Wednesday, February 29, 2012

REVOILÀ LES SACS BRUNS DE LA HONTE SUR LA TÊTE DES FEFANS DU CH !


Faute de voir leur club de jambons donner un spectacle sur la patinoire, les fefans des CHieux ont recommencé à se donner en spectacle dans les estrades. La tête fourrée dans des sacs bruns, ils peuvent ainsi montrer leur honte tout en cachant leur identité. Ça s'appelle faire d'une pierre deux coups ! Et ça rappelle l'Âge d'Or des Anti-Habs à l'époque bénie de la Grande Débandade CHicolore sous la direction de Réjean "Peanut" Houle, au tournant des années '90-2000. Le sac brun, aussi appelé sac d'épicerie, va très bien aux fefans. Le contenu épouse parfaitement le contenant. Comme dans de vrais sacs d'épicerie, on retrouve du foie de veau maigre à la place du cerveau ramolli des fefans, des navets coupés en cubes à la place des méninges, des poireaux en purée à la place des neurones, et de la gélatine neutre (Knox) à la place de la matière grise...

Oh ! Au cours des dernières saisons, on voyait bien que la CHarrette tirée par l'attelage Gauthier-Gainey-Martin s'en allait directement dans le mur. Mais pas à cette vitesse fulgurante. Le fameux plan quinquennal de la dynamique direction du Caca a avorté et s'est transformé en plan à court terme : perdre le plus de matchs possibles pour avoir le plus de chances possibles de mettre la main sur un premier choix au prochain repêchage ! Au moins, pour réussir ce plan-là, on est sur la bonne voie. Au rythme auquel le torCHon perd (sept défaites à leurs huit dernières parties), il sera 29e au classement général, d'ici la fin de la semaine... Les pousseux de puck moronréalaids viennent de subir cinq revers d'affilée et ils ont été dominés 16 à 5 au pointage. Cinq buts en cinq parties ! Très productifs ces CHieux ! C'est la grande sécheresse ! On passe de la laveuse à la sécheuse. On se fait laver et blanchir 3-0 par les Stars à MortYial, avant de sécher au soleil de la Floride.

Faire jouer le CHevreuil à Gomez sur le jeu d'impuissance va aussi aider énormément le CHiendent à couler au classement. Mais, attendez, j'y pense, avant de crucifier le Gomer, de dire qu'il est le pire pourri sur terre, d'en faire le souffre-douleur des fefans, de le désigner d'emblée comme étant le bouc-émissaire pour la saison cauchemardesque de la CHarogne, regardons donc les statistiques. Cette saison, en 82 minutes sur l'attaque massive, Scotty le mal aimé a marqué deux buts. Rappelons qu'il a manqué 30 parties à cause des blessures. Deux buts, c'est autant que Pédé Subban qui, lui, a joué 220 minutes sur l'attaque à cinq. Rappelons que les experts lui prédisaient entre 40 et 45 points et entre 15 et 20 buts avant le début de la présente campagne (il en a 4 présentement). Deux buts c'est un de moins que Desharnais (en 211 minutes) et Pacioretty (en 190 minutes). C'est seulement deux de moins que l'as Plekanec (en 199 minutes). Alors si Gomez est affreux en avantage numérique, il n'est pas le seul !



Hier soir, à Tampa Bay, la tâche (de perdre) était plus ardue pour les CHaudrons. Le Lightning, miné par les blessures et un virus rendant malade plusieurs joueurs, avait dû rappeler d'urgence six patineurs inexpérimentés des ligues mineures pour affronter les redoutables mollassons des Mollesounnes. Qu'à cela ne tienne, les Canailliens ont perdu quand même, contre le club B des Bolts. Il a suffi que Garon, le gardien substitut du coach Guy Boucher, vienne à bout de Price, le pseudo-gardien no 1 des CHaudrons. Remarquez que cela ne représente pas une grande surprise. N'importe qui peut battre Scary, comme sa fiche de loser le prouve amplement. Price a passé beaucoup de temps à genoux devant ses buts cette année. Il est visiblement écoeuré. Hier, on l'a encore vu jouer avec mollesse en tentant des passes ou des dégagements qui ont abouti sur la palette des joueurs ennemis. Comme les fefans et les autres joueurs de la CHiasse, il a très hâte que la saison se termine. Il va faire de l'équitation et du rodéo de bonne heure ce printemps. Le hockey pour lui, c'est un passe-temps. Mais ça passe pas assez vite actuellement... Faute d'avoir assez de congés pour se reposer, Scary s'absente souvent mentalement durant les joutes... Le Caca va quand même renouveler bientôt son contrat et lui donner une augmentation de salaire de 300% pour ses nombreuses défaites cette saison... Vous ne comprenez pas ? Moi non plus...



À part la bouillie habituelle (manque d'efforts, un seul trio dangereux, plus menaçants offensivement en désavantage numérique que durant les jeux de puissance, pratiquement personne se risquant dans l'enclave) on a eu droit à quelques sursauts de la part des nouveaux "hommes forts" du torCHon. "Missing link" Staubitz a livré un combat qui ne passera pas à l'histoire et Alexei Emelin est maintenant sur la liste noire des "jaunes" à qui il va arriver un malheureux accident, tôt ou tard. Cela a d'ailleurs failli se produire quand Ryan Malone a cherché à se battre avec le défenseur du CanaCHien après qu'il l'ait sournoisement frappé avec son coude au centre de la patinoire, quand l'attaquant du Lighning n'avait pas la rondelle et n'avait pas vu venir son agresseur. Un coup salaud de Emelin qui, comme Subban, a l'habitude de faire la tortue quand on le défie aux poings. Il ne veut pas se battre parce qu'il a une plaque de titanium dans la face à la suite d'une fracture de l'os de la joue survenue lorsqu'il a mangé une raclée l'an dernier dans KHL. Ça ne fonctionne pas comme ça dans la LNH. S'il couillonne un adversaire, il doit répondre de ses actes d'une façon ou d'une autre. À sa place, je me tiendrais tranquille... Un autre qui m'écoeure c'est Erik Cole. Il a pris la mauvaise habitude de projeter les défenseurs adverses sur leur gardien de buts. Manoeuvre dangereuse qui n'est presque jamais punie et qui devrait même lui valoir une suspension. Le préfet de discipline de la NHL, Brendan Shanahan devrait sévir à l'endroit du grand sans-génie de la CHnoutte. À moins qu'un des joueurs bousculés par Cole se fasse justice lui-même et envoie le 72 du Caca à l'hôpital pour le faire réfléchir, si c'est possible...



The Anne Boleyn Files - The Anne Boleyn Collection

Almost two years ago, I had the privilege of being part of the first ever Anne Boleyn Experience, organized by Claire Ridgeway of The Anne Boleyn Files.  I was fortunate enough to get to know Claire and to share our mutual love of Anne Boleyn.  When Scandalous Women came out, Claire did me the honor of reviewing the book.  Now it's my turn to share with my readers that Claire has just published her first book, The Anne Boleyn Collection.  To celebrate she's put together a week-long virtual book tour, where all sorts of goodies are up for grabs, for next week.
 
Here’s the schedule:-
 
•5th March The Tudor Tutor – Claire will be answering questions and giving away a signed copy of “The Anne Boleyn Collection” and a Tudor themed prize over at Barb’s Tudor Tutor blog.  A winner will be selected at random from entrants.

 
•6th March Let Them Grumble – Guest article on Anne Boleyn for Libby over at her Let Them Grumble blog. Claire will also be offering a signed copy of her book and a pair of Anne Boleyn earrings from “The Tudors” range. See Libby’s page on the 6th for details.

 
•7th March Anne Boleyn: From Queen to History – Over at Sarah’s Anne Boleyn: From Queen to History blog, Claire will be writing a guest article on the Boleyns and offering a signed copy of the book plus an Anne Boleyn B necklace or A necklace. All you have to do to be in the running for this give away is to either like the Anne Boleyn: From Queen to History Facebook page or leave a comment on her guest article on the 7th March.

 
•8th March Queen Anne Boleyn Facebook page – On the 8th March Claire will be answering your questions and giving away a signed copy of “The Anne Boleyn Collection” plus an Anne Boleyn scarf over at Sylwia’s Queen Anne Boleyn Facebook page. Sylwia is collecting questions at the moment and will be selecting a winner from those who “like” her page.

 
•9th March On the Tudor Trail – Claire will be rounding up the week with an interview over at Natalie’s On the Tudor Trail blog. She will also be giving away a signed copy of the book and an Anne Boleyn wine stopper.

Here are just a few of the exciting articles that you will find in the collection:

  • Should Anne Boleyn be pardoned and reburied as Queen?
  • Anne Boleyn and "The Other Boleyn Girl".
  • Did Anne Boleyn dig her own grave?
  • The Six Wives' stereotypes - are they right?
  • Did Anne Boleyn commit incest with her brother?

 The book is currently available on Amazon.com but not yet for the Nook.

