Monday, April 2, 2012

LES CANAILLIENS DE MORTYIAL BATTUS ET REBATTUS : 50 DÉFAITES ÇA FAIT BEAUCOUP...



Depuis quelque temps, j'ai délaissé un peu l'analyse des matchs des CanaDindes de Mourial. Ça se comprend. Il n'y a plus rien à prouver. Étant à l'avant-dernier rang de la Ligue Nationale de Hockey, c'est clair comme de l'eau de roches qu'ils sont pourris. Les preuves sont faites. On reconnaît l'arbre rabougri et malade à ses fruits moisis. Ça fait deux mois que le Caca se trouve à disputer des parties...hors concours, puisqu'il est éliminé depuis belle lurette. Avec au moins la moitié de l'équipe (sans gouvernail) composée de joueurs finis ou du calibre de la Ligue Américaine. Sans compter tous les autres qui ont été bougrement sur-évalués. Fallait pas s'attendre à des miracles de la part de ce ramassis de restants de table sur patins... Leur demander de gagner plus que leur part de joutes, c'était comme exiger que des sans-abris malades mentaux et alcooliques de Moronréal fondent une compagnie et lui fassent faire des millions de dollars de profits. Oui, c'est un peu redondant d'analyser les contre-performances constantes des CHaudrons de la métropauvre. Ça revient pas mal toujours au même. Même "pattern", mêmes résultats honteux et affligeants pour les fefans bipolaires en peine. La seule chose vraiment sensée, c'est d'en rire. D'en rire beaucoup. Car le dernier rang dans l'Est et 50 défaites, ça fait beaucoup. Comme les six milliards de solitudes dans la chanson de Daniel Bélanger...



Tout de même, soulignons encore la lâcheté du couillon Pédé Subban qui, samedi soir, après avoir donner un coup de bâton dans le dos à Matt Hendricks, des Capitals de Washington, derrière le filet de Budaj, s'est sauvé à pleines jambes quand sa victime a laissé tomber les gants devant lui, dans le but de l'inviter à payer son compte pour son geste odieux. Un pleutre, un salaud et un poltron, c'est donc ça l'idole des fefans qui crient «P.K., P.K., P.K.» match après match. Il faut bien dire aussi, que les amateurs de hockey des autres villes du circuit Bettman leur répondent indirectement en huant le gros jambon no 76. Jambon qui affiche le pire dossier de son club de nouilles avec un pourcentage d'efficacité sur ses lancers (buts marqués divisés par tirs au but) de 3,5 % (sans parler de son record de revirements, de ses tonnes de pénalités stupides, et de sa multitude d'échecs dans ses batailles à un contre un devant les buts). Wow ! Tout un joyau ! Il peut bien se tenir avec l'autre joyau rouillé du torCHon, Scary Price. Les deux font la paire...de clowns ! Dire que cet été, on va leur construire un pont d'or pour qu'ils signent de nouveaux contrats. Comme dirait l'autre en cette semaine sainte : "pardonnez-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font".



Un mot aussi sur le Saint Martyr Canadien Max Pacioretty, qui, deux jours après avoir été supplicié par Zdeno Chara l'an passé, se payait du bon temps dans un cinéma près de chez lui. On fait grand cas de ses 30 buts cette saison. Mais il les a marqués par bourrées. Pas sur une base régulière. Pas de façon à faire gagner fréquemment sa bande de losers. À ses onze dernières games, il a lancé 43 fois au filet, il a obtenu 35 chances de marquer et...zéro but ! Way to go Max ! Une des raisons qui expliquent peut-être pourquoi les CHieux ne revendiquent que deux buts cette saison, en période de prolongation. Quand ça se corse, quand l'enjeu devient plus grand, quand c'est le temps de se surpasser, les CHaudrons CHokent et s'écrapoutissent encore plus, si c'est possible... À part Cole avec dix buts, aucun autre pion CHicolore n'a fait scintiller la lumière rouge des buts à plus de cinq reprises sur le jeu de puissance. Dans LA PRESSE, le journaliste François Gagnon tenait à défendre Turtle Neck Plekanec pour ses performances pas si pires que ça (50 points). Il oubliait que sa fiche de plus/moins est à - 18, à peine moins pire que celles de Emelin (-19), Bourque (-20) et Kaberle (-19). Pour un joueur comme Plekanec, renommé pour être fiable en défensive, cette statistique est catastrophique, surtout au salaire faramineux qu'il encaisse. Mais voilà que j'analyse encore trop le gâchis des CanaDindes. Je voulais écrire un billet pour rire des nioCHons bleu, blanc, merde ! Je vais me reprendre dans les prochains jours !

En attendant, si vous voulez rire, allez lire mon plus récent article dans mon JOURNAL INTIME D'UN ANTI-HABS EN FEU (http://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com). Je réponds à la question : si en 1983 Wayne Gretzky a pu qualifier les faibles Devils du New Jersey de "club de Mickey Mouse", comment qualifierait-il aujourd'hui le club de vauriens de la famille Molson ?

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