Sunday, October 30, 2011

LES EFFROYABLES ZOMBIS DU CH OBLIGÉS DE JOUER DU HOCKEY DE SÉRIES ÉLIMINATOIRES POUR SAUVER LEUR SAISON EN...OCTOBRE !


La fête de l'Halloween est associée à la peur et aux morts vivants (zombis).  Et cet automne on peut dire que les fefans du CH ont eu toute une frousse (une peur bleue) avec l'affreux début de saison de leur CHicolore.  Les CHaudrons célébreront l'Halloween après avoir sauvé les meubles (ou leur saison ?) grâce à trois victoires de suite contre Philadelphie et Boston.  Ils terminent le premier mois du calendrier avec dix points en onze parties.  Très ordinaire si on considère qu'ils ont joué sept de ces matchs à domicile et qu'ils n'ont gagné que contre un club faible (Winnipeg) et contre deux autres formations qui en arrachent.  En croisant le fer contre les Flyers privé d'un Pronger blessé, le torCHon a affronté un gardien, Bryzgalov, qui joue présentement le pire hockey de sa vie et qui aurait du mal à arrêter une rondelle en styrofoam de la grosseur d'une citrouille.  Quant aux Bruins, après un été court passé à festoyer avec la Coupe Stanley plutôt qu'à s'entraîner, leur manque de concentration, de motivation et de préparation expliquent peut-être leur début de campagne difficile.  C'est un peu normal : quand tu as tout donné et que tu as enfin tout gagné, le lendemain de veille peut être ardu et le désir de vaincre un peu "éméché".  Le Cacanadien a eu la chance de les rencontrer deux fois d'affilée en pareille situation, alors que les "B's" sont pas mal dans le brouillard.  Les Bruins vont se replacer.  Ils ont trop de talent et un alignement trop bien équilibré pour croupir longtemps dans la cave du classement.  Un peu comme au football américain, en commencement de saison, certains clubs surprennent agréablement (Ottawa qui vient d'en gagner six de suite et les Oilers 5 !) et d'autres déçoivent énormément, mais plus le temps passe, plus la situation de ces équipes revient à la normale ou à ce que l'on s'attendait d'elles.  La saison de hockey est longue et épuisante.  Bien des clubs l'amorcent comme un marathon ou un combat de boxe.  On n'y met pas toute la gomme pour se brûler.  Ce n'est pas un sprint.




Mais les CanaCHiens eux, après avoir semé la panique chez leurs partisans et les journaliCHeux en accumulant les défaites en début de saison, ont été obligé de jouer du hockey des séries en octobre pour éviter le pire.  Dans les deux affrontements contre les grands rivaux de Boston, Passoire Price a eu besoin que ses coéquipiers bloquent pas moins de cinquante tirs dirigés vers lui pour gagner ces matchs.  Certains de ces lancers avaient fait leur chemin derrière lui et Scary a vu deux ou trois de ses défenseurs se transformer en gardiens (comme en séries) pour stopper le disque qui s'en allait dans sa cage.  À huit ou neuf autres reprises, ce sont ses poteaux qui ont fait les arrêts...  Dans la deuxième partie à Mourial samedi, les CHieux ont aussi été aidés par les arbitres qui ont pénalisé les Bruins à tours de bras.  Quelques-unes de ces supposées infractions étaient tirées par les cheveux, dont une couple décernées après que Pédé Subban ait "faké" une blessure après avoir été effleuré par un joueur de Claude Julien (furieux avec raison derrière le banc).  Jacques "oreilles de Frankenstein" Martin a ramené Subbanane à l'ordre après son combat raté contre Marchand à Boston jeudi.  Incapable de se battre comme un homme, le 76 de la CHiasse a été invité à se concentrer sur ce qu'il fait le mieux : jouer la comédie, écoeurer le monde et faire prendre des punitions aux opposants.  Provoquer l'adversaire et se cacher ensuite derrière les arbitres si jamais le gars visé veut jeter les gants.  Pas très honorable comme comportement.  Il peut bien être hué partout où il va en-dehors de la métropauvre.


Au Québec comme dans le reste du Canada, le hockey soulève les passions des amateurs.  Quelques victoires ou quelques défaites collées de leur club favori, et on saute vite aux conclusions : "ça sent la Coupe" ou "ça sent le prozac" !  En Anti-Habs que nous sommes, oui on a peut-être cru trop rapidement que les CHieux étaient déjà morts après leur séquence catastrophique en début de campagne.  Les fefans ou les journalissssssses pro-CH vont dire que Pierre Gauthier a ramené ses vauriens à la vie grâce à l'électro-choc du congédiement de l'assistant-entraîneur Perry Pearn.  Le patron hockey de la CHiasse est descendu dans le vestiaire pour sonner les cloches de sa bande de flancs mous et pour leur signaler qu'ils étaient mieux de commencer à mériter les gros salaires qu'il leur a accordés.  Car pour un bon nombre d'entre eux, après le Canadien de Mourial, il n'y a pas grand chose qui les attend s'ils se font mettre à la porte comme Pearn (dont le mauvais sort a servi d'épouvantail pour les autres membres de l'organisation du Caca).  Il est possible que, pour l'instant, Gauthier ait réussi à ranimer ses morts pour en faire des morts vivants (zombis).  En redoutant la prochaine crise ou en souhaitant que les porte-couleurs du torCHon sortent définitivement la tête de la fosse commune et réussissent à faire les séries de justesse, comme d'habitude...    

Friday, October 28, 2011

Book of the Month: Mary Boleyn, The Mistress of Kings

Title: Mary Boleyn, Mistress of Kings
Author:  Alison Weir
Pub. Date: October 2011

Publisher: Random House Publishing Group
Format: Hardcover , 400pp


Synopsis: Sister to Queen Anne Boleyn, she was seduced by two kings and was an intimate player in one of history’s most gripping dramas. Yet much of what we know about Mary Boleyn has been fostered through garbled gossip, romantic fiction, and the misconceptions repeated by historians. Now, in her latest book, New York Times bestselling author and noted British historian Alison Weir gives us the first ever full-scale, in-depth biography of Henry VIII’s famous mistress, in which Weir explodes much of the mythology that surrounds Mary Boleyn and uncovers the truth about one of the most misunderstood figures of the Tudor age.



With the same brand of extensive forensic research she brought to her acclaimed book The Lady in the Tower, Weir facilitates here a new portrayal of her subjects, revealing how Mary was treated by her ambitious family and the likely nature of the relationship between the Boleyn sisters. She also posits new evidence regarding the reputation of Mary’s mother, Elizabeth Howard, who was rumored to have been an early mistress of Henry VIII.


Weir unravels the truth about Mary’s much-vaunted notoriety at the French court and her relations with King François I. She offers plausible theories as to what happened to Mary during the undocumented years of her life, and shows that, far from marrying an insignificant and complacent nonentity, she made a brilliant match with a young man who was the King’s cousin and a rising star at court.


Weir also explores Mary’s own position and role at the English court, and how she became Henry VIII’s mistress. She tracks the probable course of their affair and investigates Mary’s real reputation. With new and compelling evidence, Weir presents the most conclusive answer to date on the paternity of Mary’s children, long speculated to have been Henry VIII’s progeny.


Alison Weir has drawn fascinating information from the original sources of the period to piece together a life steeped in mystery and misfortune, debunking centuries-old myths and disproving accepted assertions, to give us the truth about Mary Boleyn, the so-called great and infamous whore.


My thoughts:  I know this the end of the month, but there have been so many excellent books out there, it was hard to choose just one as Book of the Month.  In the end, I had to go with Alison Weir's new book on Mary Boleyn. If you haven't read any of Alison Weir's books before, be warned, that it can be a little hard going at first.  Weir's research is exhaustive, she not only reads all the original source material, but pretty much every book ever written about Henry, Mary and Anne. She goes through the myths of Mary's life, methodically debunking each one.  Weir's writing style is more academic than elegant, she doesn't weave the known facts of Mary's life like a story. Because of this, I found the book easy to put down at times. I preferred to dip into the book, reading a little at a time, rather than trying to read it all the way through. In the end, you are left knowing about as much about Mary Boleyn as you did when you started the book. Frankly, I learned more about Francis I of France, Thomas Boleyn and Mary's husbands than I did the elusive lady herself.  She did however create a plausible case for Katherine Carey Knollys being Henry VIII's daughter, and the reasons why a child of Henry and Mary's could never be acknowledged, especially after Henry fell for Anne.
 
