Saturday, December 31, 2011
Scandalous Women in London Part Deux - The Lion in Winter & Enchanted Princesses
A family Christmas becomes a family at war. Henry II, not so young as he was, invites his estranged wife Eleanor of Aquitane, and his three sons, Richard, Geoffrey and John, to spend the festive season with him, his mistress Princess Alais, and her brother, the young King Philip of France. Will Henry name who is to be his successor as King of England? Their yuletide celebration turns into a combat zone of deceit, betrayal, bitter power games and scabrous wit.
"I am excited to be directing the London premiere of a famous play about a power struggle full of sexual politics and political sex, with two such brilliant actors as Robert Lindsay and Joanna Lumley." - Trevor Nunn
I had no idea when I decided to attend the matinee of The Lion in Winter that it was the London premiere! I had just assumed that there was a London production soon after the Broadway one. Although given that the Broadway production was a bit of a flop, perhaps I was a bit optimistic. Still, the movie was very successful, so I was very surprised to find out that this was the first production in London. And what a theatre to be in! the Theatre Royal, Haymarket, one of the most beautiful in London. I was lucky enough to score a really good seat in the Royal Circle for 20 pounds just before the Thursday matinee. It was an impulse purchase, I had planned to buy a ticket for the evening's performance but changed my mind when I got to the box office.
Although I have seen the film starring Peter O'Toole and Katherine Hepburn more times than I can count, I have never seen a stage production of The Lion in Winter, not even the Broadway production which starred Laurence Fishbourne and Stockard Channing at the Roundabout here in New York. The movie is one of my favorite films, and I was afraid that the play and the actors would not measure up to the movie. Well, I should have worried about the play given that James Goldman, the playwright, adapted his script for the film. However, it was in the performances, that the show fell short. Joanna Lumley, who I had previously only known from Ab Fab and The New Avengers, was actually quite good as Eleanor of Acquitaine. A little low energy at first, but her performance grew as the play went on. Robert Lindsay, on the other hand, seemed to be channeling Peter O'Toole. He not only looked a bit like him, but also sounded like him, it was a bit odd. If I had closed my eyes, I would have sworn that it was Peter O'Toole on stage.
The biggest disappointment for me were the sons. Anthony Hopkins, John Castle, and Nigel Terry's performances are seered into my memories. I couldn't help remembering their line readings while watching the play, which does a great disservice to the actors who were doing their gallant best on stage, but it was just impossible for me not to compare them and find them a bit lacking. I did adore the actress who played Alys, and the scene between her and her brother Philip, a shame that they cut that scene out of the movie. It gives Alys more shades to play than just the mistress, and we get to see a bit of their relationship. In the film, it's hard to remember that Alys and Philip are brother and sister. Although it fell short of my expectations, I am glad that I went to see the production. Trevor Nunn did a very good job of staging the play, and the set was gorgeous, and given that I saw it only two weeks before Xmas, it felt appropriate!
The day before I had gone to see the Enchanted Princess installation at Kensington Palace. The Palace right now is going through a great deal of renovation, so only a few of the rooms were open. I haven't been to Kensington Palace since my semester abroad in college, so just walking up to the Palace was fascinating. Right now, it's covered in a lot of barbed wire but I did get a little giddy when I saw the statue of William III outside. The Enchanted Princesses exhibition features the 7 Princesses who made Kensington Palace their home, Princesses Mary and Anne (later Mary II and Queen Anne), Queen Caroline, Princess Charlotte, Princess Victoria, Princess Margaret and Princess Diana. While the installations were interesting, particularly Princess Mary, I found the experience a bit lacking particularly in relation to Princess Diana and Princess Margaret. It's more of a sight and sound experience, with clues left so that you can guess which room relates to which Princess.
Perhaps I was expecting too much, or perhaps my experience was colored by the fact that I just gotten off the plane that morning, and the weather was cold and rainy. Plus there were no bathrooms available inside the palace, just the porta-potty outside!
I wish there had been a guidebook specifically done for the exhibition the way that Hampton Court Palace did a special HELLO! magazine issue for Henry VIII's wedding to Katherine Parr (how I wish I had bought that issue!). However, I did find the gift shop exciting, particularly the Queen Victoria china which I'm dying to own every piece of.
Friday, December 30, 2011
ALLO LE BEAU NONO : PRICE SE COUVRE DE RIDICULE EN NARGUANT UN PARTISAN DU LIGHTNING !