Tuesday, February 28, 2012

Scandalous Women Reviews: Anne of Hollywood by Carole Wolper

Title:  Anne of Hollywood
Author:  Carole Wolper
Publisher: Gallery Books

Publication date: 1/24/2012
Pages: 352

Overview:

“I wasn’t prepared for the enemies. Had I been as gorgeous as a supermodel, or as rich as an heiress, or an actress with an Oscar to my credit, people would still not be happy that I had Henry’s attention, but they’d understand. What they resented was the king coupling with a ‘nobody.’”


Skirts may be shorter now, and messages sent by iPhone, but passion, intrigue, and a lust for power don’t change. National bestselling author Carol Wolper spins a mesmerizing tale of a twenty-first-century Anne Boleyn.

Wily, intelligent, and seductive, with a dark beauty that stands out among the curvy California beach blondes, Anne attracts the attention of Henry Tudor, the handsome corporate mogul who reigns in Hollywood. Every starlet, socialite, and shark wants a piece of Henry, but he only wants Anne. The question is: can she keep him?

Welcome to a privileged world where hidden motives abound, everyone has something to sell, and safe havens don’t exist. With her older sister Mary, a pathetic example of a royal has-been, Anne schemes to win her beloved Henry in the only way that gives a promise of forever—marriage. Success will mean contending with backstabbing “friends,” Henry’s furious ex-wife, and the machinations of her own ambitious family, and staying married to a man who has more options than most and less guilt than is good for either of them will take all her skill. Anne will do anything to hold on to the man—and the lifestyle—she adores, however, even if sticking your neck out in Hollywood means risking far worse than a broken heart. With Henry’s closest confidante scheming against her, and another beautiful contender waiting in the wings, Anne is fighting for her life. Can she muster the charm and wit to pull off her very own Hollywood ending?

My thoughts:  When I first heard about this book, I thought, 'You have to be kidding me! Anne Boleyn in Hollywood?' Still there was something about the idea that intrigued me. Perhaps it was the fact that this mash-up didn't turn Anne into a werewolf, a vampire or a succubus! So I downloaded a sample of the book onto my NOOK, and gave it a quick read. What I read made me want to read the whole book, but I confess, I took the book out of the library instead of buying it. A girl has to economize! 

The idea of translating the Tudors into contemporary Hollywood shouldn't work but it somehow does.  Henry VIII in Wolper's version is Henry Tudor who owns a studio, a web-site ala The Huffington Post, as well as other interests.  He's referred to as "the King" of Hollywood by various characters in the book. But Henry is not content with just being the Kingpin of Hollywood, he's seeking the Governorship of California. All of the usual suspects that most readers will be familiar with are here, Thomas Cromwell as been reinterpreted as Theresa Cromwell, Henry's right hand woman, Cardinal Wolsey is now crooked money manager Carl Wolsey, Catherine is Catherine Aragon, the daughter of a wealthy power-broker Ferdinand, she and Henry have a daughter Maren who is boarding school. As the book opens, they are wrangling not just over the divorce but over the property settlement. Catherine, obsessed with Henry, has become a devout Catholic, who pops pills to get through her day. Mary is a former model turned party girl who failed to snag Henry, so she becomes a pot-smoking hippie. All the Boleyn hopes are now pinned on Anne. See daddy Thomas Boleyn, unlike the successful courtier of Tudor Times, is an entertainment lawyer, who failed when he started his own firm. Now he creeps around the fringes of power with his face pressed against the window, trying to get in. George is a bisexual actor, who gets a job on a cop show thanks to Henry. Jane Boleyn is now Lacy, who hates Anne because George loves her so much. And then there's Jane Seymour who is now a jewelry designer and a friend of Theresa's.

The novel is written in an easy, breezy style from the points of view of various characters, mainly Anne (in the first person), Theresa, and a hanger-on Cliff Craven.  Anne is a likeable narrator, who genuinely seems to love Henry for himself, not just for what he can do for her family. Theresa Cromwell feels threatened by Anne, particulary when she takes over Henry's philanthropic foundation, which was Theresa's pet project.  There are two big weaknesses in this novel, the first is that Wolper fails to make the reader understand why everyone, apart from Catherine and Lacy, hates Anne so much.  She doesn't really throw her weight around, everyone agrees that she is vibrant, sexy, and charismatic. Unlike the real Anne, she doesn't confront Henry with his infidelities, she seems to roll with the punches.  She's a freelance writer, but unlike Lacy, she doesn't use her position as Henry's wife to snag a cushy job. Nor is she really one of those Hollywood wives who spend most of their times lunching.  We don't really see Anne doing much of anything, apart from giving birth to Elizabeth, and hoping to get pregnant with a male heir for Henry.  Apparently even in 2012, a daughter isn't good enough.

The other weakness in the novel is that Henry remains off-stage throughout most of the book. He's a cipher, a Howard Hughes figure but without the OCD. It's unclear how he became so rich, or powerful. After awhile, I began to lose interest in the story, or even care how Anne was going to get her comeuppance in this version of her life. Clearly, she's not going to be executed but somehow banished from her glitzy lifestyle. I've read Jackie Collins novels with more pizzazz and punch than this book which is really a shame because it's an intriguing idea.

Verdict:  Only for real fans of Anne Boleyn, or readers who love reading about Hollywood.

Monday, February 27, 2012

HOURRA ! LE TRIUMVIRAT GAUTHIER-MOLSON-GAINEY RESTE LÀ !


Ouf ! On a eu un peu peur tout de même... Mais Geoff Molson, le président automate et co-propriétaire du torCHon nous a rassurés sur twitter hier : les rumeurs de congédiement de son DG "vermoulu" Pierre Gauthier sont fausses. Hourra ! Le triumvirat formé de Bob Gainey, Pierre Gauthier et Geoff Molson pourra donc continuer d'exercer son incompétence et à détruire les CHaudrons, qui, comme on le sait, sont déjà collés au fond du classement. Remarquez qu'être derniers, être dans le trou, ça va comme un gant à une organisation qui croupit dans un bidonville comme Moronréal, un véritable trou à rats. En envoyant Andrei Kostitsyn rejoindre son frangin à Nashville, Gauthier s'est fait de la place sous le plafond salarial afin de faire signer des contrats mirobolants aux deux seuls joueurs qui excitent encore les fefans : Piqué des vers Subban et Carré aux Rice Krispies Price. L'état-major de la CHiasse se dit que tant que ces deux cons continueront à faire les bouffons et à fracasser des bâtons en signe d'intensité, la prospérité du club et les frais du "spectacle" sont assurés. Ces deux pseudo-vedettes continueront d'attirer comme des aimants les montagnes de fric que leur donnent les fefans. Il suffit de si peu pour berner et divertir ces mordus de la CHnoutte. Aussi longtemps qu'il n'y aura pas un concurrent à l'autre bout de l'autoroute 20... Avec le babouin no 76, champion olympique au plongeon, et le no 31, un écervelé surévalué, spécialiste du rodéo, le Caca est en voiture pour un bon bout de temps. Une voiture qui va prendre le bord du fossé à chaque année...



Bien sûr, il y a bien eu quelques déceptions aujourd'hui à Losers City, alors que Gauthier n'a pas pu se débarrasser de tout son bois mort avant l'heure limite de la fin des échanges. Les Campoli, Moen, Darche, Gomez, Kaberle, (ajoutez ici une autre moitié des joueurs de l'équipe) n'ont pas trouvé preneurs en tant que restants de table. Mais au moins, AK46, un membre inutile qui avait zéro point dans les neuf derniers matchs et deux petits buts à ses 28 dernières parties, est parti vers des cieux plus cléments. Un autre constat d'échec pour les petits génies qui ont conduit le bateau du Caca directement sur...les récifs ! Le frère André, rappelons-le pour rire encore plus, a été un choix de première ronde (10e au total) des CHieux en 2003. Les astucieux hommes de hockey de la CHarogne l'ont préféré à des joueurs comme : Zach Parise (17e), Dustin Brown (13e), Jeff Carter (11e), Ryan Getzlaf (19e), Corey Perry (28e), Mike Richards (24e), Patrice Bergeron (45e), Loui Eriksson (33e), Shea Weber (49e), Ryan Kesler (23e), Brent Seabrook (14e), David Backes (62e)... Les fefans sont tout joyeux parce que Gauthier a obtenu un choix de 2e ronde pour Kostitsyn. Rappelons que la même année (2003) qu'ils ont repêché AK46, les CHaudrons avaient sélectionné le très productif Cory Urquhart en 2e ronde. Si le passé est garant de l'avenir... Mais ça ne peut être pire que d'échanger Sergei Kostitsyn en retour de Dan Ellis et Dustin Boyd... On ne peut énumérer ici la longue liste des gaffes du fameux tandem Gauthier/Gainey. On manque d'espace... Mais il n'ayez aucune crainte Blake "Boum Boum" Geoffrion sera le prochain sauveur du CHiendent. Du moins c'est ce qu'on essaiera de faire croire aux fefans. Et aussi grosse que paraisse cette couleuvre-là, ils l'avaleront d'un seul coup de gargoton.