Here is an excellent in depth-review by Claire at The Anne Boleyn Files which pretty much expresses my thoughts exactly about the book.

Thursday, October 27, 2011

SUBBAN ET PRICE SE COUVRENT DE RIDICULE À BOSTON !


Comme c'est leur habitude depuis près de cent ans, Bruins et CHieux se sont livrés une chaude lutte jeudi soir à Boston.  Après la défaite de 2-1 de son équipe, l'entraîneur Claude Julien était mécontent.  Mais les champions défendants de la Coupe Stanley n'ont pas si mal joué.  Il aurait suffit de peu pour que le score soit à leur avantage.  Les CHaudrons ont bloqué pas moins de 21 tirs de leurs adversaires.  Et Scary Price a regardé à quelques reprises derrière lui en craignant d'avoir été déjoué.  Il a eu l'air fou sur le but qu'il a alloué (voir vidéo ci-dessous), et la foule s'est moquée de lui.  Tout comme elle s'est payée la tête de Pété Subban qui s'est battu comme un moulin à vent (voir autre vidéo) contre le petit Brad Marchand qui lui concédait pourtant près de vingt-cinq livres, ainsi que trois pouces de hauteur et de portée.  J'ai été enchanté de voir Lucic et Thornton épingler quelques CHickens de Mourial contre les bandes.

Certes, les Bruins sont sortis de la patinoire en étant passablement frustrés.  On ne peut pas dire que la chance les a favorisés.  Surtout sur le but gagnant de Plekanec qui a avoué après la partie avoir été chanceux de voir son lancer, bloqué d'abord par McQuaid, rebondir directement sur sa palette pour lui offrir une seconde opportunité de battre Thomas qui s'était déjà déplacé pour stopper son premier tir.  Mais cette mauvaise fortune des Bostonnais fera peut-être en sorte qu'ils se présentent "fâchés" et plus déterminés à venger leur échec samedi à Moronréal.  Price les a peut-être provoqués avec son petit geste de célébration après son arrêt sur Peverley, qui s'était amené seul devant lui en échappée.  J'aimerais bien qu'un Lucic ou un Horton l'envoie visiter le fond de son filet samedi.  Du côté du sans génie à Subbanane, il joue avec les poignées de sa tombe.  Comme il est parti là, ce n'est qu'une question de temps avant qu'il soit mis au rancart et paye le prix de son insolence.   
   


Wednesday, October 26, 2011

LE MÉPRIS ÉHONTÉ DE PRICE ET DU CH ENVERS LEURS PARTISANS...


Je lisais dans le journal ce matin que :«Price soutient qu'il faut revenir à la fameuse "base" du système qui a valu au Canadien un succès relatif au cours des deux dernières saisons.»  Selon Scary, «si on peut ennuyer mortellement l'adversaire et que ça nous donne deux points en bout de ligne, je les prendrai volontiers.»  Cette citation traduit bien le mépris que l'organisation du torCHon a envers ses partisans qui paient le gros prix pour les voir jouer au Centre PouBell.  Car en instaurant en système" l'ennui mortel" pour endormir ses adversaires afin d'avoir une chance de les battre avec un club médiocre, l'état-major des CHaudrons impose aux fefans un spectacle d'un "ennui mortel" qui viderait n'importe lequel aréna ailleurs dans la LNH.  Les dirigeants du CHicolore prennent pour acquis les "cochons-payeurs" de billets et de bière qui visitent leur établissement.  Le nouveau président du club, Geoff Molson, leur a fait miroiter la probabilité d'une Coupe Stanley avant le début de la présente campagne.  Encore une promesse d'ivrogne (ça adonne bien, Molson fait dans la bière) ou un plat de couleuvres à avaler.  La tradition est bien respectée depuis près de deux décennies.  On promet du filet mignon et on livre un plat de lentilles ou des restants de table.  C'est un peu comme si j'achetais un billet à $ 300 pour voir mon groupe rock préféré et que juste avant le spectacle on m'avisait que ce groupe est remplacé par des musiciens amateurs qui ne savent ni jouer ni chanter.  Ça me rappelle aussi les dissections de grenouilles dans mes classes de biologie lorsqu'on nous faisait endormir nos "frogs" avec de l'éther ou du chloroforme pour que les pauvres bêtes que l'on charcutait ne ressentent pas la douleur...  




Price a déjà montré ce qu'il pense des fefans.  On se souvient de son salut à la Patrick Roy durant les éliminatoires de 2009 et de son "respirez par le nez" de l'automne passé après une contre-performance durant un match pré-saison.  Il a aussi manqué de respect à son sport et aux fefans en menant une vie dissolue (beuveries, sorties nocturnes, couraillage) à ses deux premières saisons dans la métropauvre.  Que lui et ses patrons offrent de l'anti-hockey ou du hockey de BS à leur clientèle captive de MortYial n'a rien pour étonner les amateurs de notre sport national.  Tant que les Nordiques ne seront pas de retour pour les obliger à se grouiller le cul, ils vont se contenter d'offrir des miettes à prix d'or à leurs clients.  S'ils finissent par récolter ce qu'ils méritent, leur club de broches à foin finira dans les bas fonds du classement et il y aura beaucoup de bancs vides aux matchs locaux cette saison.  Mais nous n'en sommes pas encore là.  Trois autres défaites contre les Flyers et les Bruins cette semaine nous mettraient sur le bon chemin.  Go Flyers Go !




DES FLYERS "MOUS" SANS PRONGER...


Assez hallucinant de voir les Flyers jouer de cette façon atroce ce soir !  On aurait dit que c'était les joueurs du torCHon qui revêtaient l'uniforme blanc, orange et noir.  Il faut dire que Scary Price a été sauvé par ses poteaux à quelques reprises en première période, sur des lancers qu'ils n'avait pas vu.  Mais en défensive, les Flyers étaient méconnaissables, laissant les schtroumfs de la CHarogne sans surveillance devant la cage de Bryzgalov.  Avec le capitaine Chris Pronger en uniforme, ils n'auraient même pas osé approcher du gardien de Philadelphie.  À voir les défenseurs des Flyers manquer à leurs devoirs, on se serait cru en pleine soirée d'horreur ou d'Halloween !  Ces dernières années, la fiche de Philadelphie quand Pronger est blessé est pas mal moins reluisante que lorsqu'il est à son poste.  Autre élément troublant qui me fait écrire que l'on n'a pas vu les vrais Flyers ce soir, c'est qu'avec un pointage de 4-1 ou 5-1 il n'y a pas eu un Hartnell ou un gros défenseur comme Coburn qui s'est donné le plaisir de planter quelques CHieux.  Très décevant !  En se défaisant ou en laissant partir les Mike Richards, Jeff Carter, Arron Asham et Daniel Carcillo les Flyers ont perdu beaucoup de "chien".  Disons que, surtout en l'absence de leur capitaine, c'est beaucoup moins apeurant ou fatigant de les affronter.  Tout ça, en grande partie, pour s'assurer les services d'un bon gardien en Bryzgalov.  On verra ce que ça va donner, surtout en séries, mais le jury n'est pas unanime sur les mouvements de joueurs des Flyers au cours de la dernière période estivale.




Ça risque de brasser pas mal plus dans le programme double entre les Bruins et le Caca dans les prochains jours.  La formule du "back-to-back" favorise les bonnes batailles et le jeu rude.  D'autant plus que les champions de la Coupe Stanley ont un mauvais début de saison à se faire pardonner et qu'ils auront bénéficié de plusieurs jours de préparation avant de se frotter aux CHaudrons.  C'est le temps pour les oursons de sortir de leur torpeur et de montrer de quel bois se chauffe les détenteurs de la Coupe Stanley.  Si les CHieux ont été épargnés en raison de l'absence de Pronger ce soir, ils n'auront pas la même chance à Boston demain.  Le géant capitaine des Bruins, Zdeno Chara les attend de pied ferme.  Tremblez, les poules mouillées CHicolores !  Vous allez manger des coups de bâton, de coude et d'épaule !        

Anna Nicole Smith - The Opera




Watch the trailer for the world premiere of Anna Nicole, Mark-Anthony Turnage's new opera commissioned by the Royal Opera House.


