Wednesday, July 7, 2010

Democracy Now loves the CIA's Dalai Lama!


The independent media station Democracy Now is one of the most well known 'progressive' media outlets. However, the news station has shown a startling blindness when it comes to investigating covert CIA activities. This is quite apparent from its coverage of lesser known geo-political problems and genocides caused by the United States and its allies such as the Darfur crisis, a US destabilization campaign to control Sudanese oil resources, the Rwandan genocide carried out by Pentagon-trained dictator Paul Kagame with full US backing,and of course Tibet.


Here once again Democracy Now has done its job of steering the 'left' into ideologically confused waters. Amy Goodman enthusiastically greets the Tibetan despot and CIA agent the Dali Lama with fawning questions concerning peace and human rights.The Tibetan 'exiled community' and their descendants are of course experts on questions concerning peace and human rights having enslaved and brutalized the entire Tibetan population for centuries before the arrival of the Chinese Liberation Army in 1950. One would almost suspect from Mrs Goodman's tone that she and the CIA's old tyrant in robes have some deep 'spiritual' connection.

Notice the imperious attitude of the Dalai Lama towards his servile interpreter!Tibet's spiritual leader displays a decidedly poor command of English to boot.Having spent years outside his native land, traveling the world spreading the 'message' of Tibetan buddhism, earning over 200,000 dollars from the CIA per annum for terrorist activities against the Chinese government, one would think the least he could do is employ the services of a competent teacher.Oh, I beg your pardon your holiness, I meant language serf!
http://www.democracynow.org/blog/2010/5/24/amy_goodman_questions_dalai_lama_about_iraq_and_afghanistan_wars_and_about_tibet

Monday, July 5, 2010

P.K. SUBBAN SUR LES TRACES DE AL JOLSON


Première vedette du cinéma parlant dans le film Jazz Singer, le chanteur et acteur Al Jolson était spectaculaire sur scène. On dit qu'il subjuguait son public parce que chaque personne dans la salle avait l'impression qu'il chantait et performait pour elle seule, en particulier. Durant sa longue carrière (1911-1950) il a soulevé les foules et il fut le premier artiste à vendre un million de copies d'un disque. Jolson gesticulait beaucoup et il avait énormément de charisme. En regardant P.K. Subban jouer la comédie lors du match où les CanaCHiens ont été éliminés par les Flyers, le 24 mai dernier, j'ai été frappé par la ressemblance entre lui et Al Jolson. Le Jolson suppliant que l'on voit sur la photo est en tout point identique au Subban qui a prié l'arbitre de donner un quatre minutes de punition à un joueur des Flyers qui l'avait à peine effleuré au passage vers la fin de la partie. Se faisant saigner lui-même en écrasant ses grosses babines, le jeune défenseur du torCHon a tellement bien acté que l'officiel est tombé dans le panneau et a donné une double mineure au joueur de Philadelphie. Du grand art ! C'était alors 3-2 pour les Flyers, et cette pénalité aurait pu changer l'issue de la rencontre. Malheureusement pour "l'oscarisable" P.K., les Caca n'ont pu marquer et ils ont dû plier l'échine.


Conscient que son attitude fanfarone (il avait prédit que le CH gagnerait la Coupe), ses revirements coûteux et ses erreurs grossières avaient pesé lourd dans la débandade de son équipe en finale de Conférence de l'Est, la recrue des CHieux avait la mine basse après la dernière scène (photo ci-haut).


Il faut dire que le réveil était plutôt brutal pour le jeune blanc bec de la CHiasse. Tout le long de la série, les robustes Flyers lui ont montré comment ça se jouait en éliminatoires dans la LNH. Ils ont été sans pitié pour lui et sa bande de mauviettes. Par grands bouts, Subban a dû s'ennuyer de sa mère... Dans les deux dernières joutes, le 76 de la Guenille a été particulièrement pathétique. Les Flyers ont voulu lui montrer que son comportement arrogant et ses facéties de "fakeux" n'avaient pas leurs places chez les pros, surtout de la part d'une verte recrue qui n'a encore rien prouvé "en haut". Ils ont fait par exprès pour le frapper après les coups de sifflets. Parfois, P.K. a répliqué et à dû aller méditer au banc des punitions sur son inexpérience et sa stupidé. En d'autres occasions il a fait la "mémère" en chiâlant et en se plaignant aux arbitres. Disgrâcieux...pas digne d'un vrai homme.