Dire que des fefans se berçaient d'illusions en croyant que leur club de pioCHeux pourrait se payer les services de Rick Nash. Décidément, ils vivent sur une autre planète que la planète hockey. De toutes façons, Mourial est un tel éteignoir de joueurs, que même un Sidney Crosby en santé deviendrait un pétard mouillé dans la métropauvre. Des gars intelligents comme Daniel Brière l'ont bien compris, et ils ont préféré poursuivre leur carrière ailleurs qu'à Moribonde Land. Les joueurs ne sont que de passage à Mourial. Le temps de remplir un chandail CHicolore délavé, avant d'aller voir ailleurs s'ils y sont.

Un dernier mot sur Pédé Subban. Hier dans cette autre défaite contre les Panthers en Floride (où, soudainement, le nombre de fefans qui s'affichent avec leur torCHon CHicolore a énormément baissé), le gros Caca, visiblement écoeuré, a tout fait en fin de match pour se faire sortir et ainsi abréger son temps de travail. En frappant lâchement des joueurs déjà à terre ou retenus par des arbitres ou des coéquipiers, il a réussi à se faire expulser de la game. Passant en coup de vent à côté du banc de sa gang de minus, il a renversé le petit tabouret sur lequel s'était assis Scary Price durant la joute. En voyant ce spectacle digne de l'insignifiant qu'il est, je me suis dis que Subban choisissait des adversaires de plus en plus petits à bousculer. Après le petit Brad Marchand (contre qui il s'est battu et a mal paru plus tôt cette saison), après le schtroumf David Desharnais (qu'il a sournoisement attaqué durant un entraînement la semaine passée), voilà que notre Picouille nationale s'en prenait à un tabouret pour évacuer sa frustration et se sentir dominant ! Dieu merci, il n'a pas été échangé et il va nous faire rire encore dans les mois et les années à venir ! C'est toujours ça de pris ! Et ça na pas de prix !

Saturday, February 25, 2012

LES CANAILLIENS, LES CANAILLIENS ET LES MOINS QUE RIEN...




Maintenant que le torCHon détient en exclusivité le dernier rang de la Conférence de l'Est, les fefans se font plus rares et moins bavards. Certains ou certaines (photo) se cachent ou renient cette équipe de lépreux et de galeux. Un peu comme dans l'évangile de Saint-Marc lorsque Jésus dit à Simon Pierre : «avant que le coq chante pour la deuxième fois, tu m'auras renié trois fois». La Sainte Guenille, on le sait trop bien, a remplacé la religion catholique depuis longtemps, même si le diocèse de Mourial a cherché dernièrement à s'attirer les grâces des fefans en publiant dans les journaux des annonces leur demandant de prier pour que les pioCHes poCHes participent aux prochaines séries de la Coupe Stanley. Meilleure chance la prochaine fois !


Mais ce ne sont pas tous les fefans qui ont perdu leur arrogance ou qui ont baissé la tête et les bras. Il s'en trouve encore pour crâner et chercher à descendre les autres clubs de la NHL. Même chose chez les journaliCHieux. Ainsi, avant la partie de vendredi à Washington (autre défaite, évidemment), les commentateurs de RBS et certains scribouilleux de journaux pro-CHieux, prenaient plaisir à souligner que les Capitals en arrachaient autant que les Canailliens. Et que l'entraîneur des Caps, Dale Hunter, cet infâme ancien Nordique, s'était pété la "yeule" en prenant la relève de Bruce Boudreau. De même, les petits fefans mesquins trouvaient également consolation en se réjouissant des récentes difficultés des Bruins de Boston.


Cette attitude remplie de bassesse me rappelle un incident que l'un de mes amis m'a rapporté l'autre jour. À son travail, il est syndiqué et il est l'employé qui a le plus d'ancienneté. Il peut décider de ses fonctions, de son horaire de travail et même de la quantité d'ouvrage qu'il désire accomplir. Il a la priorité pour le choix de ses vacances et il possède le fonds de pension le mieux garni, etc. Cela crée de l'envie, de la jalousie, et du mécontentement chez certains de ses compagnons de travail. L'un d'eux, froissé parce que mon ami en mène passablement large en étant l'homme de confiance du patron, et en gagnant un bien meilleur salaire que lui, a voulu le rabaisser en lui disant qu'il était un simple syndiqué comme les autres, un employé sans grade, bref, que, tout bien considéré, il était rien. Mon ami, qui a un très bon sens de la répartie, lui a répondu : «si moi je ne suis rien ici, toi tu es moins que rien !» Ce qui a cloué le bec de son interlocuteur. C'est exactement la même chose avec les fefans et les joueurnalisssssses prétentieux. Ils se permettent de critiquer les autres clubs mais ils oublient que, par rapport aux autres formations, les CanaCHiens sont moins que rien puisqu'ils croupissent dans la cave du classement. Baveux un jour, baveux toujours ! Typiquement moronréalaids !



Et cette semaine, on apprenait que l'organisation des CHaudrons trempait dans un autre scandale. Non contents d'exploiter ses partisans en leur vendant leur camelote et leurs billets à des prix exorbitants, les Molson ont essayé par tous les moyens d'empêcher les employés de leur Boutique des Souvenirs de se syndiquer. Les couillons voulaient maintenir leurs salaires au plus bas. Ils croyaient même qu'en ayant recours à la sous-traitance (un truc bien connu) pour l'exploitation de la Boutique, ils réussiraient à mettre en échec la tentative des employés qui avaient demandé leur accréditation syndicale. Le problème, c'est qu'en faisant affaire avec la compagnie ITT PERSONNEL pour gérer la Boutique de Souvenirs, les Molson se sont mis dans de beaux draps. En effet, Frank Bertucci, le patron de ITT PERSONNEL, est soupçonné d'avoir offert un pot-de-vin de $ 150 000 à un fonctionnaire de REVENU CANADA afin que ses impôts soient réduits de 1,1 Million de dollars. Ouais, les Molson ont de bons associés ! Et en plus, après deux ans de litige avec les employés de la Boutique de souvenirs, les patrons du torCHon ont perdu leur cause en Cour. Les travailleurs seront syndiqués et ils recevront de grosses augmentations de salaire...


Ce n'est pas la première fois que les CHieux se retrouvent dans des affaires louches ou des scandales. Rappelez-vous, il y a trois ans, l'affaire de la vodka et des escortes fournies aux frères Kostitsyn et à Roman Hamrlik par un individu appartenant à la pègre moronréalaise. Rappelez-vous, la même année, les faces d'enterrement de Jacques "popositif" Demers et de Alain Crête au moment où on s'apprêtait à passer les menottes à certains joueurs de la CHnoutte à l'aéroport, à leur retour d'une partie à l'étranger. On parlait alors de scandales sexuels, incluant des agressions, des viols, de même qu'un ou des détournements de mineures. Dans tous les cas, on a mystérieusement étouffé ces affaires honteuses, qui auraient secoué toute la LNH et auraient fait trembler le Canada entier. Combien d'autres histoires scabreuses et abracadabrantes ont ainsi été balayées sous le tapis, avec la complicité des autorités ? On ne le saura peut-être jamais...Non vraiment, que ce soit sur la patinoire ou en dehors, le CH et ses fefans sont mal placés pour critiquer les autres.


L'autre jour, un journaliste anglophone demandait pourquoi Pierre Gauthier et la direction du torCHon imposaient une politique du secret et de la méfiance en interdisant à la quasi-totalité de leur personnel de parler aux médias. Faut croire que moins ils parlent, moins on en sait. Et moins on en sait, mieux c'est. Ce qu'on sait, c'est que le Caca a des choses à cacher et que le silence le sert bien. Le silence est d'or... Évidemment, les patrons de la CHiasse joueront aux innocents et nieront ces assertions de scandales à plusieurs reprises plutôt qu'une. Ils diront que ce sont des tentatives de chantage. Mais si on prête bien l'oreille au loin, on entendra le coq chanter au moins deux fois... Les Anti-Habs aussi chanteront bientôt en célébrant l'élimination officielle des CHaudrons. Pendant que les fefans, eux, déchanteront. Ha ! Ha ! Ha !

Friday, February 24, 2012

Scandalous Women Radio presents: Mary Seacole (1805 - 1881)

Tune in this Sunday, February 26th to Scandalous Women over at Blog Talk Radio where I will be talking about one of the most remarkable women of the Victorian Era:  Mary Seacole.

The Times of London called her a heroine, Florence Nightingale called her a brothel-keeping quack, and Queen Victoria's newphew called her Mammy. But her name was Mary Seacole, one of the most eccentric and charismatic women of the Victorian era. Desperate to help out in the Crimean War, she was refused, but she traveled under her own steam, to help out. For more than a century after her death, the life of Mary Seacole was forgotten, but thanks to new research and biographies, her story has now been told. In 2004 Mary Seacole was voted top of a list of 100 of the greatest Black Britons and was again recognised by the public for her achievements during the Crimean War.