The trailer highlights some key moments in her provocative life. Please note the music in the trailer is not the music from the opera.  I really wanted to see this at Covent Garden but I missed it. The same people who did Jerry Springer, the Opera are involved in this production.  Perhaps the Metropolitan Opera House will pick it up!

Monday, October 24, 2011

LE CANADIEN DE MORTYIAL : UNE VRAIE FARCE...À DINDES !


Faut croire qu'il n'y en aura pas de facile pour les CHaudrons de la métropauvre cette saison !  Même les pauvres Panthers de la Floride ont donné le coup de pied de l'âne aux moribonds canaCHiens hier soir dans un Centre PouBell ressemblant à un salon mortuaire à la fin de la partie.  À force de "patcher" l'alignement avec des bouche-trous des autres équipes, le club des Molson est devenu un trou à farces.  Partout à travers la NHL, on dit que le congédiement de Jacques Martin est proche.  Nonnnnnnnnn...  Ne nous faites pas ça, à nous les Anti-Habs !  Dumbo, reste !  On t'aime !  La meilleure chance de gagner pour le Caca, ça aurait été que Théodore soit devant la cage des Panthers.  Malheureusement pour le torCHon, c'est la recrue de 21 ans, Jacob Markstrom qui était d'office parce que José était ennuyé par une blessure.  La jeune merveille masquée de la Floride a fermé la porte à la famélique attaque des CHieux pour leur infliger une septième défaite en huit matchs, en ce début de saison cauchemardesque pour la CHiasse.  Et qui donc a eu la brillante idée, en 2008, de repêcher ce colosse de 6' 6" qui a frustré la CHarogne hier ?  Nul autre que Dumbo Martin lui-même, alors qu'il était DG en Floride...  J'ai mal au ventre tellement je ris...




Il paraît que Martin ne serait pas en peine s'il venait à se voir montrer la porte par la direction des CHickens-Turkeys de Moronréal.  Une clause de son riche contrat (ça prenait une grosse somme d'argent pour convaincre quelqu'un d'aller coacher dans l'abattoir-asile des fefans) lui garantirait une compensation de un million de dollars en cas de congédiement, selon le journaliste de La Presse François Gagnon.  Néanmoins, en attendant l'issue fatidique (on va le remplacer par qui bon dieu ?) l'homme aux oreilles en forme de poignée de bock de bière, trouve le temps long.  Lors de la révision vidéo du but gagnant des Panthers, on l'a vu suer à grosses gouttes derrière le banc.  Puis, lorsqu'on a confirmé que le but était bon, le pauvre Jacquot est devenu blanc comme un drap et les traits de son visage se sont affaissés.  Ce qui a ajouté un pli supplémentaire à son double menton...  Après cet autre échec Martin a prétendu que le seul et unique but de sa bande de tarlats était un double point positif puisqu'il avait été réussi en avantage numérique, et par Erik "cold" Cole par-dessus le marché !  Après la défaite contre Toronto samedi, on se souvient qu'une jeune journaliste (qui doit avoir au moins trente ans de moins que Martin) lui avait demandé pourquoi le 72 du CH (payé 4,5 millions de dollars par saison) jouait...sur le banc au lieu d'être employé sur le power play.  Martin, piqué au vif par cette remise en question de son coaching, avait rétorqué sèchement en affirmant que la jeune femme n'avait pas fait ses devoirs et que si elle les avait faits, elle saurait que Cole n'a marqué que trois de ses 26 buts en supériorité numérique la saison passée.  Alors...Martin envoie Cole sur le jeu de puissance en début de match et il marque !  Martin en doit une à la jeune journaliste !  Mais il a encore l'air fou : "out coaché" par une petite fille des médias !  Mais le but de Cole n'avait rien d'un classique ou d'une belle pièce de jeu.  La rondelle a abouti dans le filet après avoir ricoché sur lui et après avoir dévié sur Pacioretty...  Un filet pas mal laid, mais par les temps qui courent, le Caca les prend tous !  Les commentateurs Houde et Denis (RBS) étaient soulagés par ce coup de chance et ils parlaient avec emphase de ce jeu merdeux comme s'il reléguait tous les problèmes du PP du CH au passé !  On se garde une petite gêne quand même !  Le jeu de puissance des CHieux est passé du 29e au 28e rang de la Ligue !  Pas de quoi célébrer encore...




Dans le dossier de l'agression sournoise de Moen contre la jeune recrue Gudbranson des Panthers (voir article à ce sujet dans les articles les plus lus de ce blogue -lien dans la marge de droite, en bas-), il n'y a finalement pas eu de suites, le pointage étant trop serré pour que le jeune défenseur règle ses comptes sans mettre son équipe en danger.  Une belle marque de maturité en ce qui concerne le solide gaillard de la Floride.  Houde a rappelé l'incident de l'an dernier en soulignant l'audace de Gudbranson d'avoir jeté les gants contre Moen.  Sauf que l'énervant babilleur à la solde des Canailliens a oublié de préciser que Moen s'était sauvé et avait refusé d'engager le combat contre sa victime qui avait le visage ensanglanté après le coup déloyal (dans le dos) qu'il lui avait porté près de la bande...  J'ai bien rigolé en 2e période quand Houde et Denis se sont émerveillés du "spinorama" (tourniquet de 360°) de Lars Eller à la gauche de Markstrom.  Sauf que Eller a fait son petit tour du mauvais côté en réduisant son angle de tir au lieu de l'améliorer !  Quelle farce !  Évidemment, les analystes-valets de RBS et du CH essaient de bien faire paraître leurs patrons en vantant Eller et en protégeant Subban, le seul joueur de la CHarogne qui fait vendre des billets au Centre PouBell présentement.    Mais si les billets se vendent tous, les sièges de l'amphithéâtre ne sont pas tous occupés (pas fort pour la vente du verre de bière à $ 10...).  Des fefans ayant trouvé mieux à faire que de venir assister en direct au triste spectacle qui leur est offert.  Les huées se sont fait entendre à mi-chemin en 3e, et à la fin du match quand les "favoris" des fefans ont retraité au vestiaire (photo plus bas) après avoir capitulé assez tôt dans la rencontre (où était leur énergie du désespoir ?!) quand ils se sont rendus compte de leur impuissance à déjouer Markstrom (40 arrêts), un gardien prometteur qui joue ses premiers matchs sous la grande tente.  Couvrant bien sa cage et spécialement la partie inférieure de celle-ci, il aurait dû normalement forcer les CHieux à lancer haut, mais avec leurs mains de ciment incapables de soulever le disque, oubliez ça (ex. : Darche ci-dessous) !




On souligne les misères du jeu d'impuissance des CHaudrons, mais il ne faudrait pas oublier leurs piètres performances en désavantage numérique (80% d'efficacité en 21e place de la LNH).  De plus, ils occupent la troisième position pour le plus de revirements (79), et ils font pitié avec leur 25e rang au chapitre des revirements provoqués (take away) en n'ayant enlevé la rondelle aux adversaires qu'à 37 reprises (signe d'inefficacité, de lâcheté et de mauvais échec-avant).  Et si vous trouvez le torCHon affreux devant sa foule partisane à Mourial, attendez de les revoir sur la route où les vauriens de Martin se font manger la laine sur le dos et n'ont réussi que 32 mises en échec (avant-dernier dans la Ligue).  Le Cacanadien  était plus désorganisé et brouillon à mesure que la partie progressait.  Cammalleri tentait des "one-timer" à tout bout de champs alors que la rondelle sautillait ou qu'il n'avait pas un bon angle de tir.  Sur de tels jeux, pour marquer lorsque les circonstances s'y prêtent, ça prend des passes sur la palette.  Y a pas grand monde qui peut faire ça chez le CHicolore...  Continue à fendre l'air mon Cammy !  Oh bien sûr, les CHieux ont forcé la note par moments, en rentrant délibérément dans le grand gardien des Panthers...  Sauf que, contrairement à Reimer des Leafs, samedi passé, les CanaCHiens ne l'ont pas blessé ni ébranlé. 




