Sunday, October 30, 2011
LES EFFROYABLES ZOMBIS DU CH OBLIGÉS DE JOUER DU HOCKEY DE SÉRIES ÉLIMINATOIRES POUR SAUVER LEUR SAISON EN...OCTOBRE !
La fête de l'Halloween est associée à la peur et aux morts vivants (zombis). Et cet automne on peut dire que les fefans du CH ont eu toute une frousse (une peur bleue) avec l'affreux début de saison de leur CHicolore. Les CHaudrons célébreront l'Halloween après avoir sauvé les meubles (ou leur saison ?) grâce à trois victoires de suite contre Philadelphie et Boston. Ils terminent le premier mois du calendrier avec dix points en onze parties. Très ordinaire si on considère qu'ils ont joué sept de ces matchs à domicile et qu'ils n'ont gagné que contre un club faible (Winnipeg) et contre deux autres formations qui en arrachent. En croisant le fer contre les Flyers privé d'un Pronger blessé, le torCHon a affronté un gardien, Bryzgalov, qui joue présentement le pire hockey de sa vie et qui aurait du mal à arrêter une rondelle en styrofoam de la grosseur d'une citrouille. Quant aux Bruins, après un été court passé à festoyer avec la Coupe Stanley plutôt qu'à s'entraîner, leur manque de concentration, de motivation et de préparation expliquent peut-être leur début de campagne difficile. C'est un peu normal : quand tu as tout donné et que tu as enfin tout gagné, le lendemain de veille peut être ardu et le désir de vaincre un peu "éméché". Le Cacanadien a eu la chance de les rencontrer deux fois d'affilée en pareille situation, alors que les "B's" sont pas mal dans le brouillard. Les Bruins vont se replacer. Ils ont trop de talent et un alignement trop bien équilibré pour croupir longtemps dans la cave du classement. Un peu comme au football américain, en commencement de saison, certains clubs surprennent agréablement (Ottawa qui vient d'en gagner six de suite et les Oilers 5 !) et d'autres déçoivent énormément, mais plus le temps passe, plus la situation de ces équipes revient à la normale ou à ce que l'on s'attendait d'elles. La saison de hockey est longue et épuisante. Bien des clubs l'amorcent comme un marathon ou un combat de boxe. On n'y met pas toute la gomme pour se brûler. Ce n'est pas un sprint.
Mais les CanaCHiens eux, après avoir semé la panique chez leurs partisans et les journaliCHeux en accumulant les défaites en début de saison, ont été obligé de jouer du hockey des séries en octobre pour éviter le pire. Dans les deux affrontements contre les grands rivaux de Boston, Passoire Price a eu besoin que ses coéquipiers bloquent pas moins de cinquante tirs dirigés vers lui pour gagner ces matchs. Certains de ces lancers avaient fait leur chemin derrière lui et Scary a vu deux ou trois de ses défenseurs se transformer en gardiens (comme en séries) pour stopper le disque qui s'en allait dans sa cage. À huit ou neuf autres reprises, ce sont ses poteaux qui ont fait les arrêts... Dans la deuxième partie à Mourial samedi, les CHieux ont aussi été aidés par les arbitres qui ont pénalisé les Bruins à tours de bras. Quelques-unes de ces supposées infractions étaient tirées par les cheveux, dont une couple décernées après que Pédé Subban ait "faké" une blessure après avoir été effleuré par un joueur de Claude Julien (furieux avec raison derrière le banc). Jacques "oreilles de Frankenstein" Martin a ramené Subbanane à l'ordre après son combat raté contre Marchand à Boston jeudi. Incapable de se battre comme un homme, le 76 de la CHiasse a été invité à se concentrer sur ce qu'il fait le mieux : jouer la comédie, écoeurer le monde et faire prendre des punitions aux opposants. Provoquer l'adversaire et se cacher ensuite derrière les arbitres si jamais le gars visé veut jeter les gants. Pas très honorable comme comportement. Il peut bien être hué partout où il va en-dehors de la métropauvre.