Sources:

Jane Robinson - Mary Seacole: The Charismatic Black Nurse Who Became A Heroine of The Crimea (2004)

For more information:

Mary Seacole at the Florence Nightingale Museum
Mary Seacole

Thursday, February 23, 2012

Margaret Sanger - Saint or Sinner?

“No woman can call herself free who doesn’t own and control her own body” – Margaret Sanger.


Almost 40 years after her death, Margaret Sanger (1879-1966) is still a subject of controversy in the United States. While some people see her as a savior, the woman who created the first women’s birth control clinic in the U.S., others see her as a racist, a promoter of promiscuity and a killer of unborn babies. Given the political climate in the U.S. where the far right seeks to dismantle her entire life’s work, I thought it was a good time to take a look back at her legacy. Type Margaret Sanger’s name into “Google” and you will find just as many web-sites that revile Sanger as you will those that admire her. The clinic that bears her name on the Lower East Side of Manhattan is picketed daily by anti-abortion activists who completely ignore the good that Planned Parenthood has done in its 80 years of existence, providing free and low-cost healthcare to women who either don’t have health insurance or cannot afford it. From a personal standpoint, when I was unemployed and had no health insurance, Planned Parenthood provided me with a freely yearly gynecological exam, plus they steered me to a clinic where I could receive a free mammogram.

For Margaret Sanger the cause of birth control was a personal crusade. At the age of twenty, Margaret watched her mother Anne die of tuberculosis at the age of 50, worn out after 18 pregnancies in 22 years of which 11 children survived. During her work as a visiting nurse on the Lower East Side in New York, Sanger was asked repeatedly for help by the poor immigrant women she was treating for any way to prevent unwanted pregnancies. Lacking any means of contraception, many of these women, when faced with yet another mouth to feed, resorted to back-alley abortions. After one of her patients died due to a self-induced abortion, Sanger made it her life’s mission to making reliable contraception information available to women.

But there was a huge obstacle to her mission, namely the Comstock Act, a federal statute that made it a criminal offense to send information about contraceptives through the mail, labeling it obscene. In these early years, Sanger considered birth control a free-speech issue. She believed that the only way to change what she considered an unjust law was to break it. In 1914, she started publishing a monthly newsletter The Woman Rebel. She came by her rebellious nature honestly. Her father Michael, an Irish Catholic immigrant turned atheist, was a supporter of unions and education for women. Sanger coined the term "birth control" and began to provide women with information and contraceptives. She was arrested over 8 times during her career, starting in 1915 when she was arrested in 1915 for sending diaphragms through the mail and again in 1916 for opening the first birth control clinic in the country for which she spent 30 days in prison. In 1921 she founded the American Birth Control League, and spent the next three decades campaigning to bring safe and effective birth control into the American mainstream.

But there was still more work to be done as far as Sanger was concerned. She had been dreaming of a "magic pill" for contraception. Tired of waiting for science to turn its attention to the problem, Margaret Sanger found Gregory Pincus in 1951, a medical expert in human reproduction who was willing to take on the project. Their collaboration would lead to Enovid, the first oral contraceptive, in 1960. When Sanger passed away in 1966, after more than 50 years of fighting for the right of women to control their own fertility, she died knowing she had won the battle.

Margaret Sanger is a classic example of an admired public figure who is also a flawed human being. She would probably be the first person to admit it. Sanger devoted her life to legalizing birth control and making it universally available for women. At the same time, her crusade took her away from her children and contributed to the end of her first marriage. No one denies that Sanger had a prickly personality, that she was impatient, and that she often didn’t given credit to women such as Emma Goldman, who were advocating for birth control long before Margaret took up the cause. However, there are several issues that people find hard to overcome when it comes to Sanger.

Problem number one for Sanger admirers: Her support of Eugenics which is nothing short of appalling. Eugenics believed in the survival of the fittest to a certain extent, meaning that the deaf, the mentally or physically handicapped shouldn’t be allowed to breed. This concept got interpreted as a justification for racism, and eugenics was incorporated into the Nazi regime. Sanger believed in what was called “negative eugenics” including compulsory segregation or sterilization for the profoundly retarded, advocating coercion to prevent from procreating. However, Sanger wasn’t an advocate for euthanasia for the unfit. She denounced the lethal Nazi eugenics program.

Then there is the idea that Sanger was an advocate for abortion. From the beginning she advocated contraception rather than abortion. Sanger had seen the damage done to women by back-alley abortions. She believed that birth control should be available to all women; particularly the poor, because limiting the number of children would help mothers provide a better quality of life for their families, especially when resources were limited. She also opposed abortion because she felt that it was the taking of life. In her autobiography she clearly wrote, “We explained what contraception was, that abortion was the wrong way no matter how early it was performed it was taking life; that contraception was the better way, the safer way.” She also wrote in her book, Woman and the New Race, “While there are cases where even the law recognizes an abortion as justifiable if recommended by a physician, I assert that hundreds of thousands of abortions performed in America each year are a disgrace to civilization.” It wasn’t until the after her death, that the reproductive rights movement expanded its scope to include abortion rights as well as contraception.

Was Margaret Sanger a racist? Her critics say a big fat YES. They point to a letter that Sanger wrote a letter to a supporter named Clarence Gamble in the 1930’s when The Birth Control Federation played a supervisory role the Negro Project, which sought to deliver birth control to poor African-Americans. The letter stated “we do not want word to get out that we want to exterminate the Negro population.” This single quote has been used by her detractors to prove that she was a racist. Last year, former Republican presidential candidate Herman Cain, claimed that Planned Parenthood, the visionary global movement she founded nearly a century ago, is really about one thing only: “preventing black babies from being born.” Sanger wasn’t immune to the criticism that birth control would pose a threat to the African American community. From the beginning, she wanted to involve the African American community in the formation of birth control clinics in the South, to make sure the black community didn’t associate The Negro Project with racist sterilization campaigns. In 1930, she had opened a clinic in Harlem where both the staff and the board was made up entirely by African-Americans. The clinic received the approval of many prominent African-American leaders including W.E.B. Du Bois, one of the founders of the NAACP. Her critics also point out that she gave several speeches to women of the Klu Klux Klan (I have no explanation for that one). Does this mean that she was a racist? Only Sanger could tell us for sure.

Did Sanger promote promiscuity? Her work promoting birth control certainly meant that sex was no longer just for pro-creation purposes. Sanger for a time believed in ‘free love’ as did many of the bohemians that she hung around with in Greenwich Village during the pre-World War I period. Sanger adopted the view that sex was a powerful, liberating force. Of course this doesn’t mean that Sanger expected everyone to go out and shag their hearts out. She also believed that both sex and birth control should be discussed openly.

Despite her flaws, Sanger still remains an iconic figure in the struggle for women’s reproductive rights.

For more information on Sanger, take a look at the NYU Margaret Sanger Papers Project

Wednesday, February 22, 2012

CANAILLIENS GRIPPÉS ET BLANCS COMME DES DRAPS : «MA GANG DE MALADES, VOUS ÊTES DON OÙ ?»


C'est la suite logique... Après avoir prévenu le monde libre que ses vaillants chevaliers de la palette fêlée étaient fatigués, il fallait s'attendre à ce que le "head coach" Randy "la face en poté" Cunneyworth révèle que la moitié de son club de poires a la grippe. Encore une excuse de "losers" ! La prochaine étape est sans doute une épidémie de gastro ou de SIDA. On sait déjà que la bande de lâches du torCHon est affectée depuis longtemps par la JAUNISSE (surtout Pédé Subban). Et avec les défaites qui s'empilent à une vitesse folle, la rougeole (comme dans "rougir de honte") n'est pas très loin non plus. En résumé, avec les CHieux, et les fefans qui payent le gros prix pour les voir...ne pas se présenter aux matchs, on a affaire à une méchante "gang de malades". Oui, des malades qui ne se présentent pas, surtout en début de rencontre. Et surtout lors des parties à domicile. Hier, ils en étaient à une 22e défaite en 33 joutes locales. Faut le faire ! Dans leurs quatre derniers matchs au Centre PouBell (quatre défaites, il va sans dire), les CHaudrons ne sont pas sortis forts, comme on dit. Le nombre des lancers en première période de ces quatre revers, 53 à 19 en faveur des visiteurs, est un bon indicateur que les pourris de la CHnoutte n'ont plus envie de jouer et attendent maintenant impatiemment la fin de cette saison lamentable. Hier, les ti-gars maganés ont enregistré un impressionnant total de cinq tirs au but lors du premier engagement. Les deux premiers lancers, des "boulets" de la ligne rouge, sont survenus à mi-chemin de ce premier vingt, et ils ont soulevés les applaudissements sarcastiques de la foule des fefans emmurés dans cette vaste bâtisse qui fait office d'asile.


