Thursday, March 22, 2012

LES ENRAGÉS DU CH ESSAIENT EN VAIN DE SAUVER L'IMAGE DE LEUR CLUB POURRI...


Vous vous souvenez des célébrations du centenaire du torCHon, il y a une couple d'années ? Fait unique et ridicule en matière de centenaires, l'organisation hypocrite du Cacanadien de Moronréal les a étirées sur trois ans, avec des retraits de chandails d'anciens joueurs, avec la vente d'anciens chandails et de vieux bidules remis à la mode, et diverses autres activités de marketing (films déguisés en info-publicités, livres, articles écrits par des lèche-bottines, etc). C'est un peu si on fêtait pendant trois ans le 100e anniversaire d'un vieil homme qui souffre de la maladie d'Alzheimer... Cette campagne publicitaire extravagante d'entrepreneurs passés maîtres dans l'exploitation éhontée de sa clientèle dopée à la cacaïne, de filous désirant encore et toujours tirer profit d'un passé glorieux pour mieux faire oublier un présent merdique, a d'ailleurs valu aux CHieux le titre de "Turkeys of the Year", une sorte de prix citron décerné par l'un des plus prestigieux magazine de sports, le fameux SPORTS ILLUSTRATED. Évidemment, les fefans du CHicolore ont passé sous silence ce prix gênant pour leur secte religieuse extrémiste. Comme si le jugement d'un périodique sérieux et reconnu comme le SPORTS ILLUSTRATED ne valait rien ou ne comptait pas. Toujours cette conviction d'avoir raison contre le monde entier. Cet auto-abus de soi-même pour ne pas se rendre compte qu'on fait rire de soi pour de bonnes raisons... Ce déni perpétuel en se calant la tuque jusqu'au menton, pour rester dans l'obscurité de son ignorance crasse. Qu'ils l'avouent donc qu'il n'y a pas que les anti-habs pour voir clair dans les manigances du marketing du Cacad'CHien et pour démasquer la supposée belle image de la Sainte Guenille. Qu'ils le reconnaissent donc que l'actuelle chute brutale de leur club de pacotille était prévisible, étant donné qu'il manque désespérément de talent, de profondeur, de coeur et de bons hommes de hockey pour le diriger. Ça fait longtemps qu'elle est révolue l'ère du super Canadien de Montréal mené à bon port par les Toe Blake, Sam Pollock, Scotty Bowman et autres Serge Savard.


Dans des articles récents, certains journaliCHeux, ayant manipulé des statistiques à l'avantage de la Flanelle sale, ont tenté de nous démontrer que Trevor Timmins et ses collaborateurs ont été les meilleurs recruteurs de jeune talent au cours de la dernière décennie. Sous prétexte que beaucoup de joueurs amateurs qu'ils ont choisi ont joué dans la NHL, Timmins serait un as dans sa profession. Les mauvais résultats du CHiendent sur la patinoire durant cette période, et le fait qu'une majorité de ces choix "brillants" de repêchage aient été échangés pour quasiment rien à d'autres formations, prouvent exactement le contraire. Si tant de ces jeunes ont pu disputer quelques matchs avec le "grand" club, ne serait-ce pas, justement, parce que les Canailliens étaient pourris et qu'ils manquaient de ressources suffisantes pour remplir des uniformes ? Chez les Red Wings de Détroit, par exemple, puisqu'on a de bons vétérans qui font la job, les recrues qui graduent avec l'équipe ne le font souvent qu'à 23 ou 24 ans. Ils sont prêts pour la grande Ligue. On ne les a pas précipité dans le feu de l'action quand ils étaient encore "verts" ou qu'ils n'étaient pas en mesure de faire leurs preuves.


Chez les CHieux, au contraire, dans plusieurs cas, le talent de ces jeunes joueurs issus du repêchage a été mal développé ou gaspillé. Dans d'autres cas, on n'a pas été assez patient avec eux. Ou bien le profil de ces prospects ne correspondait tout simplement pas aux besoins les plus urgents de la CHiasse. Fatalement, entourés de trop de joueurs marginaux et de dirigeants incompétents, presque tous ces jeunes, dont aucun -il faut le souligner- n'avait le potentiel de devenir une super star, se sont révélés des "flops" ou des candidats sur-évalués. Le malheur du Cacanadien depuis vingt ans, aura été de ne considérer que les possibilités offertes par chacun de leurs joueurs repêchés ou obtenus par des échanges ou par la voie du marché des agents libres. Les bonnes organisations ne se contentent pas de regarder le potentiel ou les anciens faits d'armes des joueurs qu'elles engagent. Elles savent évaluer CORRECTEMENT les PROBABILITÉS que ces joueurs s'intègrent au style et au concept de l'équipe et y connaissent le maximum de succès en accomplissant ce qu'ils font le mieux sur la patinoire. La polyvalence de ces athlètes importent également, car elle peut servir en cas de blessures à des joueurs clés. Autrement dit, comme dans tout bâtiment bien construit, on s'assure que chaque pièce, chaque élément soit solide et fiable. Bien sûr, le repêchage n'est pas une science exacte mais les hommes de hockey qui commettent le moins d'erreurs ont un net avantage sur leurs homonymes. Et à coup sûr, le dernier rang actuel du Caca de Mourial dans la Conférence de l'Est, n'est pas le fruit du hasard ou de la clairvoyance supérieure de Trevor Timmins !



