Tuesday, December 20, 2011

IL JOUE COMME UN TOTON : P.K. SUBBAN L'IDOLE DES ANTI-HABS !


On ne peut même plus compter le nombre de ses erreurs, de ses gaffes, de ses cafouillages, de ses bévues, de ses clowneries insignifiantes, de ses déclarations stupides, de ses conneries... Combien de défaites a-t-il coûtées aux CHaudrons de l'Île aux génies moronréalaise (la plus grande concentration mondiale de ti-jos connaissants au kilomètre carré) ? Combien de précieux points perdus au classement à cause de la machine à revirements no 76 du Caca ? Une quantité innombrable... Il y a deux ans et demie, l'organisation CHicolore claironnait que notre homme, le flamboyant et l'intarissable pie, P.K. Subban, était un joueur de franchise, un futur récipiendaire du trophée Norris, la 8e merveille du monde... Au lieu de ce Bobby Orr version 2.0, on nous a livré un joueur poche qui régresse de match en match, de saison en saison, de chutes en rechutes... Les anti-habs ont la chance extraordinaire de l'avoir pour pouvoir rire encore plus des échecs et des revers du torCHon. Cette chance est d'autant plus formidable que P.K. est adoré par les fefans puisqu'il est un des rares porte-couleurs de la CHiasse qui leur donne un spectacle, c'est-à-dire un certain "retour" sur le fort prix de leurs billets qui, sinon, seraient payés en pure perte... Cette énorme popularité de Subban empêche peut-être la direction de l'équipe de le retourner dans la Ligue Américaine ou de le recycler en placier, dans les gradins; ou en essuyeur de café renversé, sur la galerie de la presse... Oui, Piqué des vers Subban joue comme un toton. Pour cette raison, il mérite toute notre reconnaissance et peut-être même le titre de L'HOMME DE L'ANNÉE du site CH COMME DANS CHAUDRONS. Encore hier, à Boston, l'idole des anti-habs a été un des principaux artisans de la défaite du bleu, blanc, merde. Grippé, a-t-on appris avant la partie, il était encore plus faible que d'habitude. Faible de corps, et faible d'esprit (simplet)... Voulant mettre un peu trop de moutarde en levant une patte pour faire une passe par en-dessous à un coéquipier qui ne l'attendait pas, notre "hot-dog" national (-2) a plutôt passé le disque à l'ennemi, sur le but de Krejci. Des bévues semblables, il en commet à la tonne, sans mentionner les dizaines de fois où il perd l'homme qu'il doit couvrir, ou encore toutes les occasions où il se retrouve sur la glace, sur son gros cul... Il est vrai que, dans ces derniers cas, c'est souvent voulu de sa part ("diving" comme dirait monsieur l'unilingue anglophone Randy Cunneyworth). Bref, s'il n'y avait pas de Pitou Subban, il faudrait l'inventer ! Pour le plaisir des anti-habs ! C'est drôle, les journaliCHe-culs, à la solde de la CHarogne, ont arrêté de dire et d'écrire que Subban était un dieu sur patins... Maintenant, ils le critiquent parfois avec virulence. Nous ici, on a pas attendu aux calendes grecques pour voir clair et dénoncer cet autre prospect sur-évalué du Cacad'CHien. On l'a fait dès sa première saison sous la grande tente des brasseurs de pisse de Molson.



Hier, les Bruins se sont contentés de faire leur ouvrage. Pas besoin de trop se forcer pour se débarrasser des mouCHerons de MORTyal. On était loin du massacre de 6-0 de la saison passée. Un match où les éventuels champions de la Coupe Stanley s'étaient défaits de leurs complexes face à la CHiasse, en les écrasant aux points et avec leurs poings. Le match de l'année pour les anti-CH ! On s'en souviendra longtemps ! Un rêve ! Dommage que Lucic ait été suspendu pour la joute d'hier. Ce broyeur d'os de CHieux aurait ajouté au spectacle avec ses placages percutants et ses empoignades faisant sortir les ouïes de la tête de ses adversaires. À leur 22 dernières sorties, les Bostonnais ont mis en banque 39 points sur une possibilité de 44. Phénoménal ! Pendant ce temps, les CHaudrons ont chuté à neuf reprises, à leurs douze dernières stations sur leur épineux chemin de croix... Un vrai calvaire ! Et on en redemande de la torture de martyrs de la Sainte Guenille ! Surtout demain soir avec Peter Budaj dans les buts, contre les redoutables guerriers armés de tomahawks, des Blackhawks de Chicago. Avec les défaites qui s'accumulent comme la neige en hiver, la ferveur des jusqu'auboutistes fefans du Caca semble baisser à petit feu. Hier, au lieu d'être des milliers à polluer le TD Garden de Boston, ils n'étaient qu'une poignée (100 ou 150 colons, selon les calculs de certains observateurs) à faire rire d'eux par les braves partisans des Bruins. On ne sait toutefois pas si, comme les Bostonnais, ils ont hué Subban et se sont moqués eux aussi de Price en criant : "Caaaaaaarey, Caaaaaaarey, Caaaaaaarey" quand le gardien du torCHon a imité les maladresses de son chum P.K.. J'aurais aimé que le club de Claude Julien enfile une couple de buts pour décourager les Habitants et ainsi ouvrir possiblement les écluses, pendant l'avantage numérique de quatre minutes obtenu grâce à la punition décernée à Leblanc. Ce dernier avait coupé Patrice Bergeron au menton, avec un bâton trop élevé. En passant, le Québécois portant le no 37 pour les Bruins, a encore joué tout un match en défensive. Le meilleur attaquant défensif de la LNH, sans aucun doute...