Pendant que les CanaCHiens sont sur les TYLENOL pour soigner leur grippe de mauviettes (pas une grippe d'homme), les fefans sont sans doute au lithium ou sur les anti-dépresseurs. Le Centre BéBell, jadis un château fort, car les CHieux étaient essentiellement des "homers", est devenu un château de cartes emporté par le vent des défaites multiples et de l'humiliation permanente. Une déchéance tellement profonde, que le Caca a culbuté au 27e rang (bientôt 28e) au classement général. Avant le début de la saison, les anti-habs situaient le club des Molson entre "douteux et affreux". C'est à peu près là qu'il est présentement. Peut-être plus proche d'affreux, finalement... Hier, malgré l'aide et la pitié des arbitres, qui ont décerné quatre pénalités de suite aux Stars en 2e période, le CHiendent a été blanchi pour un 33e match cette saison en avantage numérique. Ça aussi nous l'avions écrit dès l'ouverture de la campagne 2011-12 : point de salut pour le CH sans un jeu de puissance décent. Le désastre d'un PP complètement anémique est devant nos yeux depuis ce temps-là... Et avec lui, l'échec pitoyable de la saison au complet... L'entraîneur des Stars a dû sermonner l'arbitre en chef hier pour que la série de punitions à son équipe s'arrête et que sa formation obtienne enfin une petite attaque à cinq en 3e période. Moi, devant ma télé, je bouillais. Pendant que les Stars étaient au cachot, les CHieux, eux, accrochaient (photo ci-dessus) à qui mieux-mieux sans que les officiels ne lèvent le bras pour signaler ces infractions flagrantes. Eux itou devaient être malades... Si les zèbres n'ont pas été brillants, on peut en dire autant de Scary Price qui a été poche sur le 3e filet des Stars. En plus de commettre le revirement (sa spécialité) qui a mené à ce but, Price s'est fait passer un sapin sur le faible tir de Tom Waddell. Ça couronnait bien la soirée !



Ce qui est si plaisant cette année, c'est que d'ex-porte-couleurs de la CHiasse reviennent hanter leur ancien club et contribuent grandement à le défaire et à l'entraîner vers les enfers ! Après Halak et Spacek un peu plus tôt cette année, ce fut au tour des Robidas, Ryder et Ribeiro de festoyer aux dépens des CHaudrons hier. Robidas a été le joueur le plus occupé avec 24 bonnes minutes de jeu (il a bloqué quatre tirs). Ribeiro y est allé de quelques feintes savantes, dont lui seul a le secret, et il a marqué le deuxième but des siens. Il a salué sa réussite de manière spectaculaire, lui qui n'avait pas joué en saison régulière à Mourial depuis qu'il a été échangé par le CH en 2006. Avant la game, on lui avait demandé s'il s'attendait à être hué par les fefans. Ribeiro a répondu qu'ils devraient plutôt huer leur équipe ! Très très bonne réponse ! C'est d'ailleurs ce qu'ils ont fait peu avant le son de la sirène annonçant la fin de la partie. Nommé la première étoile du match, le 63 des Stars en a mis plein la vue aux quelques fefans qui n'avaient pas battu en retraite avant la fin de la rencontre. Battements des bras, tour d'honneur sur une jambe, salut militaire, salut théâtral, Ribeiro savourait vraiment ce moment de gloire ! C'est en effectuant son salut militaire (photo du haut) qu'il m'a fait penser aux gestes du chanteur Daniel Boucher quand il chante son fameux refrain "MA GANG DE MALADES, VOUS ÊTES DON OÙ". Une chanson qui aurait été tellement appropriée dans les circonstances hier !

Monday, February 20, 2012

LES JOUEURS DU CH SONT AU BOUT DU ROULEAU : COMPLAINTE DES TI-GARS BIN FATIGUÉS...

C'est pas mêlant, on croirait entendre le personnage du gars bin fatigué de l'humoriste Dominique Lévesque (photo). Selon le "head coach" Randy Cunneyworth, ses pauvres choux CHicolores sont fatigués physiquement et mentalement. Une belle excuse pour perdre ! Ce qu'ils ne manquent d'ailleurs pas de faire ! La défaite de 3-1 subie hier contre New Jersey était leur 36e de la saison et la 21e à domicile (pire dossier de toute la Ligue Nationale). Ils ont sans doute hâte que leur campagne de misère 2011-12 finisse. Après le match de demain contre Dallas, ils disputeront sept de leurs neuf prochaines parties à l'étranger. Ce sera alors moins gênant et moins fatiguant de se laisser battre en attendant les vraies vacances du printemps et de l'été. Remarquez que les CHaudrons n'ont pas attendu pour prendre un congé préventif hier contre les Devils. Les arbitres aussi en ont profité pour piquer un bon somme : ils n'ont décerné aucune pénalité aux CHieux. Ils se sont contentés de surveiller les infractions du club visiteur. C'est moins forçant. Après trois petits lancers en début de rencontre, les "burn out" du Caca ont laissé passer 17 minutes et 39 secondes de jeu sans tirer une seule fois au but défendu par Martin Brodeur. Peut-être une tactique pour que le valeureux vétéran de 39 ans s'endorme et accorde des buts faciles en oubliant qu'il gardait le filet au Centre PouBell hier soir. À mi-chemin en 2e période, c'était 17-6 Devils, en ce qui a trait aux tirs au but. Il faut mentionner que les Devils n'étaient pas fatigués, eux... Les avants et les défenseurs des démons du New Jersey ont bloqué pas moins de 33 rondelles dirigées vers Brodeur. Ils ont aussi bloqué le centre de la patinoire en "trappant" les porte-torCHons pendant tout l'affrontement. Les pauvres ti-gars du bleu, blanc, merde n'avaient tellement pas d'énergie qu'ils n'ont presque pas fait d'échec-avant. Trop éreintant. Trop exigeant pour mériter leur salaire de multi-millionnaires. Il s'agissait de la 8e victoire d'affilée des Devils à MortYial. Leur dernier revers dans la métropauvre remonte au 11 mars 2008. Y sont don bin bons les Canailliens ! Fatigués depuis si longtemps ? S'ils pouvaient envoyer des "deux points" par courriel, ils le feraient sûrement ! Au diable les fefans !



Scary Price, lui, doit être fatigué de perdre. C'était sa 30e défaite de la saison, un sommet (ou un creux, c'est selon...) dans la NHL. Et le cow-boy vanné n'est pas au bout de ses peines puisqu'il ne partage plus son travail de gardien avec son auxiliaire Hal "Frankenstein" Gill, qui "goale" maintenant pour le compte des Predators de Nashville (lire mon récent billet au sujet de l'échange de Gill sur mon site L'ANTI-HABS ILLIMITÉ- http://lantihabsillimite.blogspot.com). La moyenne de buts alloués de Price est déjà à la hausse, et son pourcentage d'arrêts est à la baisse... Comme il fallait s'y attendre, Erik Cole a également flanché hier. Rendu à boutte, blessé au poignet, aux côtes et probablement aux chevilles, il a tout sacré ça là en 3e, en retournant au vestiaire, avant la fin de la joute. Il était un des deux moteurs de l'avion offensif de la CHiasse. Aussi bien dire qu'il ne reste qu'un seul engin de fonctionnel : Max Pacioghetti. L'avion vole de plus en plus bas, avant de "crasher" dans pas grand temps... À force de foncer sur les gardiens adverses, dans les bandes ou sur les poteaux des buts, on se doutait bien qu'un jour ou l'autre, Cole rencontrerait son "Waterloo". Le puant P.K. Subban est aussi victime du syndrome du "pu capable". Constamment conspué par les foules étrangères, détesté aussi par les joueurs ennemis et ses propres coéquipiers, constamment réprimandé par ses entraîneurs, le jeune défenseur au sourire de guenon en chaleur, est de plus en plus hésitant avant de faire ses jeux. Il se cache souvent pendant de longues secondes derrière le filet de Price, en ne sachant pas du tout quoi faire avec le disque. À moins qu'il reste là aussi longtemps pour admirer le postérieur de son tata Scary... Rene Bourque (-3 hier, tout comme Darche et Plekanec) doit déjà être fatigué de l'uniforme CHicolore parce qu'il est souvent invisible durant les matchs. Encore un bel échange du DG des CHieux, Pierre Gauthier. Parlons plutôt d'un autre beau coup d'épée dans l'eau... Les chances des CHaudrons de participer aux éliminatoires sont elles aussi épuisées, avec un faible pourcentage de 7,5 %. Hier, même Youppi était fatigué de son costume du CH qu'il a troqué pour son ancien costume des Expos. Les seuls qui ne sont pas fatigués de se faire fourrer par les Molson, ce sont les fefans, qui continuent d'acheter la camelote du Cacad'CHien à prix d'or et d'ingurgiter leur pisse de jument à $ 10,50 le petit verre.