Hier soir, à Buffalo, les Sabres ont porté leur fiche récente contre les CHieux à 8-0-1 en les blanchissant 3 à 0. Les hommes de Lindy Ruff sont de très bons alliés pour les anti-habs ! Merci à Ryan Miller et à ses coéquipiers ! Cody Hodgson a choisi le bon moment pour marquer ses deux premiers buts avec les Sabres, depuis qu'ils ont fait son acquisition des Canucks de Vancouver. Avant la partie, j'ai bien ri quand j'ai entendu des journalistes se demander si les Canassons profiteraient de cette rencontre pour venger Scott Gomez, après que celui-ci ait subi une commotion cérébrale en étant frappé dans le coin de la patinoire par le colosse défenseur Tyler Myers, quelques jours auparavant. Sous le régime Gainey/Gauthier, quand est-ce que vous avez vu ça un porte-couleurs de la CHnoutte défendre un coéquipier après un coup dur ? Il faudrait remonter à l'époque de Chris Nilan et de Pierre Bouchard pour retrouver les traces d'un pareil évènement ! Si cela avait été possible, s'ils avaient été assurés de toucher leur salaire quand même, une forte majorité des feluettes des Cannes à CHiens seraient partis en vacances au début du mois. Alors jouer dur, fournir des efforts louables contre un club comme Buffalo, qui donne tout ce qu'il a pour participer aux séries ? Oubliez ça !



On a bien vu cette indolence tranquille -pour éviter les blessures et ne pas trop suer- dans la façon que Scary Price s'y est pris pour écouler le temps durant cette joute. Normalement, un bon gardien de buts va immobiliser la rondelle lorsqu'il n'aime pas ce qui se passe autour de lui (mauvais positionnement de ses coéquipiers ou présence de joueurs adverses menaçants près de lui), pour donner une chance à ses coéquipiers de reprendre leur souffle, parce que son club est prisonnier dans sa zone depuis trop longtemps, ou pour briser le rythme de l'équipe opposée. Au contraire hier, Price avait hâte que ça finisse au plus vite. Il multipliait les retours de lancers sans les contrôler. C'était flagrant... Il se contentait de se faire le plus gros possible devant sa cage, de laisser les rondelles le frapper. La loi du moindre effort, en quelque sorte... Autour de lui, les Campoli, Emelin et Weber titubaient et échappaient les attaquants des Sabres, qui ont tiré profit de leur jeu mou et maladroit à trois reprises. Il n'en fallait pas davantage puisque l'offensive anémique des CHieux a été annihilé par un Ryan Miller bien concentré. Véritable monument d'impuissance en leur déshonneur, les tire-pois du CH établiront un record de concession la prochaine fois qu'ils seront blanchis au pointage. Le seul trio potable de la CHiasse, celui de Desharnais, a été neutralisé par la ligne Leino-Roy-Pominville. Rene Bourque a bien essayé de se sortir de sa torpeur, mais c'est pas facile quand tu as des mains de ciment.



Les fefans sont de moins en moins bavards, surtout les grandes gueules qui, avant le début de la saison, clamaient que les Canayins faisaient peur, tellement ils formaient une équipe d'élite (Allo M4rco, chez Gagnonville !). Maintenant ces prétentieux et ces pauvres cloches se cachent, et la fin de la saison de leurs "losers" ne viendra jamais assez vite à leur goût ! S'ils croient que les anti-habs vont les laisser tranquillement guérir leur peine cet été, ils se mettent royalement le doigt dans l'oeil. Ils n'en ont pas fini avec nous ! Bien sûr que nous serons toujours là pour leur rappeler sans cesse cette saison mémorable dont nous nous délecterons jusqu'à la fin ! Malgré leurs faibles excuses pour expliquer la débandade de leur bande de lâches, nous ne pouvons qu'être satisfaits que tous nos arguments des dernières années triomphent maintenant ! Indiscutablement et parfaitement ! Hourra pour les Anti-Habs !

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