Pourtant, les Panthers sont loins d'être un club faisant partie de l'élite de la NHL.  Leur attaque est faible.  La semaine dernière, ils ont été blanchis deux matchs d'affilée.  Quelques petites notes en complément : Subban s'est sûrement fait parler après son fameux revirement contre Toronto samedi (but de Kessel), il était hésitant dans sa zone lorsqu'il avait la rondelle; Pacioretty blessé à une épaule -->  le CH perd sa seule bougie d'allumage depuis le début du calendrier, ayoye, ça fait mal; dans une ambiance de monastère lors du point de presse de Martin après la défaite, les journalistes anglophones étaient les plus nombreux à poser des questions, les francophones désirant ménager la chèvre et le chou...contrairement aux partisans mécontents qui, eux, n'ont pas ménagé les CHouuuuuuuuuuu !  Ça promet contre les Flyers et les Bruins, dans les prochaines défaites du Caca...  Quand Moen est ton meilleur marqueur et que Eller est ton meilleur joueur de centre, ça va plus que mal sapristi !   Mais les Anti-Habs ne se lassent jamais des déboires de la Flanelle sale.  Allez !  Regardez autour de vous et payez-vous la tête d'au moins un fefan par jour !  Ça réjouit en grand !   

The Fabulous and Flamboyant Life of Lady Meux

I adore historical fiction, not just because I find history endlessly fascinating but because it leads me to fascinating women which I can then share with my readers. With Tasha Alexander’s new mystery, A Crimson Warning, I’ve discovered not one, but two fascinating and Scandalous Women. We’ve already met author Sarah Grand. This week, I introduce you to Valerie, Lady Meux.

She was born Valerie Susie Langdon in 1847. According to what little I could find on her, she was a butcher’s daughter from Devon who worked as an actress before her marriage. According to her obituary in the New York Times, she met Sir Henry while performing in Brighton. However, tongues wagged at the time that she had worked under the name of Val Reece at the Casino de Venise in Holborn and that she may even have been a prostitute. It was reported in the magazine Truth (love the title) that she had even lived in sin with a Corporal Reece. In her defense, Valerie wrote, “I can very honestly say that my sins were committed before marriage and not after.” You go girl! At the age of 31, she married Sir Henry Meux, 3rd Baronet (1856 - 1900), (pronounced “Mews”) in secret. Her husband‘s family had become rich through trade, they owned a brewery Meux and Co. (located where the Dominion Theatre now sits). Sir Henry’s father, the 2nd baronet, had married Lady Louisa Caroline Brudenell-Bruce, the daughter of the 3rd Marquess of Ailesbury.

Needless to say, her husband’s aristocratic relations were none too pleased at Sir Henry’s marriage to the bold and flamboyant beauty. Valerie was never accepted by them or by polite society. Thumbing her nose at the ton, Valerie flaunted her indifference by driving herself around London in a high phaeton, drawn by a pair of zebra. What I would give to time-travel back to the Victorian era to see that! While she may not have been accepted by polite society, she certainly wasn’t sitting at home knitting or crying into her soup. She attended meetings of the Theosophical Society, when Madame Blavatsky was still living in London. She was a familiar figure at art openings and first nights. Rumor has it that she even attended more than one prize fight in disguise.

Valerie improved and enlarged their country home at Theobalds in Hertfordshire with a swimming pool, and an indoor roller skating rink. She also created a stone circle at Dauntsey Park, one of their other estates (they owned several including a house in Park Lane and the Chateau de Sucy in France) that was used for theatrical productions. The parties at their country house must have been fun! At her request, her husband purchased Christopher Wren’s Temple Bar (one of the eight gates that surrounded the old City of London) from the City of London and installed at their country estate as a new gateway. It cost them a whopping £10,000 to install. There she entertained guests such as the Prince of Wales and Sir Winston Churchill in the upper chamber. The Temple Bar remained on the estate until the 1990’s when it was finally returned to the City of London.

Lady Meux commissioned James McNeil Whistler to paint her portrait in 1881. It was his first commission in London after his return from exile on the Continent (he had famously sued John Ruskin in 1877 for libel. Although he won, he was awarded only a farthing and the court costs were split, and Whistler had to sell his work and his house to pay for them. The damage to his reputation lasted for years). One portrait soon turned into three for a total cost of 1,500 guineas. Whistler however proved to be too demanding and difficult for Lady Meux, requiring too many sittings for her taste. She got tired of standing around wearing her fur coat and muff while he redid portions to his satisfaction. When she complained, he went ballistic. According to Stanley Weintraub in his biography of Whistler, Valerie warned, “See here Jimmy Whistler! You keep a civil tongue in that head of yours, or I will have in someone to finish those portraits you have made of me!”

Well that went over like a lead balloon! He apparently went into a rage, muttering “How dare you, how dare you,” paint brush quivering in his hand. Valerie Meux never sat for Whistler again. He destroyed the third portrait of her, Portrait of Lady Meux in Furs, although Henry Meux, Valerie’s husband had paid for it. However, Harmony in Pink and Grey: Portrait of Lady Meux can be seen today at the Frick Museum in New York, and Arrangement in Black: Lady Meux belongs to the Honolulu Academy of Arts. In a bid to gain his wife a place in polite Victorian society, Henry bought Lady Meux the diamonds that Whistler portrayed her wearing in this painting.

Not shy about spending her husband’s money, she once spent £13,000 at the jewelers. She also owned a string of race horses, winning the Derby in 1901, and was an ardent collector of Egyptian artifacts, owning over 1,700 items including 800 scarabs and amulets. A frequent visitor to the British Museum, her intention was to leave the collection to them, but they didn’t want it (because they were apparently idiots) and it was sold after her death. Sir Henry died in 1900, leaving Valerie an income of $300,000 a year which was a great deal of money back then.

She didn’t spend all her husband’s money frivolously. During the Boer War, Valerie was impressed by the heroics during the Battle of Ladysmith. Feeling patriotic, she donated artillery that was sent straight to South Africa, because the war office refused them (again what is their problem?). According to Wikipedia, they were known as the ‘Elswick Battery,’ and were used in action several times during the war. When Sir Hedworth Lambton, the commander of the Naval Brigade at Ladysmith, returned to England, he called on Lady Meux to thank her for her generosity. She was so taken with him, that she made him the chief beneficiary of her estate, provided that he change his last name to Meux (she and Sir Henry never had any children) which he did after her death by Royal Warrant.

She died in 1910, at the age of 63.

Saturday, October 22, 2011

MALGRÉ LA FAIBLESSE DE GUSTAVSSON LES LEAFS L'EMPORTENT QUAND MÊME CONTRE LE CACANADIEN


Vendredi, Tomas Plekanec s'était dit certain de la victoire des siens contre Toronto samedi soir.  Peut-être qu'à ce moment-là, la stratégie des CHaudrons était déjà établie : sortir du match le gardien James Reimer en l'assommant pour faire plutôt face à son faible adjoint Jonas Gustavsson qui venait de donner six buts aux Bruins de Boston.  La première partie du plan de match du CH a réussi quand Brian Gionta a frappé Reimer à la tête, lui faisant perdre son masque et ses esprits.  Le capitaine du Caca a été puni pour son geste prémédité, et le cerbère numéro un de Toronto n'était plus devant son filet au début du deuxième vingt.  Même en profitant des largesses du "monstre" (surnom de Gustavsson) ce ne fut pas suffisant.  Gionta et sa gang de moumounnes ont goûté à l'amertume d'une sixième défaite en sept parties.  Un début de saison désastreux que l'on ne peut comparer qu'à celui de la saison 1941-42.  Cette année-là, les CHieux avaient dû attendre au 13e match pour savourer un deuxième gain...  La troupe de deux de pique de Dumbo Martin est maintenant seule au dernier rang de la conférence de l'est et elle occupe le 29e rang au classement général.