Toujours au chapitre des gars fatigués, il faut ajouter les journaleux qui couvrent les pissous du Canayin. Parmi les scribes frustrés, il y a surtout les Anglos, qui sont écoeurés de se faire refuser des entrevues par Gauthier et presque la totalité du personnel du torCHon. Ils dénoncent cette culture CHicolore du secret et de la paranoïa. Ils n'ont pas du tout apprécié que Gauthier n'ait pas daigné commenter l'échange de Hal Gill. Selon eux, c'est un manque de classe et de professionnalisme de la part de cette organisation jadis respectée. Gauthier serait, selon la presse anglophone, le seul directeur-général à agir de la sorte dans la LNH. Autant dire que le ténébreux et renfrogné patron hockey de la CHnoutte les méprise et les envoie presque CHier avec son air bête caractéristique. Vous dire que les "sports writers" de MountRiawl ont tous hâte au congédiement de Gauthier serait un euphémisme ! Mais faut-il blâmer Gauthier et ses acolytes de ne pas vouloir parler publiquement ? Affronter la presse serait s'exposer à se faire rire dans la face pour tous les échecs du présent régime en place chez le Cacanadien. Ce serait se mettre en mauvaise posture en risquant de recevoir au visage toutes les couleuvres que l'état-major du torCHon a tenté de faire avaler aux médias et aux fefans au cours des dernières années. Se rendre disponible, transparent et vulnérable en risquant de se faire coincer par des questions dangereuses, c'est trop demander aux dirigeants de la CHarogne. Mieux vaut se cacher et poursuivre l'hypocrite politique de la chaise vide, en attendant la fin. C'est beaucoup moins difficile et fatiguant !

Friday, February 17, 2012

Scandalous Women Presents: The Two Ellens

I had mentioned a few months ago the possiblity of a Scandalous Women podcast or radio show.  Well, on this Sunday, February 19th, will be the first episode of Scandalous Women on BlogTalk Radio. I and my special guest, author Leanna Renee Hieber, will be talking about The Two Ellens of Victorian Theatre, Ellen Terry, and Ellen Ternan. You tune in live to listen at 4:30 p.m. ET or catch up with the show later in the week.




Ellen Terry was one of the most famous actresses in the 19th century; her partnership with Sir Henry Irving thrilled theatregoers for years.  Ellen Ternan, also an actress, was the mistress of author Charles Dickens. Since this February marks the 200th anniverary of Dickens's birth, it seemed fitting to discuss one of the more significant women in his life.


Author, actress and playwright Leanna Renee Hieber graduated with a BFA in Theatre, a focus in the Victorian Era and a scholarship to study in London. She adapted works of 19th Century literature for the stage and her one-act plays have been produced around the country. Her novella Dark Nest won the 2009 Prism Award for excellence in the genre of Futuristic, Fantasy, or Paranormal Romance. Her debut novel, The Strangely Beautiful Tale of Miss Percy Parker, landed on Barnes & Noble's bestseller lists, won two 2010 Prism Awards (Best Fantasy, Best First Book), and is currently in development as a musical theatre production with Broadway talent on board. DARKER STILL: A Novel of Magic Most Foul, first in Leanna's Gothic Historical Paranormal saga for teens (Sourcebooks Fire), hit the Indie Next List as a recommended title by the American Booksellers Association. Her books have been translated into several languages. Her short fiction has been featured in anthologies Candle In the Attic Window and Wilful Impropriety: Tales of Society and Scandal. A member of SFWA and RWA, Leanna is a co-founder of Lady Jane's Salon Reading Series in Manhattan and was named the 2010 RWA NYC Chapter Author of the Year. A member of performers unions AEA, AFTRA and SAG, Leanna works often in film and television. A devotee of ghost stories and Goth clubs, she resides in New York City with her real-life hero and their beloved rescued lab rabbit.

Thursday, February 16, 2012

PRICE BATTU UNE 8e FOIS EN DIX FUSILLADES CETTE SAISON !


C'est devenu une tradition au cours des dernières saisons. À cette période-ci de l'année, les Bruins de Boston se payent la traite contre le torCHon. Les Anti-Habs attendent toujours avec impatience cette séance de matraquage des CHieux. Ils ont l'habitude d'en prendre pour leur rhume et de goûter à la médecine des "B's". Les coups pleuvent sur les poules mouillées CHicolores. Un vrai festin anti-caca ! Hier soir, lors de la dernière confrontation de la présente campagne entre les deux grands rivaux, on espérait être bien servi et on souhaitait que la tradition annuelle de plantage de CHaudrons se poursuivrait. Et nos voeux ont été exaucés ! Ce matin, à la séance d'entraînement du CHiendent, il y avait six CHieux manquants : Gill, Gorges, Diaz, Cole, Subban et Darche, tous à l'infirmerie pour soigner des blessures, résultats du traitement spécial que leur ont réservé les Bostonnais hier. Ça c'est de la belle ouvrage ! Si seulement ça se produisait plus souvent !



Encore une fois, Patrice Bergeron, a contribué à la victoire des hommes de Claude Julien avec du travail impeccable comme toujours en défensive, et un but magnifique sur un tir rapproché, dans le haut du filet. Un but qu'aucun CHieux n'aurait pu marquer, faute de mains assez habiles pour réussir pareil tour de passe-passe. Bravo à ce fier Québécois natif de la vieille capitale, qui, l'été dernier, nous a fait le grand plaisir et l'insigne honneur de nous faire toucher la Coupe Stanley que les Bruins venaient de remporter. Le plus touchant, c'était de voir les vieux partisans des Bruins, des gars dans la cinquantaine et dans la soixantaine venus de partout au Québec, remercier Pat d'avoir joué un rôle de premier plan dans cette conquête qui mettait fin à 39 ans d'attente. Émus, au 7e ciel, les fidèles supporteurs des Bruins étaient beaux à voir, en se relayant sur l'estrade d'honneur pour enlacer la Coupe et se faire photographier aux côtés du héros local. Merveilleux ! On va s'en souvenir longtemps ! D'autant plus que les Bruins avaient éliminé la CHnoutte en première ronde, sur leur chemin vers le Saint Graal... Oui messieurs, encore plus satisfaisant et jouissif ! J'ai du respect pour les Québécois qui prennent pour un club autre que le Caca. Mais j'ai le plus grand mépris au monde pour les anciens partisans des Nordiques qui ont viré leur capot de bord pour revêtir les couleurs du torCHon de Mourial... Déshonorant et pathétique... Patrice, bien qu'il soit un gars très riche et un des meilleurs joueurs de la NHL, est resté humble et simple. Il aurait pu avoir la tête en l'air et le triomphe démonstratif. Mais non, ce n'est pas son genre. Il a de la classe. Ce n'est pas un hot dog insignifiant comme Pété Subban, qui n'a jamais rien gagné dans la Ligue Nationale, sauf la haine et le mépris des autres joueurs du circuit Bettman... Gros caca...



Revenons à notre soirée de CHiens écrasés. On a presque tout vu dans cette bataille où Scary Price a "mérité" une 8e défaite en fusillade, et ce, en dix décisions, cette saison (2-8). Lorsqu'on fera le bilan de cette saison de misère des étrons moronréalaids, on devra se souvenir de ces performances atroces de Price, lorsque son équipe avait besoin qu'il fasse la différence dans les parties serrées nécessitant des tirs de barrage. Son vis-à-vis Tim Thomas a fait la démonstration éloquente cette année de ce qu'est un excellent gardien : il n'a accordé qu'un seul but en 16 tirs de barrage. Price, le loser, en a donné 13 sur 31 lancers. Pour les champions défendants, c'était une 7e victoire en huit fusillades, en 2011-12. Les joueurs de Boston ont marqué 12 fois en 25 tentatives dans ces circonstances, pendant que ceux de MortYial ne déjouaient les gardiens adverses que sept fois en 31 occasions. Ça en dit long sur la différence de talent entre les deux clubs. En plus, la grosse tête fromager à Cunneyworth s'est attiré les critiques bien méritées des fefans et des journaliCHes-culs en envoyant Lâche Eller comme troisième tireur de son club en fusillade. Le Danois était gelé bin raide après avoir passé les 25 minutes précédentes sur le banc, sans jouer un seul "shift". Pas étonnant qu'il ait raté son coup en essayant de battre Thomas... Ça confirmait cette autre défaite de la CHarogne au Centre PouBell. Grâce à un brillant arrêt de la jambière, la merveille masquée des B's a aussi frustré Paciorotini (photo), le fabuleux marqueur des Canailliens, incapable de soulever le disque avec ses mains de béton...