Pourtant au début des playoffs, lorsqu'il se contentait de bien jouer sa position en défensive, de ne pas essayer de trop en faire, Subban a eu du succès. Faut croire que, par la suite, il s'est enflé la tête et s'est pris pour la vedette qu'il était dans les mineures. On l'a vu se lancer dans des montées d'un bout à l'autre de la patinoire. Sauf que les résultats n'ont pas été les mêmes que ceux qu'il a récoltés chez les Bull Dogs de Hamilton de la AHL. Au lieu de marquer des buts ou d'attirer les joueurs adverses vers lui avant de refiler le disque à des coéquipiers libres dans l'enclave, P.K. s'est fait rentrer dans la bande, a perdu la rondelle, se l'est fait enlever et/ou s'est ramassé sur le cul. De cette position, il était aux premières loges pour voir les opposants déclencher une contre-attaque et profiter de son absence en défense pour marquer en surnombre (3 contre 2 ou 2 contre 1). Un désastre...


Peu importe sa déconfiture finale, Piqué des vers Subban a une importante légion de fefans qui l'adore toujours. Ça se comprend, ils sont faits pour aller ensemble : prétentieux, grandes gueules, gesticulants, olé olé... Au plus noir des deux saisons précédentes, quand les Anti-Habs raillaient les fefans et leur club de pioCHes, les plus fanatiques Flanelleux serraient les dents en disant : "attendez que P.K. Subban arrive, ça va être à notre tour de rire". Oui, ils s'en promettaient beaucoup, mais ils devront encore patienter. C'est encore nous-autres qui avons ri les derniers... Que les victoires chanceuses contre Washington et Pittsburgh aient été plus que suffisantes aux fefans pour s'emballer, faire une émeute et croire en la Coupe Stanley; que les dingues des Caca aient vu en Subban un sauveur et un autre Bobby Orr; toute cette folie n'aura rendu que plus cuisante encore l'élimination en trois blanchissages et en cinq petits matchs de leur club de schtroumfs par les guerriers des Flyers. Des CHaudrons collants et sales qui ont été lavés, frottés à la laine d'acier et rincés à la grande eau...

Fidel Castro says world war is imminent

La felicidad imposible
4 Julio 2010 68 Comentarios

Prometí que sería el hombre “más feliz del mundo si estaba equivocado” y desgraciadamente mi felicidad duraría muy poco.

Todavía no ha concluido la Copa Mundial de Fútbol. Faltan aún seis días para el partido final.

¡Qué extraordinaria oportunidad se perderán posiblemente el imperio yanki y el Estado fascista de Israel para mantener apartadas las mentes de la inmensa mayoría de los habitantes del planeta de sus problemas fundamentales!

¿Quién se habrá percatado de los siniestros planes del imperio con relación a Irán y sus burdos pretextos para agredirlo?

Al mismo tiempo me pregunto: ¿qué hacen por primera vez los buques de guerra israelitas en los mares del Golfo Pérsico, el Estrecho de Ormuz y las áreas marítimas de Irán?

¿Es posible imaginar que de allí se marcharán los portaaviones nucleares yankis y los buques de guerra israelitas con el rabo entre las piernas, cuando se cumplan los requisitos contenidos en la Resolución 1929 del 9 de junio de 2010 aprobada por el Consejo de Seguridad de Naciones Unidas, que mantiene la autorización para la inspección de los buques y aeronaves iraníes con la posibilidad de llevarla a cabo en el territorio de cualquier Estado y que esta vez autoriza a hacerlo a los buques en altamar?

La Resolución establece también que no se realizaría la inspección de los buques iraníes sin el consentimiento de Irán. En ese caso, la denegación sería objeto de análisis.

Otro elemento añadido es la posibilidad de confiscar lo inspeccionado, si se confirma que incumple lo dispuesto por la Resolución.

Un Irán desarmado fue víctima de aquella cruel guerra con Iraq en la que masas de Guardianes de la Revolución limpiaban los campos de minas avanzando sobre las mismas.

Este no es el caso de hoy. Expliqué en Reflexiones anteriores que Mahmud Ahmadineyad fue jefe de los Guardianes de la Revolución en el Oeste de Irán, que llevó el peso principal de aquella guerra.

Años más tarde, un gobierno de Iraq envalentonado envió el grueso de su Guardia Republicana y se anexó el Emirato Árabe de Kuwait rico en petróleo, que fue presa fácil.

El gobierno de Iraq mantenía con Cuba estrecha amistad y se le prestaba, desde los tiempos en que no estaba en guerra con nadie, importantes servicios de salud. Nuestro país trató de persuadirlo de que abandonara Kuwait, y pusiera fin a la guerra que había provocado a partir de puntos de vista erróneos.

Hoy se conoce que una mediocre embajadora yanki, que sostenía con el Gobierno de Iraq excelentes relaciones, lo indujo al error cometido.

Bush padre atacó a su antiguo amigo dirigiendo una potente coalición con una fuerte composición árabe-musulmana-sunita de países que abastecen de petróleo a gran parte de las naciones industrializadas y ricas, la cual avanzó desde el Sur de Iraq para cortar la retirada a la Guardia Republicana que se replegaba hacia Bagdad, la que por prudencia de la Infantería de Marina y las Fuerzas Armadas de Estados Unidos -bajo la dirección de Colin Powell, general con prestigio, y posteriormente Secretario de Estado de George W. Bush- escapó hacia la capital de Iraq.