Sous la direction de Martin, le torCHon avait l'habitude d'endormir ses adversaires et d'enfiler des buts lors des supériorités numériques.  Or, depuis le lancement de la campagne 2011-12, le jeu de puissance est atroce et des gestes stupides comme celui de Pédé Subban en première période, lorsqu'il a sorti le genou (et toute la jambe en fait) pour blesser Grabovski à l'entrée de la zone de la CHiasse.  Deux joueurs des Leafs se sont rués sur Piqué afin de défendre leur coéquipier.  Un peu plus tard, le gros Rosehill pinçait Subbanane contre la rampe.  Le 76 du CHicolore est ressorti du coin en grimaçant.  Évidemment, on ne sait jamais si le jeune noir, un "fakeux" de premier ordre, fait semblant d'être blessé ou s'il est vraiment en douleur...  On s'est aussi aperçu que son pote, Scary Price, est sur le bord de la crise de nerfs à force de se faire rentrer dedans par les opposants.  Ses défenseurs ne le protègent pas.  Après qu'un des joueurs des Leafs ait abouti dans le fond de sa cage, Scary lui a donné un coup de bâton derrière la tête.  Il s'est retenu de justesse car il aurait pu perdre complètement les pédales et blesser l'intrus.  Une belle suspension s'en serait suivie...  Et avec Budaj dans les buts, sauve qui peut !  En encaissant cinq autres buts, Price est maintenant 44e pour la moyenne (3,13 buts par match) et 45e pour le pourcentage d'arrêt (,878).  Wow !  On revoit le Price d'il y a deux ans !  Une bonne crise de nerfs bientôt mon Scary.  Ça ajouterait au spectacle pour les anti-habs !  Déjà que l'on est passablement gâté en ce début de saison de rêve !


Durant son point de presse, Martin a fait rire de lui lorsqu'une jeune femme journaliste lui a demandé pourquoi Darche jouait en avantage numérique alors que le power forward Erik "cold" Cole restait assis sur le banc.  Un autre scribe a demandé une explication à Roquet Belles-Oreilles Martin afin de savoir comment ça se fait que les Canailliens ont souvent des pénalités pour avoir eu trop de joueurs sur la patinoire.  En effet, ils se sont encore fait prendre deux fois samedi, dont une fois alors qu'ils étaient en avantage numérique.  Incroyable !  Faut croire que même à dix sur la patinoire, ils ne pourraient pas marquer davantage.  Ils essaient de tricher pour acheter un but de temps à autres.  À noter qu'à deux reprises, c'est Cole qui a été désigné pour purger les punitions de banc.  Sa seule utilité, sans doute...  Quel magnifique but de Grabovski en prolongation !  Dans un match qui, toutefois, n'aurait jamais dû aller jusque là.  Remarquer sur la vidéo montrant ce chef-d'oeuvre (ci-dessous) que les partisans de Toronto célèbrent dans les gradins pendant que les fefans sont complètement débinés.  Ha ! Ha ! Ha !  Même les Panthers de la Floride (4-3) seront des adversaires redoutables pour les faibles CanaCHiens lundi.  Le jeune défenseur Erik Gudbranson en profitera-t-il pour régler ses comptes avec Moen, celui qui l'a sournoisement agressé par derrière l'an passé ?      

Thursday, October 20, 2011

LES PENGUINS ENVOIENT LES CANADINDES DANS LA CAVE DU CLASSEMENT DE LA CONFÉRENCE DE L'EST !

Même s'ils jouaient sans leurs meilleurs joueurs, qu'ils disputaient un troisième match en quatre soirs et un neuvième en quinze jours, les Penguins de Pittsburgh n'ont fait qu'une bouchée des Canadindes de Moronsréal.  Après cette autre défaite gênante, c'était le tollé général chez les fefans !  En choeur, ils exigent la tête de Dumbo Martin et celle de Peter Gauthier from Vermount.  Ils désirent que les ¾ de leur club de broches à foin soit échangé.  Mais, qui voudrait de ces "losers" anyway ?  Les mots qui revenaient le plus souvent dans les commentaires d'après-match sont : pathétique, ennuyant, inacceptable, honteux, risée, "on va avoir le premier choix au prochain repêchage", Martin "croque-mort", "on s'ennuie de Muller", "pourquoi avoir permis à Boucher d'aller coacher à Tampa Bay", etc.  De la musique et des fous rires pour les anti-habs qui célèbrent la dernière place du Caca dans l'Est et une épidémie de dépression chez les fefans du torCHon.




Avec 26 mises en échec contre les lutins des Canailliens, les Pingouins se sont assurés de les épouvanter et de leur enlever tout désir de batailler pour la victoire.  On sait que les Canadindes prennent vite leur trou quand ça brasse un peu trop à leur goût ou quand il fait trop chaud dans la cuisine.  Même les 3e et 4e trio des Pens se sont amusés contre les vauriens de Coco Martin.  C'était fou comme il y avait des joueurs de Pittsburgh qui s'installaient devant Price sans être dérangés !  Où est la défensive des CHieux ?  Quelque part entre la retraite, le cimetière et l'auberge des portés disparus...  Pitou Subban a encore eu droit à son habituel concert de huées sur une patinoire étrangère.  Y a pas à dire, sa réputation de cave et d'enfant de chienne est déjà faite, partout, et pour longtemps !  Des centaines de milliers d'amateurs de hockey ne peuvent pas se tromper.  C'est l'unanimité contre lui, à part les pauvres cabochons de fefans, bien entendu...  On l'a vu se sauver en première période quand un joueur des Penguins a voulu lui demander de rendre des comptes  après que Piqué ait donné un coup de cochon à un autre porte-couleurs de Pittsburgh.  Quel lâche !  Y a un fefan qui a écrit sur le forum de discussion de RBS que Subban a été hué parce que les partisans des Penguins sont racistes !  Un comble de stupidité !  Pauvre cloche !




En troisième je riais à gorge déployée en voyant les Canards boiteux du Caca embouteillés dans leur territoire pendant de longues minutes.  Une démonstration éloquente de leur nullité et de leur incompétence.  Avec tout ça, les CHaudrons ont marqué un but ou moins (!) dans quatre des six parties qu'ils ont joué cette saison.  Wow !  Anémique plus que ça, c'est l'agonie !  Deux en vingt-cinq sur l'attaque massive !  Ayoye !  Les Sénateurs d'Ottawa peuvent bien les avoir dépassés au classement !  Après la game, Cammalleri expliquait les déboires de sa bande d'enfoirés en disant qu'ils tenaient leur bâton trop serré...  Scientifique comme explication !  Quant à Oreilles de Hush Puppies Martin, il déplorait que ses incapables ne gagnent pas les batailles à un contre un.  Il a vu ça où les batailles lui ?  Let's Go Leafs samedi !  C'est le temps de prendre les CHieux à la gorge pendant qu'ils font dans leurs culottes...       

Tuesday, October 18, 2011

PIRE DÉBUT DE SAISON DU CH EN DOUZE ANS : LE RETOUR DES CANADINDES DE RÉJEAN HOULE ?


En commençant la saison avec une fiche d'une seule victoire en cinq parties, les CHaudrons de Pierre Gauthier rejoignent la médiocrité du torCHon des années de Réjean Houle.  Rappelons qu'à la fin des années '90 et au début des années 2000, les CHieux, sous la direction de Peanut Houle, étaient la risée de la Ligue Nationale.  C'était l'époque loufoque des Canadindes de MortYial.  Le "bleu, blanc, rouge" devenait un point commun (photo) entre ces bêtes stupides et leurs semblables de la Sainte Guenille.  Cette période bénie a été l'âge d'or des anti-habs qui n'en finissaient plus de rire aux larmes en stigmatisant les fefans qui les côtoyaient au travail, dans les restaurants "sportifs" ou dans leur famille...  Comme c'est presque toujours le cas lorsqu'ils affrontent un gardien d'élite, les pauvres pistolets à eau des joueurs du CHicolore n'ont pu percer la muraille de Ryan Miller, des Sabres de Buffalo.  Les coéquipiers de ce dernier ont, quant à eux, capitalisé sur les rares chances de marquer qu'ils ont obtenues.  À ce rythme-là, Scary Price aura du mal à décrocher sa 100e victoire avant...Noël !




