneries de Pierrot le perdu, Benoît la langue brune, Popositif Demers et grand galop Bouchard à RBS (Réseau Bull Shit). Des trucs comme placer stratégiquement leurs bouteilles de bière en bas du frigo (photo) et demander gentiment à leur blonde, légèrement vêtue, d'aller leur chercher une bonne froide...
Les fêlés du CHaudron eux, continuent à croire à la dynastie du torCHon, comme Hitler croyait en un Reich allemand qui allait durer mille ans... Comme l'ancien dictateur qui pensait jusqu'à la fin, que des armes secrètes allaient lui faire gagner la guerre, les fefans sclérosés ont une confiance absolue en Bob Gainey, le messie qui va les conduire à la terre promise. Mais lorsque les Glorieux sont exclus des séries ou en sont balayés subito presto, comme le printemps dernier, les bipolaires intégristes de la religion de la CHiasse sont frustrés au max et se défoulent sur leur compagnes.
Une étude statistique révèle que lorsque le torCHon participe aux séries éliminatoires, le taux de violence conjugale à Montréal (région la plus violente au Québec après la Côte Nord) se situe entre 325 et 350 infractions par 100 000 habitants. Quand le CHiendent manque la grande danse de fin de saison, ce taux grimpe entre 400 et 420 cas rapportés à la police. Lors de la période 1999 à 2002 (l'âge d'or pour les Anti-Habs, quand Peanut Houle était DG) la violence conjugale à Mourial a atteint son paroxysme parce que les CHieux ont raté les séries durant trois saisons consécutives.
Bien que je me réjouisse des éliminations hâtives et des séries de défaites du torCHon, j'ai toujours une pensée un peu triste pour ces femmes qui payent de leur sang la bipolarité des fefans malades mentaux qui se déragent sur elles parce qu'elles ont le malheur d'être à leurs côtés, à la mauvaise place, au mauvais moment... Pitié pour les blondes de ces colons piqués de la rage du CH.