Por pura venganza, contra ella utilizaron los proyectiles contaminados con uranio empobrecido con los que por primera vez experimentaron el daño que podrían ocasionar en los soldados adversarios.

El Irán al que en este momento amenazan, con sus ejércitos de aire, mar y tierra, de religión musulmana-chiíta, en nada se parece a la Guardia Republicana que atacaron impunemente en Iraq.

El imperio está a punto de cometer un impagable error sin que nada lo pueda impedir. Avanza inexorablemente hacia un siniestro destino.

Lo único que puede afirmarse es que hubo cuartos de final en la Copa Mundial de Fútbol. De ese modo los fanáticos del deporte pudimos disfrutar los emocionantes partidos en que vimos cosas increíbles. Se afirma que, en 36 años, el equipo de Holanda no perdía un viernes en partidos de la Copa Mundial de Fútbol. Únicamente gracias a las computadoras podría sacarse esa cuenta.

El hecho real es que Brasil fue eliminado de los cuartos de final de la Copa.

Un juez dejó a Brasil fuera de la misma. Al menos esa fue la impresión que no se cansó de repetir un excelente narrador de la televisión cubana. Después la FIFA declaró que era correcta la decisión arbitral.

Más adelante, el mismo juez dejó a Brasil con 10 jugadores en un momento decisivo, cuando faltaba todavía más de la mitad del segundo tiempo del partido. Con seguridad que esa no fue nunca la intención del árbitro.

Ayer fue eliminada Argentina. En los primeros minutos el equipo alemán, a través del mediocampista Müller, sorprendió a la confiada defensa y al portero argentino logrando obtener un gol.

Con posterioridad, no menos de 10 veces los delanteros argentinos, por una del equipo alemán, no lograron un gol.

Por el contrario, el equipo alemán anotó tres más, y hasta Angela Merkel, Canciller Federal de Alemania, aplaudía rabiosamente.

Así, nuevamente, uno de los equipos favoritos perdió. De ese modo, más del 90% de los fanáticos del fútbol en Cuba quedaron estupefactos.

La inmensa mayoría de los amantes de ese deporte ni siquiera saben en qué continente está Uruguay. Un final entre países europeos será lo más descolorido y antihistórico desde que nació ese deporte en el mundo.

En cambio, ocurrieron hechos en la esfera internacional que no tienen nada que ver con los juegos de azar y sí con la lógica elemental que rige los destinos del imperio.

Una serie de noticias vieron la luz los días 1, 2 y 3 de julio.

Todas giran en torno a un hecho: las grandes potencias representadas en el Consejo de Seguridad de Naciones Unidas con derecho al veto, más Alemania, instaron el dos de julio al Gobierno de Irán a dar “una pronta respuesta” a la invitación que se le hiciera para retornar a las negociaciones por su programa nuclear.

El Presidente Barack Obama firmó el día anterior una Ley que amplía las medidas existentes contra los sectores energético y bancario de Irán, y podría penalizar a compañías que realicen negocios con el Gobierno de Teherán. Es decir, el bloqueo riguroso y el estrangulamiento de Irán.

El Presidente Mahmud Ahmadineyad afirmó que su país retomará las conversaciones a fines de agosto y destacó que en las mismas deben participar países como Brasil y Turquía, los dos únicos miembros del Consejo de Seguridad que se opusieron a las sanciones el 9 de junio.

Un funcionario de alto rango de la Unión Europea advirtió, despectivamente, que ni Brasil ni Turquía serán invitados a participar en las conversaciones.

No hace falta más para sacar las conclusiones pertinentes.

Ninguna de las dos partes cederá; una, por el orgullo de los poderosos, y otra, por la resistencia al yugo y la capacidad para combatir, como ha ocurrido tantas veces en la historia del hombre.

El pueblo de Irán, una nación de milenarias tradiciones culturales, se defenderá sin duda alguna de los agresores. Es incomprensible que Obama crea seriamente que se plegará a sus exigencias.

El Presidente de ese país y sus líderes religiosos, inspirados en la Revolución Islámica de Ruhollah Jomeini, creador de los Guardianes de la Revolución, las Fuerzas Armadas modernas y el nuevo estado de Irán, resistirán.

A los pueblos pobres del mundo, que no tenemos la menor culpa del colosal enredo creado por el imperialismo, ubicados en este hemisferio al Sur de Estados Unidos, los demás situados al Oeste, Centro y Sur de África, y los otros que puedan quedar indemnes de la guerra nuclear en el resto del planeta, no nos queda otra alternativa que enfrentar las consecuencias de la catastrófica guerra nuclear que en brevísimo tiempo estallará.

Desdichadamente no tengo nada que rectificar y me responsabilizo plenamente con lo escrito en las últimas Reflexiones.