Évidemment, comme c'est leur habitude, les fefans ont  trouvé des excuses pour expliquer cette autre défaite, en pleurnichant sur le fait que le meilleur (du moins le moins pire) défenseur (Markov, dit "jambe de bois") et le meilleur marqueur (Cammalpieddecéleri, dit "visage à deux faces") de leur club chéri sont blessés.  Je suppose que les Pingouins de Pittsburgh, qui ont pourtant encore gagné hier malgré l'absence de leur quatre ou cinq meilleurs éléments, sont plus chanceux que les CHieux...  Oui, les fefans éplorés ont radoté leur vieille rengaine de la malchance et des "maudits arbitres pourris" pour essayer de ne pas voir en face la déchéance de leurs héros canadindiens.  D'accord, Miller a été bon, mais la vérité c'est qu'il n'a même pas eu à stopper les meilleures opportunités de marquer des "mains de ciment" des demi-portions de Mourial.  Lors de ces occasions en or où le filet du cerbère des Sabres était ouvert ou à moitié protégé, les as marqueurs de la CHiasse ont tiré à côté du but ou ont raté leur lancer (Plekanec et Paciorotini, entre autres).  La feuille de statistiques nous indique que dix-huit tirs des CHaudrons ont manqué la cible.  Et ce n'est quand même pas à cause des officiels si le torCHon est 2 en 21 (9,5%) en avantage numérique.  D'ailleurs ces deux buts n'ont pas été réussi à 5 contre 4, mais à 5 contre 3, et à 4 contre 3...




Autre bonnes nouvelles pour les anti-habs, l'insolent et idiot Piquet "tête de citrouille" Subban a déclaré plus tôt cette semaine, qu'il connaissait des difficultés en ce début de saison mais qu'il ne changerait pas son style de jeu.  Ataboy mon Piqué des vers !  Continue à gaffer et à faire rire de toi !  C'est comme ça que les anti-habs t'aiment !  Ha ! Ha ! Ha !  Et, par-dessus le marché, les joueurs adverses continuent à jouer au football avec Scary Price, le dernier rempart entre la catastrophe et le Cacanadien.  Sans être dérangés ou inquiétés, les attaquants ennemis foncent sur Scary, le bousculent, l'envoient valser contre les poteaux de sa cage ou l'expédient carrément dans le fond du filet.  Un jour ou l'autre il se fera blesser lui aussi.  Et qu'est-ce qu'on va se bidonner avec Budaj dans le "net" !  Après Price, le déluge...de buts !  Hi ! Hi ! Hi !  En plus, si le seul défenseur potable du CH (Gorges) se met à faire des erreurs impardonnables comme le dégagement refusé en fin de deuxième période, qui a conduit au but gagnant de Vanek, eh bien, hissez le drapeau blanc à MortYial !




Détail intéressant, comme dans les années noires sous la gouverne de Réjean Houle, les fefans ne se bousculent plus aux portes pour assister aux défaites de la CHarogne.  Comme ce fut le cas pour le match d'ouverture local jeudi dernier, il restait des billets à vendre pour la joute d'hier en fin d'après-midi...  Est-ce un signe que les fefans commencent à être tannés d'être les dindons de la farce ou la farce du dindon ?  C'est selon...  Quelle "défaite" s'inventeront-ils si leurs Glorieux s'inclinent encore à Pittsburgh demain soir ?  Car si ça continue de même, oui, leurs Canadindes sont cuits... et même brûlés !  Oh la la !  S'kons'amuse !!!

Seperated at Birth?

I'm in the midst of reading Alison Weir's new biography of Mary Boleyn (which I will review once I've finished it).  While flipping through the photos in the middle of the book, I noticed a curious thing; how much Anne of Cleves and Katherine Howard resemble each other, at least in their portraits.


This is a portrait of Anne of Cleves, probably the same one that Henry VIII saw, that charmed him. Of course, we know from history that Henry felt that he had been duped when he finally met his new bride in the flesh, and discovered that she didn't exactly look like this portrait!


This is a potrait that is assumed to be of Katherine Howard, Henry VIII's fifth wife and Anne Boleyn's cousin. If you look closely at the eyes, nose and mouth, they are remarkably similar in both paintings! Both portraits were painted by Hans Holbein the Younger, which probably explains why there is such a similarity in their looks.  Apparently Holbein wasn't as good at faces as he was at painting everything else!

Monday, October 17, 2011

A Talk with Philippa Gregory (and some other people)

Yesterday I went downtown to the Times Center to hear Philippa Gregory talk as part of The New York Times Great Literary Conversation. Her other panelists included Lee Child (author of the Jack Reacher novels which I now have to read), Rita Mae Brown (who has written a great historical fiction novel about Dolly Madison) and Sapphire, author of PUSH (made into the film 'Precious') and the sequel THE KID.  Although the other panelist were great, I really plunked down my $30 bucks to hear Philippa Gregory talk.  Which is crazy when you think about it because I could have just heard her speak for free at Barnes and Noble!

Ladies and Gentleman, I think I'm in love! I was pretty harsh about her new book THE LADY OF THE RIVERS, and as I have stated before I loathe and despise THE OTHER BOLEYN GIRL. After hearing her speak, and discovering how witty and charming she is, I now have to continue to read her backlist (I've been wanting to read A RESPECTABLE TRADE for a long time now).  She went through the top 5 myths about Philippa Gregory and one secret. I don't remember all of the myths but the two I do remember are that a) people believe that she's from the lost island of Atlantis (no, seriously they do) and b) there are people who think she has a TARDIS in her garden by which she time travels to the past in order to write her books. You know, instead of spending a year on research, reading over a 100 books, why not just pop into a box and time travel instead! God, if only it were that easy!

And get this, she rescues ducks! She told an adorable story about how every year she takes abandoned duck eggs and keeps them warm in her study so that they can hatch.  One they mature, they either fly away or stay on her farm where they get free food twice a day.  Apparently her new duck, Rasta, needed an operation that cost 60 pounds, and she cleverly hid the news from her husband until he got the bill.  Come on, how can you not like someone who rescues duckies! And she wears groovy shoes!


Here's a video I found on You Tube of Gregory talking about LADY OF THE RIVERS.

Sunday, October 16, 2011

MARTIN PIGE SES TRIOS DANS LE CHAPEAU, ET DÉJÀ UN NOUVEAU RECORD POUR ERIK "COLD"


Après le désastreux match d'ouverture locale jeudi, le peu subtil entraîneur Jacques "oreilles de crisse" Martin semblait déjà à cours d'idées pour sortir sa bande d'empâtés du coma. Il faut dire que Martin est aussi dynamique qu'une momie et que sa platitude proverbiale n'aide pas à réveiller les morts. Pour réussir à acheter des buts, Dumbo Martin allait-il jongler avec des combinaisons infinies de trios comme les fefans le font chaque année en plein coeur de l'été ? Allait-il faire jouer Pédé Subban à l'avant (il est tellement poche en défense) ? Allait-il lancer un S.O.S. au Cap'tain Kirk Muller pour le sortir de sa retraite, le ramener sur la patinoire, et montrer à Brian Gionta comment doit se comporter un vrai capitaine ? Devant la perspective désespérante d'avoir encore à fouetter un cheval mort, je soupçonne le pilote sans gouvernail des CHieux d'avoir pigé dans une casquette la composition de ses trios pour la partie de samedi soir contre l'Avalanche. La tâche la plus ardue et la plus controversée était sans doute de trouver une place au nouveau venu Erik "cold" Cole, l'homme de 18 millions de $, que les fefans ont accueilli en héros durant la saison estivale. Le rôle principal de Cole semble plutôt nébuleux : spécialiste du devant du filet sur le jeu de puissance ? Apporter de l'offensive sur un 3e trio pour mieux "balancer" ou équilibrer l'attaque ? Jouer le rôle général de power forward dans diverses situations ? Ce que l'on sait avec certitude toutefois, c'est que le nouveau no 72 du Caca se cherche présentement et est inefficace dans toutes les phases du jeu. Il a même établi un nouveau "record d'équipe" sur le dernier but des Flames de Calgary jeudi quand il a commis pas moins de trois revirements sur le même "shift" avant de voir la rondelle dans le fond du filet de Price. Dépité par sa contre-performance, il a balancé son bâton en l'air en signe d'impuissance en retournant s'asseoir sur son steak au banc des CHaudrons...