Après ce derby de démolition, on parlait beaucoup des fefans sadiques et stupides qui ont crié et applaudi à tout rompre lorsque Chara a reçu la rondelle au menton, grâcieuseté de Turtle Neck Plekanec. Personne n'a remarqué que c'était arrivé à la dernière seconde de la première période et que c'était peut-être un geste volontaire du joueur de la Flanelle sale. Il avait le tableau indicateur devant lui, il devait savoir que la période se terminait. Pourquoi a-t-il soulevé le disque ainsi ? Il s'est excusé à Chara pendant que les fefans jubilaient de voir le sang du capitaine des Bruins gicler sur la patinoire. On sait que qui s'excuse s'accuse. On va lui donner le bénéfice du doute, mais puisque personne chez le Cacanadien n'est en mesure de se battre avec Chara, lui lancer une rondelle au visage, c'est à peu près la seule façon de le mettre K.O.. Le grand 33 est revenu au jeu en deuxième période, mais jusqu'à la fin du match, il n'a pas été à son mieux, surtout lorsqu'il a donné la noire à Cole directement devant son filet, sur le but égalisateur de la CHiasse.



Les deux formations ne sont pas ménagées, on a assisté à de bonnes mises en échec et à de beaux buts. Dommage que l'arbitrage ait été si déficient. Et, contrairement aux fefans qui poussaient les hauts cris sur le placage supposément salaud de Marchand à l'endroit de Emelin, Brendan Shanahan, le préfet de discipline de la NHL, a jugé cette mise en échec parfaitement légale. On ne peut en dire autant du coup de genou de Hal Gill contre Rich Peverley, qui n'est pas revenu au jeu après cette manoeuvre dangereuse du Frankenstein CHicolore. Encore une infraction ratée par les officiels. J'ai bien ri (comme les joueurs de Bruins) quand White s'est fait brasser la "mop", qui lui sert de chevelure, durant son combat contre McQuaid en début de rencontre. Fallait voir les CHieux debout, à leur banc, s'excitant de voir enfin un des leurs se battre. C'est tellement rare ! Et White en rajoutait en s'envoyant les baguettes en l'air pour réveiller sa bande de losers. Pendant ce temps, les joueurs de Julien étaient bien calmes sur leur banc. Ils en ont vu d'autres, et des meilleures ! C'est normal et banal pour eux de voir un de leurs hommes forts manger du Canayin... Pas de quoi s'exciter le pompom...

De vrais champions ne sont jamais satisfaits ou complaisants. Après cet affrontement et malgré la victoire, Bergeron déplorait le fait que les Bruins ait perdu leur avance de 3-1 en 3e période. Ils n'ont pas "closé" comme ils auraient dû le faire. Le Cacad'CHien n'aurait pas dû récolter un point dans ce match. Mais puisque Toronto a gagné en fin de soirée, le Caca se retrouve à huit points du 8e rang et d'une place en séries de fin de saison. Avec des probabilités de 11% de participer au tournoi pour la Coupe Stanley. Mince alors ! Ça vaut la peine de revoir les faits saillants de cette joute âprement disputée. Surtout quand Price a baissé la tête, gêné et embarrassé, après le but gagnant de Seguin, sur lequel il n'a même pas réagi tant il était pris au dépourvu... Le meilleur gardien au monde, qu'ils disent ! Laissez-nous rire ! Ha ! Ha ! Ha !



Wednesday, February 15, 2012

Movie Review: W/E

Directed by: Madonna

Written by: Madonna & Alex Keshishian
Produced by: Madonna, Kris Thykier, Colin Vatnes, Sara Zambreno, Scott Franklin & Harvey Weinstein
Distributed by: The Weinstein Company/Studio Canal UK

Starring:

Wally Winthrop: Abby Cornish
William Winthrop: Richard Coyle
Wallis Warfield Simpson: Andrea Riseborough
The Prince of Wales/Edward VIII – James D’Arcy
Evgeny: Oscar Isaac
The Duke of York/George V – Laurence Fox
The Duchess of York – Natalie Dormer
George V – James Fox
Queen Mary – Judy Parfitt


Plot:

W.E. tells the story of two fragile but determined women, Wally Winthrop and Wallis Simpson, separated for more than six decades. In 1998, lonely New Yorker Winthrop is obsessed with what she perceives as the ultimate love story: King Edward VIII’s abdication of the British throne for the woman he loved, American divorcee Wallis Simpson. But Winthrop's research, including several visits to the Sotheby's auction of the Windsor Estate, reveals that the couple's life together was not as perfect as she thought. Weaving back and forth in time, the film intertwines Wally's journey of discovery in New York with the story of Wallis and Edward, from the glamorous early days of their romance to the slow unraveling of their lives in the decades that followed.

My thoughts:

I saw this early Sunday morning. So why has it taken me until Thursday to write my review? Because there were so many other interesting things to do with my time; like my laundry, reading, or catching up on my night-time soaps. It’s not that W/E was a bad film; it just wasn’t a particularly good one either. I really wanted to like this film. I’ve been a fan of Madonna from the very beginning of her career, and I’ve always been a little bit obsessed with The Duchess of Windsor. From the first episode of Edward & Mrs. Simpson on PBS, I have been hooked on the story of the King who gave up his throne for the Baltimore Belle. So how can I fault Madonna for her own obsession with the story?

The problem lies in the construction of the film. Madonna frames the story of Edward and Wallis with a contemporary story of a southern belle named Wally Winthrop. In interviews, she has stated that she wasn’t interested in just telling the story of the couple; she wanted to filter their story through a contemporary woman who finds her own way to happiness while investigating the story. Unfortunately, Wally’s story suffers in comparison to the more dynamic story of Wallis. Contemporary Wally wears a lot of chic black outfits that wouldn’t look out of place on the Duchess of Cambridge. Wan and pale, she’s like a somnambulist, sleepwalking through her life. Her rich doctor husband doesn’t want her to work, so instead of volunteering or going back to school, she spends her days obsessing over having a baby, and staring wide-eyed at the objects from the Sotheby’s auction of the Windsor estate. Her husband is an asshole for no other reason than the screenwriters have said he’s an asshole. There’s a lame attempt to equate him with Wallis’s first husband, Earl Winfield Spencer that doesn’t quite come off. At one point, Wally’s identification with her namesake leads her to start wearing her hair like the Duchess.

The film comes alive when the story shifts to the past. Wallis (as played by Andrea Riseborough) is vibrant with a brittle charm that clearly masks the little girl who grew up in genteel poverty. This Wallis is clearly making her way in the world the only way she knows how; by marrying her way through it. This Wallis is a realist; she knows that she knows no beauty, so her only weapon is to dress well. At times Wallis speaks to contemporary Wally as if the past and the present were overlapping. When that happens, the audience realizes just what a drip Wally is. The one intriguing thing in the whole film is the moment when Wally points out to Evgeny, the hot Russian security guard, that no one ever talks about what Wallis sacrificed to marry Edward. I found that interesting and the point of the whole movie sort of crystalized.

The film is sumptuous to look at; no expense was spared on recreating the look of the period, down to recreating some of Wallis actual outfits such as her wedding dress, and a few iconic pieces. However, the film feels hollow at the core, all flash and surface and not enough substance. Another problem is that the continuity is off when the film flashes back to the past, particularly in the events leading up to the abdication. There are events that are captioned 1936 that clearly happened before then.

For the most part, the film is well cast. Andrea Riseborough is picture perfect as Wallis but James D’Arcy, besides being way too tall to play Edward, has none of the charm or the Peter Pan like qualities that made him so attractive. Poor Laurence Fox and Natalie Dormer try in their few scenes but it’s hard not to compare them to Colin Firth and Helena Bonham Carter who played the same roles in The King’s Speech. Abby Cornish, her hair dyed jet black, spends most of her time fading into the woodwork until her later scenes with Evgeny. Madonna has talent as a director; it’s a shame that she didn’t trust her story.

My verdict:  Wait until it's out on Netflix

Tuesday, February 14, 2012

LES CANADINDES DE MOURIAL ET LE MYTHE DE SISYPHE...


Dans la mythologie grecque, on raconte qu'un jour, Sisyphe osa défier les dieux de l'Olympe. Pour le punir, ceux-ci le condamnèrent à rouler éternellement un rocher jusqu'en haut d'une colline et à le voir sans cesse débouler en bas avant d'avoir atteint son sommet. C'est ce qui arrive ces temps-ci aux CanaDindes de Mourial, le-bidonville-aux-quatre-millions-de-rats-dans-les-rues-et-aux-milliards-de-punaises-de-lit-de-morons. Même après quatre victoires consécutives qui ont excité les fefans "au boutte", une seule défaite (5-3 au Centre PouBell) hier contre la Caroline a suffi à les faire retomber tout près de la cave du classement de la Conférence de l'Est. Les CHieux se pensaient bin bons et ils avaient remis les yeux sur une participation aux séries éliminatoires (leur seul sommet de colline possible), mais les Hurricanes les ont ramenés à la dure réalité de leur médiocrité. Non, lorsqu'on est des CHaudrons, on ne peut prendre aucun opposant à la légère. Pas même les Hurricanes de la Caroline... On a vu les vauriens CHicolores retourner à leur naturel, c'est-à-dire, se pogner le beigne pendant deux périodes, se réveiller pendant quelques minutes et se faire passer dans le tordeur en troisième période. Typiquement moronréalaid ! À mi-chemin dans le match, les Canes menaient 2-0 et dominaient 23 à 8 au chapitre des tirs au but. On ne parle pas ici d'une puissance de la Ligue Nationale, on parle d'un club, la Caroline, qui croupit en dernière position depuis belle lurette. Pourtant, sur la patinoire hier soir, le club de Kirk Muller, même privé assez tôt de son deuxième meilleur marqueur (Ruutu blessé en première période), a joué du bien meilleur hockey que leurs hôtes. Du hockey bien mieux structuré et organisé que celui des pauvres Canailliens. Et contrairement aux deux de pique des CHieux, les Canes ont, en Eric Staal et Cam Ward, deux vedettes établies, capables de faire gagner les leurs, même s'ils en ont arraché eux-aussi en première moitié de calendrier.





