Depuis près de vingt ans, les Red Wings de Détroit et le CacanaCHien de Moronréal s'en vont en directions totalement opposées. Les Wings sont la crème de la LNH tandis que les Habs en sont le lait caillé, ou, si vous préférez, la vaCHe avariée. On a bien raison de rire de la déCHéance des CHieux, qui correspond à celle du bidonville qui s'étend autour du plus grand scandale de l'histoire du Canada, le stade olympique branlant de Mourial. Ben oui, le fabuleux "big O" du mégalomane maire Drapeau (un bonhomme complètement "décollé" de la réalité, comme les fefans qui pensent que le CHiendent va participer aux séries de fin de saison), symbole qui va comme un gant aux politiciens corrompus et à la racaille de criminels de la métropauvre. Une ville de hockey qui est devenue un cimetière de joueurs finis, rendus à «l'agonie» de leur carrière. Un repère de dirigeants incompétents tournant en rond, mettant leurs chaussures à l'envers et incapables d'attirer le moindre hockeyeur intéressant dans cette nouvelle Sibérie du hockey, où aucun agent libre qui se respecte ne veut aller. Il faut ajouter que les partisans fanatiques du torCHon et les journalistes "guidounes" de la place, agissent aussi comme des repoussoirs pour dissuader ces multi-millionnaires de s'établir dans ce bled d'une laideur sans pareille, pollué et polluant. Qui voudrait s'exposer à jouer devant cette foule d'abrutis qui salissent les estrades du Centre PouBell, qui n'ont rien d'autre à faire que de vociférer comme des demeurés et à se donner mutuellement des douches de bière amère et puante ? Holà ! La décadence...
Il y a bien mieux ailleurs... Détroit, par exemple. Un club de hockey ("hockey town", une désignation, une marque de commerce que Mourial a tenté de copier, il y a quelques années, en adoptant le slogan : «la ville est hockey») synonyme d'excellence, de gagnants, de champions, de compétence. Notamment au niveau du recrutement des jeunes joueurs qui, souvent, même s'ils sont repêchés dans les dernières rondes, deviennent de très bons actifs pour le grand club après avoir mûri à point dans les ligues mineures. Quel contraste avec la situation qui prévaut chez les CHaudrons. On sait combien le repêchage est depuis longtemps un fiasco avec Trevor Timmins comme "désastre-en-chef" ! Le succès engendrant le succès, plusieurs bons vétérans, espérant gagner la Coupe Stanley avec les Wings, désirent être échangés à Détroit lorsque la date limite des transactions approche. Tandis qu'un vétéran acceptera de se joindre aux Canailliens seulement si aucun autre club n'en veut et s'il est sur-payé.
Tout ça pour dire que les Red Wings de Détroit sont une équipe d'élite depuis longtemps et qu'elle mérite le respect et l'admiration du monde du hockey. Peut-être parce qu'ils sont jaloux ou envieux, peut-être parce qu'il y avait des bonis de performance en jeu, peut-être pour plaire aux fefans à qui ils font vivre une saison de misère, sûrement parce qu'ils n'ont pas de classe, les CHieux, eux, les ex-glorieux, ont manqué de respect à l'endroit des joueurs et de l'organisation des Red Wings de Détroit hier au Centre BêêêBell. En troisième période, avec un pointage de 6-2 en faveur de la CHiasse, la ligne Cole-Desharnais-Pacioretty a continué de jouer la "pédale au fond" jusqu'à ce que Cole enfile le septième but de son équipe à 1:23 de la fin de la game. Le gros no 72 du CHicolore a-t-il une clause de bonus dans son contrat pour le nombre de buts qu'il va réussir à marquer ? En tout cas, il a joué en malade jusqu'à la toute fin du match, en fonçant dans le tas, tête baissée. Compte tenu du pointage et des adversaires (qui avaient concédé depuis longtemps la victoire dans cette partie qui semblait de trop à leur calendrier, à la veille du congé du match des étoiles), les excès de Cole étaient déplacés et même gênants au point de vue du "fair play" et de la décence. Faire par exprès pour humilier un opposant, ça ne se fait pas ! Au football, par exemple, en fin de 4e quart, quand l'issue du match est scellée, le quart-arrière met le genou au sol à quelques reprises pour écouler le temps qui reste au tableau indicateur. Au hockey, c'est un peu la même chose : on se contente de dégager son territoire, on tourne pas mal en rond, en attendant que la partie finisse.
Pour une fois qu'ils pouvaient marquer à profusion contre des adversaires qui ont opposé peu de résistance en l'absence de leur leader Nicklas Lidstrom, les CanaCHiens ont abusé de leur avantage. Espérons que les Wings ont la mémoire longue et qu'ils rendront la monnaie de leur pièce à leurs tortionnaires lors des prochains affrontements (malheureusement trop peu fréquents) entre les deux clubs. Cette saison, les Habitants (on devrait dire les "colons") ont trouvé de nouvelles façons de perdre. Pour notre plus grand plaisir d'ailleurs ! Hier, ils ont démontré qu'ils ne savaient même pas comment gagner ! Triste et désolant, mais pas surprenant... Pas de classe...je disais...ça va avec le reste... De la merde comme disait Spacek l'autre jour...
Au moins l'écervelé à Pété Subban n'a pas déçu les anti-CH. Après une autre pénalité d'indiscipline écopée en fin de première période, le jeune arrogant de la CHarogne a séché sur le banc pendant tout le deuxième vingt. Et il a encore eu droit aux sermons de l'entraîneur des défenseurs, Randy Ladouceur (photo). Et, encore une fois, il n'a rien compris ! À sa première présence à son retour au jeu, au troisième engagement, il a traversé la patinoire d'un bout à l'autre, en diagonale, pour perdre ultimement le disque, pas loin du but ennemi. Il s'est attiré les applaudissements et les cris orgasmiques des fefans (ça le fait jouir et ça lui enfle encore plus sa grosse caboche dure), mais ses coéquipiers étaient tous plus ou moins hors position et mal pris sur la contre-attaque des Wings. Toute une cruCHe vide que ce P.K. !
Parlant de cruches, les fefans bipolaires étaient sur le party et sans doute qu'ils croient dur comme fer que cette victoire inespérée contre le club no 1 de la Ligue va constituer l'étincelle qui va relancer leur club poche vers la stratosphère. Il y a même un illuminé qui a lancé une pieuvre sur la patinoire au son de la sirène annonçant la fin de la rencontre... Encore une commotion cérébrale ! Beau cas de cruauté envers les animaux. Pas parce que cet hydrocéphale débranché a "pitché" la pauvre créature sur la glace, mais parce qu'il l'a tenue dans ses mains sales... Pauvre bête ! Imaginez la peur qu'elle a dû avoir quand ses yeux ont croisé le regard hagard de ce mordu du torCHon, de ce tétanisé CHicolore en convulsions. Ce pauvre ignare n'a pas la moindre idée qu'un animal a des sensations comme celles des humains. Si un spectateur a été puni pour avoir lancé une banane au noir Wayne Simmonds des Flyers de Philadelphie, pendant un tir de barrage, celui qui a lancé la pieuvre au Centre ZooBell devrait être châtié en subissant le supplice du Chara. Vous ne savez pas ce que c'est ? Demandez à Max "Pacini" Pacioretty, il va vous l'expliquer comme un pro...
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