Le festival du revirement s'est poursuivi hier contre Colorado. À part celles qui n'ont pas été comptées, quatorze fois les joueurs du torCHon ont fait cadeau du disque aux visiteurs. Le cafouillage le plus spectaculaire a été celui de la bête de cirque Pété Subban. Obsédé par son ego démesuré l'incitant sans cesse à chercher à plaire aux fefans, il a perdu la rondelle au profit de Paul Stastny (photo) à sa ligne bleue, lui permettant de s'échapper et de déjouer Scary Price comme un enfant d'école. Un but digne de son père Peter et qui a été salué par les partisans de l'Avalanche (certains vêtus du chandail des Nordiques !) présents dans la foule au Centre BéBell. Le rose sur le bâton, les gants, les jambières et le masque de Scary ne lui a pas porté chance. Ce n'était pas la vie en rose pour Price qui portait cette couleur pour soutenir la lutte contre le cancer du sein. Cet appui au représentantes du sexe faible à semblé l'affaiblir... Déconcentré, mal positionné, couvrant mal ses angles, s'agenouillant trop tôt sur la glace, trahi par ses réflexes pas assez aiguisés, incapable d'anticiper les jeux, Scary a fait dur. Il a pris le blâme pour la défaite, mais ses coéquipiers, se lançant à corps perdus à l'attaque pour faire oublier leur inertie offensive de jeudi, ont péché à plusieurs reprises sur leurs replis défensifs.



C'est un aspect dont on ne parle jamais. Les petits schtroumfs des Canailliens ne sont guère efficaces dans leur zone pour contrer les adversaires de plus grande taille. Lorsqu'ils font face à des opposants qui foncent au filet, ils se font bulldozer. Pas assez grands et forts. Lorsqu'ils veulent freiner leurs adversaires par derrière ? Ils font tout simplement du ski nautique sans ralentir les porteurs du disque ou ceux qui vont se placer pour recevoir des passes à l'embouchure du but. Appliquer de bonnes mises en échec pour sortir du jeu les joueurs qu'ils couvrent ? Oublier ça ! C'est le lutin du CanaCHien qui tombe ou encaisse le pire de la collision... C'est arrivé sur le premier but de l'Avalanche. Gomez avait un opposant à sa merci le long de la bande, à la droite de la cage de Price. Au lieu de l'immobiliser contre la baie vitrée, il l'a laissé sortir du coin et relayer la noire à Kobasew près du cercle de mise au jeu. En voulant plaquer le joueur de Colorado, Gionta a plutôt chuté sur la patinoire en entrant en contact avec lui lorsqu'il effectuait un lancer peu puissant qui a échappé à Price. Un sapin...



Sur le deuxième but du match de Jones, Pacioretty n'a frappé que de l'air en tentant de le mettre K.O. au centre de la zone défensive. C'est lui qui s'est sorti du jeu en continuant à patiner vers la clôture. Pendant ce temps, Desharnais arrivait en retard sur son repli et Picouille Subban glissait sur la glace de tout son long (une vraie zamboni !) en tentant vainement de stopper la passe destinée au marqueur du but. Desharnais a bien essayé d'accrocher "son homme" devant le but, mais le poids plume de la CHiasse n'est pas de taille à arrêter personne. Sur le but égalisateur de Quincey en fin de match, c'est la pieuvre à Hal Gill qui s'est lui-même sorti du jeu en s'affalant de tout son long à la gauche du but de Scary en anticipant une passe de Paul Stastny dans l'enclave. Stastny l'a contourné en passant ensuite derrière le filet avant de refiler le disque à un Quincey découvert, qui y est allé d'un "one timer" qui n'a donné aucune chance au pauvre Scary... Trois joueurs du CH couvraient le même homme devant le but du no 31... Et Martin voulait s'arracher les cheveux derrière le banc... Quelle rencontre divertissante ! Des bévues à la pelle des deux côtés. Un jeu d'erreurs le hockey ? Comptez sur les CHieux pour en faire à profusion et faire rire d'eux ! Et en fusillade, Price ne l'avait pas plus qu'en temps régulier. Il aurait été incapable d'arrêter un ballon de plage !

Les CHaudrons ont tout donné pour gagner. Ils ont perdu une troisième fois en quatre parties contre des clubs qui n'ont pas été assez bons pour participer aux séries éliminatoires la saison dernière. Ça augure mal pour les héros des fefans... Surtout si Price n'arrive plus à les sauver du naufrage comme avant. Imaginez si Martin tient promesse et donne une vingtaine de matchs à Peter Budaj...

Thursday, October 13, 2011

DANS LES PARIS À VEGAS, DANS LA POUBELLE DE GAUTHIER ET DANS LA POUTINE AVEC SCARY PRICE !


Avant le début de la présente saison de hockey, je me disais, en regardant l'alignement de vieux schnouks et de petits gringalets des CHieux, que les parieurs de Las Vegas pourraient gager sur les dates auxquelles ces incapables seraient blessés à tour de rôle.  Les gamblers dans la Cité du vice sont tellement habitués de parier sur à peu près n'importe quoi !  Pourquoi ne pas exercer leurs talents de devins en misant sur les jours où les feluettes du torCHon tomberont comme des mouches dans l'infirmerie du Centre PouBell ?  C'est déjà bien parti avec les Markov, Eller, White, Cammalleri, Spacek, etc.  Les avortons joueurs de la Sainte Guenille sont un peu comme les frappeurs au baseball qui ont deux prises contre eux et ne sont pas capables de bien voir les tirs des lanceurs adverses.  Ils ont toutes les chances d'être retirés...sur trois prises ou d'être blessés en étant atteints d'un lancer.  Le pire, c'est que comme Markov il y a deux ans, et Cammalleri l'autre jour, c'est souvent leurs propres coéquipiers qui les blessent.  Ha ! Ha ! Ha !  Les soigneurs du Caca vont encore être débordés de travail cette année !  Du sang et des fractures de toutes sortes, ils n'ont pas fini d'en voir...  Une vraie boucherie !


Quand ils n'ont pas assez de blessés, leur patron Pierre Gauthier va en chercher dans les autres clubs.  Le dernier cas de ce genre : Blair Betts, repêché dans la poubelle des Flyers de Philadelphie.  Le DG des CHaudrons a retourné cette marchandise endommagée d'où elle venait, mais il a eu encore l'air fou.  Faut vraiment être dans la merde pour essayer de boucher les trous de l'alignement avec des restants semblables.  Même affaire avec Chris Campoli, qui est en train de faire le tour de la Ligue à force de changer de clubs.  Rappelons aussi que Brian Gionta voyait peut-être un accident fâcheux lui arriver bientôt à force de se faire bûcher devant les buts ennemis.  C'est pourquoi il a supplié ses patrons d'embaucher Erik Cole afin que ce dernier se charge de la sale besogne devant les gardiens opposés, surtout en avantage numérique.  Le seul problème c'est que, pour l'instant, Cole n'est pas utilisé en pareilles situations.  Fragilisé par plusieurs blessures subies en se plantant devant le filet, Cole est-il ménagé par l'état-majeur de la CHiasse ?  Peut-être a-t-on peur qu'il nuise plus qu'il n'aide sur le jeu de puissance...  Ou on se sert de lui à des fins de propagande, au nom de ce supposé équilibre offensif sur les trois premiers trios du CHicolore.  Cette fausseté est le nouveau dada de Dumbo Martin...


Parlant de propagande, ces jours derniers, les journaliCHe-culs au service du CH ont encensé Scary Price pour la rapidité à laquelle il atteindra le chiffre des 100 victoires en carrière.  On le compare aux plus grands gardiens de l'histoire qui sont parvenus à gagner ce nombre de matchs en un temps record.  Ce que les porteurs de valises des dirigeants des CHieux oublient volontairement de remarquer, c'est que les grands gardiens du passé n'avaient pas, comme Price, le luxe de remporter des parties en prolongation ou en tirs de barrage.  Ils devaient souvent se contenter de matchs nuls dans ce temps-là puisque le sur-temps et la fusillade n'existaient pas.  Ce n'est pas un petit détail.


Les Flames de Calgary s'amènent à Mourial sans quelques éclopés eux aussi.  Iginla sera en uniforme, mais il souffre de maux de dos.  Le 2e joueur de centre, Mikael Backlund, s'est cassé le petit doigt à la fin du camp d'entraînement et Brendan Morrison n'est pas disponible lui non plus.  Dans une équipe qui manque déjà de profondeur et de talent, ce sont de lourdes pertes.  En espérant que le gardien Miikka Kiprusoff ou son adjoint Henrik Karlsson connaisse un fort match, une défaite des CHaudrons n'est pas exclue en ce soir d'ouverture locale.  Ce qui priverait Price de sa fameuse 100e victoire...  Price et ses admirateurs journalisssssssses moronréalaids, c'est comme de la poutine : un méchant mélange graisseux de plusieurs ingrédients pas toujours de qualité...  Les joueurs de la flanelle fripée formeront-ils un grand zéro au centre de la patinoire comme lors de l'ouverture de la saison passée ?  Ça s'impose, il me semble !