Au Québec comme dans le reste du Canada, le hockey soulève les passions des amateurs. Quelques victoires ou quelques défaites collées de leur club favori, et on saute vite aux conclusions : "ça sent la Coupe" ou "ça sent le prozac" ! En Anti-Habs que nous sommes, oui on a peut-être cru trop rapidement que les CHieux étaient déjà morts après leur séquence catastrophique en début de campagne. Les fefans ou les journalissssssses pro-CH vont dire que Pierre Gauthier a ramené ses vauriens à la vie grâce à l'électro-choc du congédiement de l'assistant-entraîneur Perry Pearn. Le patron hockey de la CHiasse est descendu dans le vestiaire pour sonner les cloches de sa bande de flancs mous et pour leur signaler qu'ils étaient mieux de commencer à mériter les gros salaires qu'il leur a accordés. Car pour un bon nombre d'entre eux, après le Canadien de Mourial, il n'y a pas grand chose qui les attend s'ils se font mettre à la porte comme Pearn (dont le mauvais sort a servi d'épouvantail pour les autres membres de l'organisation du Caca). Il est possible que, pour l'instant, Gauthier ait réussi à ranimer ses morts pour en faire des morts vivants (zombis). En redoutant la prochaine crise ou en souhaitant que les porte-couleurs du torCHon sortent définitivement la tête de la fosse commune et réussissent à faire les séries de justesse, comme d'habitude...
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Mes traitements de chimiothérapie...
ReplyDeleteJe reviens maintenant pour partager mon expérience parce que la douleur et la souffrance émotionnelles que j'ai ressenties à cause du cancer du sein se sont atténuées. Je pleure encore lorsque je raconte mon histoire, mais je ne me sens plus comme une victime du cancer.
En juin 2005, j'ai commencé la chimiothérapie. Mon oncologue m'a recommandé de commencer par la chimio puis de subir une intervention chirurgicale. J'ai dû subir 8 cycles de chimio, une fois toutes les deux semaines. C'était ce qu'on appelait la dose dense. J'ai reçu trois cycles d'AC, trois cycles de Taxotere, puis le reste sous Taxol. Je m'en souviens encore comme si c'était hier. Le premier cycle de chimio n'a pas été aussi mauvais que je le pensais. Je n'étais pas si malade. Je me disais que je pouvais le faire. La chimio n'était pas si mauvaise. Bon sang, j'avais tort. Le deuxième tour m'a frappé de plein fouet. Mes globules rouges étaient bas, alors on m'a fait une injection de Procrit. Je tombais normalement malade le troisième jour. Je me rendais au traitement le jeudi, on me faisait la piqûre de Procrit le vendredi (si nécessaire), puis j'étais malade au lit pendant 3 à 5 jours. Lors du cycle suivant, je n'ai pas reçu la piqûre de Procrit. Je me sens toujours malade, mais pas autant que lors du dernier cycle. Lorsque je suis tombée très malade lors de mon tour suivant, après avoir reçu la piqûre de Procrit, j'ai réalisé que la piqûre aggravait mon état. J'ai donc continué à chercher des herbes naturelles et je suis tombé sur le centre d'herboristerie du Dr Itua qui soigne des maladies comme l'herpès, le cancer, l'infertilité des hommes et des femmes, le charme, les douleurs corporelles, la maladie de Parkinson, la SLA, la SEP, le diabète et l'hépatite, Le Dr Itua était la seule solution à mon problème, j'ai donc acheté ses herbes médicinales et j'ai terminé le traitement complet comme on me l'a demandé, sans chirurgien, j'ai été guéri. Je lui ai demandé ce que je devais faire pour le remercier, puis il m'a demandé de témoigner de son travail, c'est pourquoi j'ai laissé ce message ici pour aider quelqu'un à relever le défi de la santé, Dieu merci ! Le Dr Itua allait beaucoup mieux.
**N'hésitez pas à envoyer un message au Dr Itua à l'adresse drituaherbalcenter@gmail.com si vous avez des questions concernant les traitements ou tout autre problème de santé.