Parlant de Québécois, David Desharnais a connu une soirée difficile. Notamment dans les cercles de mise au jeu où il a compilé une fiche atroce de 2 en 15 (13%). Il faut dire que Pacioretty, son compagnon de trio, ne l'aide pas (il a toujours aussi peur de Chara, voir photo ci-dessous). Il en arrache énormément depuis qu'il est revenu au jeu après sa suspension de trois matchs pour avoir cassé le nez de Kris Letang. Il se cherche. Comme si c'était lui qui avait subi une commotion cérébrale ! Erik Cole, l'autre membre du trio, n'a pas été efficace non plus, avant son but en toute fin de rencontre. C'est surtout parce qu'il a été très ralenti en première période quand Dennis Seidenberg l'a pincé d'aplomb. Un jour ou l'autre, Cole va tomber au combat... Il joue dangereusement... S'il faut que les CHieux le perde... Cunneyworth a continué de faire du trio de Plekanec son trio numéro 1. Le temps de glace du trio de Desharnais a donc été réduit. Le résultat est le même : le CHicolore marque entre zéro et deux buts par partie. Andrei Kostitsyn est entré dans le "dog house" du nouvel instructeur en chef de la CHiure. Il ne s'est traîné les patins que pendant onze minutes et demie sur la surface glacée du TD Garden. Lars Eller l'autre prodige annoncé par Pierre Gauthier, n'a pas impressionné Cunneyworth hier. Lui et le grand espoir des fefans, Louis Leblanc, n'ont presque pas joué en troisième période... À cause du but qu'il a marqué contre son ancienne gang, et à cause de la crise qui vire à l'envers la planète hockey de Mourial, vous pensez bien que l'ex-CHieux Benoît Pouliot avait le sourire facile après la joute. Disant se sentir bien, Pouliot a affirmé ne pas en revenir encore d'avoir la chance incroyable de jouer pour un club champion. Ce qui ne lui était encore jamais arrivé... Quel supplice aurait-il eu à endurer s'il était demeuré dans la métropauvre... Il peut bien rire !



L'histoire de la nomination d'un entraîneur unilingue anglophone chez les Mountreawl Americans (j'ai déjà écrit un article au sujet du fait que le CH n'est pas notre équipe nationale, c'est sur mon blogue JOURNAL INTIME D'UN ANTI-HABS EN FEU -voir ma liste de blogues à droite-, voir le lien de l'article dans la section des billets les plus lus, dans la marge de droite du site), a pris une tournure politique et raciale. Quelle bouffonnerie ! Qu'est-ce qu'on s'amuse à voir tout le monde s'empêtrer dans ce vaudeville ! Et Geoff Molson qui vient de condamner Cunneyworth à échouer en écrivant dans un communiqué qu'il était important que le "coach" des Habs sache s'exprimer en français. Ça signifie que Cunneyworth est là en attendant de lever les pieds à la fin de la saison (peut-être avant !). Quel message est-ce que ça envoie aux joueurs ? Pourquoi écouteraient-ils leur nouvel entraîneur ? Pourquoi se fendraient-ils en quatre pour lui, sachant qu'il n'est qu'un bouche-trou ? Ceux qui sont déjà paresseux de nature, vont dormir encore plus au gaz... Les gros salariés, qui ont des contrats à long terme, vont patiner sur des oeufs en ayant seulement pour but de ne faire que le minimum et, surtout, de protéger leur santé en évitant les blessures. Comme des rats, ils vont quitter le navire avant qu'il coule. Que restera-t-il de la formation du torCHon, pour tirer la charrette ? Quels joueurs auront pitié de l'infortuné Cunneyworth ? Une poignée de bouche-trous comme lui ! Ceux qui veulent sauver leur job. Ceux qui ne se fichent pas d'être échangés dans une vente de feu advenant une spirale descendante de plusieurs défaites consécutives qui va mettre les fefans en crise bipolaire...

Ils me font bien rigoler les fefans qui appellent au boycott de la camelote du CH pour punir Molson de son manque de respect à leur égard (c.f. instructeur unilingue anglophone). Comme si dans les vingt dernières années, ils n'avaient pas déjà promis cent fois de passer aux actes en buvant autre chose que de la bière Molson, et en déchirant leurs billets de saison... Des promesses d'ivrognes oui ! Il y a une liste d'attente (elle-même payante) de cinq ans pour les billets de saison. Comme les fefans ont la mémoire courte, et que le temps finit toujours par arranger les choses, Geoff Molson peut bien se cacher dans son bureau en attendant que la tempête passe. Il y a bien les joueursnalisssssssses qui s'énervent et qui crachent dans la soupe, trop contents d'avoir enfin de la copie après avoir souffert pendant plus de deux ans avec l'ennuyant Jacques Martin comme seule maigre denrée à se mettre sous la dent. Voyant tout ce déchaînement médiatique et cette folie collective; voyant ce guêpier et cet environnement malsain, est-ce que Patrick Roy sera vraiment intéressé à se retrouver comme aubergiste en chef dans cette auberge à cochons ?

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