Flames  4,  Caca  1.


Oui, les CHaudrons l'ont encore fait ce zéro au centre de la patinoire lors de la présentation des joueurs en ouverture de saison locale hier soir.  Un zéro incomplet, mais un zéro quand même.  Un zéro qui préfigurait ce qui allait arriver par la suite.  N'eut été d'un bâton brisé d'un défenseur des Flames en tout début de partie, la CHiasse aurait enregistré un gros zéro but.  Un gros zéro synonyme de la performance pitoyable de la troupe sans vie de Jacques "les oreilles dans le crin" Martin.  Des Canailliens amorphes, du calibre de la Ligue Américaine, il fallait s'attendre à rien, ou pas grand chose.  Mais de là à être déclassé par un club peu puissant comme Calgary...  Les joueurs des Flames passaient à travers des CHieux à vitesse Grand V, comme un couteau dans de la margarine molle, molle, molle...




J'ai pouffé de rire toute la soirée en voyant l'inertie et les gaucheries des CanaCHiens.  Les fefans n'ont pas veillé tard et ils ont eu honte de leurs joueurs tartes et (em)pâtés.  Une belle broCHette de broCHets, comme je l'écrivais récemment sur mon blogue L'ANTI-HABS ILLIMITÉ (voir lien dans la marge de droite).  S'ils avaient le bâton en l'air pour saluer les fefans lors de la présentation d'avant-match, ils avaient plutôt la mine basse au banc (photo ci-dessus), vers la fin d'une rencontre au cours de laquelle ils ont été de simples figurants.  Au lieu de mériter sa 100e victoire en carrière, Scary Price a plutôt encaissé sa 102e défaite (en comptant les revers en prolongation).  Est-il le gardien qui a atteint les 100 défaites le plus rapidement ?  Ha !  Ha !  Ha !  Sans parler de sa fiche de 8-15 en séries éliminatoires.   Price un "loser" ?  You bet !  Les Flames étaient déchaînés et ils patinaient deux fois plus vite que les minables du torCHon.  Leur échec-avant intense provoquait des gaffes à la tonne dans le camp ennemi.  En plus, les CHieux, peureux comme des siffleux, ne semblaient même pas intéressés à jouer.  Ils multipliaient les revirements et les erreurs directes.  Laid...  Très laid... pour les fefans !  Pas pour les anti-habs, qui ont joui et se sont bidonnés pendant toute la soirée !




Erik Cole semble toujours en vacances et il a été constamment en retard sur les jeux.  Il patine comme un hippopotame.  Au contact des joueurs des Flames, il ressemblait à une porte tournante et il se faisait subtiliser la rondelle les rares fois qu'il y touchait !  Incroyable !  Seize millions que Gauthier lui a donné cet été ?  Pendant que Markov est en Floride pour savoir de son médecin s'il est devenu invalide, P.K. Subban continue à piquer du nez dans ses performances lamentables.  Son jeu est mou et plein de trous, comme du fromage suisse.  Il a plongé intentionnellement -en fait il s'est littéralement garroché en l'air- en troisième période quand Iginla est entré en contact avec lui (photo ci-dessus).  L'arbitre n'a pas mordu, mais il aurait dû lui décerner une punition pour conduite anti-sportive.  Comme Tim Thomas, le gardien des Bruins, l'a dit le printemps dernier après l'élimination du CH, Subban déshonore son sport, et il fait mal paraître les officiels en jouant la comédie de la sorte.  C'est quelque chose d'être pourri, mais ne pas se respecter en agissant ainsi, c'est abominable...  Après cette cuisante défaite, les analystes discutaient du manque de fierté des CHieux.  C'était flagrant, surtout quand on a vu Moen se moucher dans son chandail, au cours d'une pause en première période !  S'il faut que le Caca poursuive ses ratés et accumulent les échecs en début de saison, il sera drôlement mal pris.  Car, normalement, c'est toujours en début de calendrier (facile) qu'il sauve sa peau avant de finir l'année en queue de poisson.  Qui vivra verra, et les anti-habs riront !           

Wednesday, October 12, 2011

Scandalous Book Review: The Lady of the Rivers

Title:  The Lady of the Rivers
Publisher:  Touchstone Books
Pub Date:  October 11, 2011

Synopsis:

Passion. Danger. Witchcraft . . . The Lady of the Rivers is #1 New York Times bestselling author Philippa Gregory’s remarkable story of Jacquetta, Duchess of Bedford, a woman who navigated a treacherous path through the battle lines in the Wars of the Roses. Descended from Melusina, the river goddess, Jacquetta always has had the gift of second sight. As a child visiting her uncle, she met his prisoner, Joan of Arc, and saw her own power reflected in the young woman accused of witchcraft. They share the mystery of the tarot card of the wheel of fortune before Joan is taken to a horrific death at the hands of the English rulers of France. Jacquetta understands the danger for a woman who dares to dream. Jacquetta is married to the Duke of Bedford, English regent of France, and he introduces her to a mysterious world of learning and alchemy. Her only friend in the great household is the duke’s squire Richard Woodville, who is at her side when the duke’s death leaves her a wealthy young widow. The two become lovers and marry in secret, returning to England to serve at the court of the young King Henry VI, where Jacquetta becomes a close and loyal friend to his new queen. The Woodvilles soon achieve a place at the very heart of the Lancaster court, though Jacquetta can sense the growing threat from the people of England and the danger of royal rivals. Not even... .

My thoughts:  Philippa Gregory's books are hit and miss with me.  I loathed The Other Boleyn Girl (the book, and both adaptations), but I enjoyed The Boleyn Inheritance, The Red Queen and The White Queen. Unfortunately her new novel The Lady of the Rivers was both a hit and a miss for me.  I didn't find the book as compelling as The White Queen or The Red Queen.  I started reading this book over a month ago, and I kept picking it up and then putting it down, distracted by so many other things like a toddler with bright shiny objects. I'm not sure that I can put my finger on why the book was so dissatisfying to me. Perhaps I've been spoiled by all the excellent historical fiction that has been published in the last year.

I think part of the problem is that after Jacquetta marries Richard Woodville, she tends to spend a great deal of her time getting pregnant and then giving birth while events happen around her. For me, the best part of the book is the first 1/3, Jacquetta's early days, meeting Joan of Arc and how that experience transforms her, her love/hate relationship with her powers, although they seem to be confined to knowing when people are about to die. I loved reading about the legend of her goddess ancestress Melusina. Most intriguing to me was Gregory's interpretation of Jacquetta's first marriage to John, Duke of Bedford and his attempt to use her powers to find out how Henry VI's reign is going to pan out. I even enjoyed reading about her secret romance with Richard Woodville and the risk that they took to get married. Even more fascinating was the story of Eleanor Cobham, the Duchess of Gloucester, who is accused of witchcraft. Jacquetta knows that this could easily happen to her if she is not careful. The scenes where Jacquetta reluctantly uses the knowledge that she has of the old ways brings the book to life.



Another problem was Margaret of Anjou, once she appears on the scene, basically takes over every scene that she is in. Childlike, selfish, ambitious, determined, fierce, Margaret overshines Jacquetta. I longed for the scenes that she was in, and hated those times in the book when Jacquetta went back home to be with Richard. I couldn't wait for Jacquetta to be summoned back to court so that I could find out what was going on with Henry VI, Margaret and Edmund Beaufort, The Duke of Somerset. I'm sure some historians will quibble about whether or not Margaret of Anjou and the Duke of Somerset actually were lovers or not. I know that there were rumors all through out Henry VI's reign that Edward, the Prince of Wales, was not his son. I found myself yelling at the book whenever Margaret did something that I knew was going to come back and bite her on the butt.

In many ways, reading Lady of the Rivers completed the trilogy of books about the War of the Roses that started when I read Susan Higganbotham's book Queen of Last Hopes (about Margaret of Anjou) and continued with Anne Easter Smith's wonderful novel Queen by Right (about Cecily Neville). Reading all three novels, from the point of view of the women, gave me a better understanding of the conflict than reading a dry history book about the period.

My verdict:  While the novel was hit and miss for me, it is nice addition to the series that Gregory started with The White Queen.