Les deux supposées stars du torCHon, les grands fendants Pédé Subban et Scary Price, se sont particulièrement distingués, eux, par leur mollesse et leur nonchalance dans ce revers crève-coeur pour les fefans. En fait, avec ses yeux dans la graisse de bine, le gros épais à Subban ressemblait à un gars durement affecté par un décalage horaire. Il manquait totalement de synchronisme et ne se trouvait jamais à la bonne place au moment opportun pour exécuter le bon jeu. Une vraie poupée de chiffon géante, complètement désarticulée. Un gros sac de vidanges informe, rempli de déchets. Comme c'est maintenant devenue une coutume, le gros boudin no 76 du Canayin a dû se cacher derrière n'importe quoi et n'importe qui pour éviter de se faire arracher la caboche par un justicier ennemi, en fin de rencontre. L'autre jour, quand Letang a foncé sur lui pour venger Malkin, que Subban venait lâchement d'attaquer par derrière, il a été chanceux que Josh Gorges vienne à sa rescousse. Car, puisque Picouille est autant détesté par ses coéquipiers que par ses adversaires, il ne doit pas y avoir des tonnes de volontaires pour le défendre quand quelqu'un veut lui faire payer les coches mal taillées qu'il fait match après match. Ce qui nous fait espérer qu'un jour, les gars de sa gang vont le laisser se faire démolir avec plaisir par un matamore d'un autre club.

Price lui, semblait avoir du mal à se traîner la carcasse, comme un gars qui revient d'une brosse. Son équipement semblait peser une tonne. Il réagissait en retard d'une heure dans les maritimes... On a eu droit au scénario parfait. Jaroslav Spacek, qui avait chié sur la tête des fefans en y allant d'une déclaration pas gentille il y a quelques temps, est venu hanter ses ex-coéquipiers en marquant un beau but (le 2e des Canes) contre un Scary impuissant. Sur le jeu, Tutle Neck Plekanec a échappé Spacek qui a pu filer sans trop de mal jusqu'au filet pour faire dévier la passe d'un coéquipier derrière Passoire Price. Spacek marque rarement et il a célébré sa réussite en bondissant dans la baie vitrée. How sweet ! Un peu plus tard, lors d'un arrêt de jeu durant une pause commerciale, le cerbère de la CHiasse est passé piteusement devant Spacek, assis au banc de son club, en prenant bien soin d'éviter son regard narquois (photo ci-dessus). Comique au coton ! Priceless ! Une photographie qui vaut mille mots ! Un régal de choix pour les anti-habs ! Ha ! Ha ! Ha ! Le bipolaire Scary a encore fracassé son bâton (comme quelques autres frustrés du CHicolore) lorsqu'il est sorti de son coma éthylique et qu'il a découvert qu'il avait accordé autant de buts dans ce match qu'il en avait donné au total dans les quatre joutes précédentes. Il faut dire que ce ne doit pas être plaisant de se faire déculotter comme il l'a été sur le but égalisateur de Eric Staal pendant que le torCHon était en avantage numérique, au 3e engagement. Sur ce jeu qui a renversé le momentum en faveur des Hurricanes, Tomas Kaberle, ce champion qui devait ressusciter le jeu de puissance de la CHiasse (toujours bon dernier de la Ligue) après que Peter Gowtier l'eut acquis des Canes plus tôt cette saison, a perdu la rondelle à la ligne bleue adverse avant de se faire contourner comme un pion et d'être aux premières loges pour contempler Staal s'échapper et passer le disque entre les jambières du pauvre Price, complètement médusé. C'est le directeur-général des Canes, Jim Rutherford, qui devait jubiler en voyant Kaberle faire sa gaffe. Il n'en est pas encore revenu d'avoir eu un poisson (Gauthier) au bout de sa ligne pour le débarrasser de l'encombrant contrat qu'il avait fait signer à Kaberle l'été dernier...

Parlant de contrat, on sait que celui du loser Price se termine à la fin de la présente campagne. Selon une rumeur, l'agent de Scary demande une entente de dix ans au Cacad'CHien pour son poulain. À quel salaire ? Pas moins de 70 millions de belles piastres américaines. On entend souvent des coéquipiers de Scary le vanter et dire qu'il est le meilleur gardien de buts au monde. Des membres de la direction CHieuse abonde aussi parfois en ce sens. Ça a l'air que ces paroles insensées ne sont pas tombés dans l'oreille d'un sourd et que Price et son agent veulent les monnayer ! Ayoye ! Si Passoire Price vaut sept millions par année, combien la foule des gardiens, qui sont supérieurs à ce paresseux, vont demander comme émoluments ? Tout l'or de Fort Knox ?





Chose certaine en tout cas, le sourire de Kirk Muller (ci-dessus) après sa victoire d'hier soir, valait de l'or en barres. Surtout lorsqu'il a quitté la patinoire pour s'engager dans le couloir menant au vestiaire. Il avait réussi à mettre Cunneyworth dans sa petite poche d'en arrière... Out-coaché le pauvre Randy... Moments de grande satisfaction pour l'entraîneur des Hurricanes qui, par son travail acharné au cours des dernières saisons, a sans doute contribué grandement à empêcher que le Caca devienne la risée qu'il est devenu aujourd'hui dans la NHL... Lorsque la situation se corsait pour les nioCHons, c'est toujours Cap'tain Kirk que l'on voyait se démener derrière le banc des joueurs. Pas Jacques Martin, qui demeurait les bras croisés... On constate le désastre que l'absence de Muller a en grande partie provoqué cette saison chez le CHiendent... Un club de dindes pas de tête...

Lundi, pendant cette partie mémorable, marquant la 21e fois cette saison que le CH perdait une avance avant de s'avouer vaincus, Randy Cunneyworth, le pilote déboussolé de la CHarogne, a laissé moisir sur le banc les fainéants Kostitsyn et Gomez (plus de 10 millions et demi de dollars en salaire annuel). Ils n'ont presque pas joué. Le lendemain matin, au cours d'un entraînement punitif, les deux mauvais larrons ont dû faire du travail supplémentaire. Selon François Gagnon, de La Presse, ils en ont mangé toute une. Ce qui n'a pas plu à Gomez qui s'est engueulé avec l'assistant-coach Randy Ladouceur. Ce dernier a appliqué plusieurs fois son index sur la poitrine du Gomer, en lui faisant des reproches, dans une scène rappelant celle au cours de laquelle Mario Tremblay avait failli en venir aux coups avec Donald Brashear avant que celui-ci soit chassé de MortYial pour aboutir avec les Canucks de Vancouver. Ça se passait en 1996. On ne sait pas si AK46 et Gomez seront en uniforme contre les Bruins de Boston demain. Du joli ! Ça promet une belle fin de saison tumultueuse dans la métropauvre ! C'est comme ça que ça se passe dans un club de losers... Un feu d'artifices de pétage de plombs...

En fait de losers, on ne trouve pas mieux que les fefans, qui ont déserté le Centre PouBell comme des rats affolés quittent un navire qui coule, lorsque la défaite de leurs favoris est devenue inévitable hier soir. Cou don, est-ce que c'est moi qui fabule ou si c'est bien vrai que ces temps-ci, il y a moins de fefanions accrochés aux minounes des mordus de la CHiasse ? En tout cas, dans la région de Québec, on n'en voit plus beaucoup, il me semble. À moins que l'on voit moins ces ti-torCHons parce qu'ils se confondent à la crasse du calcium et de la poussière qui recouvre les bagnoles des fefans, éprouvés par les déboires de leur bande de pousseux de puck... Eh pardi, la "crasse", ça ne vous rappelle rien ? C'est pas le surnom que donne les joueurs des Cannes à CHiens (rappelez-vous les propos de l'ex-coach des gardiens du CH Roland Melanson avant qu'il soit congédié pour avoir dit la vérité) aux triples idiots de spectateurs de la zone Molson-Ex du Centre PouBell ? Idiots et imbéciles au point de pousser sans cesse en haut d'une pente la grosse pierre de leur bêtise "mongolisante" qui finit toujours par débouler encore et encore pour les couvrir de ridicule...