Maintenant que le torCHon détient en exclusivité le dernier rang de la Conférence de l'Est, les fefans se font plus rares et moins bavards. Certains ou certaines (photo) se cachent ou renient cette équipe de lépreux et de galeux. Un peu comme dans l'évangile de Saint-Marc lorsque Jésus dit à Simon Pierre : «avant que le coq chante pour la deuxième fois, tu m'auras renié trois fois». La Sainte Guenille, on le sait trop bien, a remplacé la religion catholique depuis longtemps, même si le diocèse de Mourial a cherché dernièrement à s'attirer les grâces des fefans en publiant dans les journaux des annonces leur demandant de prier pour que les pioCHes poCHes participent aux prochaines séries de la Coupe Stanley. Meilleure chance la prochaine fois !
Mais ce ne sont pas tous les fefans qui ont perdu leur arrogance ou qui ont baissé la tête et les bras. Il s'en trouve encore pour crâner et chercher à descendre les autres clubs de la NHL. Même chose chez les journaliCHieux. Ainsi, avant la partie de vendredi à Washington (autre défaite, évidemment), les commentateurs de RBS et certains scribouilleux de journaux pro-CHieux, prenaient plaisir à souligner que les Capitals en arrachaient autant que les Canailliens. Et que l'entraîneur des Caps, Dale Hunter, cet infâme ancien Nordique, s'était pété la "yeule" en prenant la relève de Bruce Boudreau. De même, les petits fefans mesquins trouvaient également consolation en se réjouissant des récentes difficultés des Bruins de Boston.
Cette attitude remplie de bassesse me rappelle un incident que l'un de mes amis m'a rapporté l'autre jour. À son travail, il est syndiqué et il est l'employé qui a le plus d'ancienneté. Il peut décider de ses fonctions, de son horaire de travail et même de la quantité d'ouvrage qu'il désire accomplir. Il a la priorité pour le choix de ses vacances et il possède le fonds de pension le mieux garni, etc. Cela crée de l'envie, de la jalousie, et du mécontentement chez certains de ses compagnons de travail. L'un d'eux, froissé parce que mon ami en mène passablement large en étant l'homme de confiance du patron, et en gagnant un bien meilleur salaire que lui, a voulu le rabaisser en lui disant qu'il était un simple syndiqué comme les autres, un employé sans grade, bref, que, tout bien considéré, il était rien. Mon ami, qui a un très bon sens de la répartie, lui a répondu : «si moi je ne suis rien ici, toi tu es moins que rien !» Ce qui a cloué le bec de son interlocuteur. C'est exactement la même chose avec les fefans et les joueurnalisssssses prétentieux. Ils se permettent de critiquer les autres clubs mais ils oublient que, par rapport aux autres formations, les CanaCHiens sont moins que rien puisqu'ils croupissent dans la cave du classement. Baveux un jour, baveux toujours ! Typiquement moronréalaids !
Et cette semaine, on apprenait que l'organisation des CHaudrons trempait dans un autre scandale. Non contents d'exploiter ses partisans en leur vendant leur camelote et leurs billets à des prix exorbitants, les Molson ont essayé par tous les moyens d'empêcher les employés de leur Boutique des Souvenirs de se syndiquer. Les couillons voulaient maintenir leurs salaires au plus bas. Ils croyaient même qu'en ayant recours à la sous-traitance (un truc bien connu) pour l'exploitation de la Boutique, ils réussiraient à mettre en échec la tentative des employés qui avaient demandé leur accréditation syndicale. Le problème, c'est qu'en faisant affaire avec la compagnie ITT PERSONNEL pour gérer la Boutique de Souvenirs, les Molson se sont mis dans de beaux draps. En effet, Frank Bertucci, le patron de ITT PERSONNEL, est soupçonné d'avoir offert un pot-de-vin de $ 150 000 à un fonctionnaire de REVENU CANADA afin que ses impôts soient réduits de 1,1 Million de dollars. Ouais, les Molson ont de bons associés ! Et en plus, après deux ans de litige avec les employés de la Boutique de souvenirs, les patrons du torCHon ont perdu leur cause en Cour. Les travailleurs seront syndiqués et ils recevront de grosses augmentations de salaire...
Ce n'est pas la première fois que les CHieux se retrouvent dans des affaires louches ou des scandales. Rappelez-vous, il y a trois ans, l'affaire de la vodka et des escortes fournies aux frères Kostitsyn et à Roman Hamrlik par un individu appartenant à la pègre moronréalaise. Rappelez-vous, la même année, les faces d'enterrement de Jacques "popositif" Demers et de Alain Crête au moment où on s'apprêtait à passer les menottes à certains joueurs de la CHnoutte à l'aéroport, à leur retour d'une partie à l'étranger. On parlait alors de scandales sexuels, incluant des agressions, des viols, de même qu'un ou des détournements de mineures. Dans tous les cas, on a mystérieusement étouffé ces affaires honteuses, qui auraient secoué toute la LNH et auraient fait trembler le Canada entier. Combien d'autres histoires scabreuses et abracadabrantes ont ainsi été balayées sous le tapis, avec la complicité des autorités ? On ne le saura peut-être jamais...Non vraiment, que ce soit sur la patinoire ou en dehors, le CH et ses fefans sont mal placés pour critiquer les autres.
L'autre jour, un journaliste anglophone demandait pourquoi Pierre Gauthier et la direction du torCHon imposaient une politique du secret et de la méfiance en interdisant à la quasi-totalité de leur personnel de parler aux médias. Faut croire que moins ils parlent, moins on en sait. Et moins on en sait, mieux c'est. Ce qu'on sait, c'est que le Caca a des choses à cacher et que le silence le sert bien. Le silence est d'or... Évidemment, les patrons de la CHiasse joueront aux innocents et nieront ces assertions de scandales à plusieurs reprises plutôt qu'une. Ils diront que ce sont des tentatives de chantage. Mais si on prête bien l'oreille au loin, on entendra le coq chanter au moins deux fois... Les Anti-Habs aussi chanteront bientôt en célébrant l'élimination officielle des CHaudrons. Pendant que les fefans, eux, déchanteront. Ha ! Ha ! Ha !
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