L'incident loufoque s'est déroulé pendant une pause en deuxième période du match d'hier à Tampa Bay. Les NioCHons de Mourial menaient alors 3-1 et l'arrogant Scary Price en profitait pour s'abreuver en attendant que l'action reprenne (photo ci-dessus). Un partisan du Lightning s'est mis à crier après lui, comme le font souvent de chauds partisans qui tentent de briser la concentration des gardiens adverses afin d'essayer d'aider l'équipe locale. Bien sûr, le gardien du club visiteur ne fait généralement pas de cas de ces fans qui les abreuvent de bêtises pour leur faire perdre le focus sur la partie. Mais Price n'est pas un gardien de buts ordinaire... L'an dernier, les fefans, et les gens de la direction du torCHon, vantaient la belle maturité acquise par le jeune cerbère du CHicolore durant les saisons précédentes. Certes, Scary s'était un peu calmé, mais il faisait quand même quelques conneries de temps à autres. Comme se garrocher en l'air avec Pété Subban quand la CHiasse gagnait. Hier, Price a montré encore une fois qu'il avait beaucoup de travail à accomplir s'il désire passer pour un athlète assagi, digne de mériter le titre de "professionnel". En fait, même des joueurs d'âge midget ou junior n'auraient pas fait la bourde qu'il a commise. Quelle niaiserie a-t-il fait ? Il a répliqué aux cris du bruyant fan de Tampa Bay en pointant du doigt et des yeux le tableau indicateur montrant l'avance de 3 à 1 des CHaudrons. Avec la débandade des CHieux en troisième période, devinez celui qui a ri le plus jusqu'à la fin de la partie ! Qu'est-ce qu'il a dû se taper sur les cuisses ce partisan du Lightning, en voyant Scary accorder trois mauvais buts après sa bravade ridicule de la deuxième période ! Qui sait ? Ce fan a peut-être atteint son but : Price a vraiment été dérangé par ses injures ! Cette histoire ne fait que refléter ce que l'on peut observer au sujet de Price quand il est sur la patinoire. Un comportement de plus en plus nonchalant à mesure que le Cacanadien voit s'éloigner la possibilité de participer aux séries éliminatoires du printemps prochain. Le 31 de la CHnoutte agit également de manière peu intelligente lorsqu'il essaie de manier le disque en sortant de sa cage. Il ne fait pas souvent le bon jeu dans ces circonstances. Bref, côté hockey, Scary, comme son tata P.K., semble régresser au lieu de s'améliorer. Vraiment pas de quoi se moquer des partisans des clubs opposés, mettons... Il devrait réellement se concentrer sur son job. Il en a déjà plein les bras et il n'est plus en état de voler des victoires à lui-seul. Tout ce qu'il a pour lui c'est sa grosseur et sa grandeur, des atouts physiques qui l'aident à boucher une bonne partie de son but. Quand il doit se déplacer pour couvrir ses angles, ça se gâte ! Il se laisse souvent déporter en dehors de son demi-cercle lorsqu'il glisse latéralement d'un côté à l'autre de l'embouchure du filet. Il a souvent l'air fou et...il n'en a pas seulement l'air, il est vraiment stupide quand il se comporte comme il l'a fait hier. Comme son pote Subban d'ailleurs. À un moment donné, on a vu ce dernier se retrouver au banc des pénalités après avoir répliqué à un coup d'un adversaire en le cinglant. Pas brillant de la part du défenseur raté (un flop) du CH, qui a encore joué les spectateurs sur une couple de buts du Lightning ! Subban et Price vont bien ensemble. Deux idiots, deux corniCHons ! Qui se ressemblent s'assemblent. C'est bien connu ! Et la déCHéance du Cacad'CHien, ils vont la vivre longtemps ensemble !
Le Lightning a arraché ce gain malgré une défensive assez poreuse, privée du pan de mur Victor Hedman (blessé). Les gars de Tampa ont tout de même travaillé fort, en bloquant pas moins de 24 tirs des Canailliens. J.T. Wyman peut remercier Price pour son premier but dans la LNH. Ça faisait longtemps qu'il l'attendait, et il l'aurait attendu encore longtemps si le gardien prétentieux de la CHarogne ne lui avait pas fait cadeau de ce but en laissant la rondelle filer lentement entre ses jambes... Ce n'est pas à tous les jours que l'on affronte un "goaler" poche et tout croche comme Price (quatre buts alloués sur 22 lancers hier). Wyman peut remercier sa bonne fortune ! L'entraîneur du CHoléra, Randy Cunnyworth, a commis une erreur d'amateur sur le but gagnant de LeCavalier en troisième période. Avec une mise au jeu importante à la droite de Price, il n'a pas prévu de se protéger en envoyant un deuxième joueur de centre sur la patinoire au cas où Lars Eller serait chassé du cercle des mises au jeu par l'arbitre. Or, c'est justement ce qui est arrivé. Eller a dû céder sa place à Erik Cole qui, non seulement a perdu la mise au jeu aux mains de LeCavalier, mais a aussi perdu ce dernier dans sa couverture devant le filet. Le grand no 4 du Lightning n'a pas été importuné et il a logé tranquillement la rondelle dans la cage de Price, qui venait de lui donner un retour de lancer bien juteux ! Ce but a fait la différence dans la joute et Cunneyworth doit porter une partie du blâme pour la défaite qui a fait glisser son club de broches à foin au 13e rang de la Conférence de l'Est. Quand les choses vont mal, les anglophones emploient l'expression "going south". Eh bien les CanaCHiens, en allant perdre dans le Sud, en Floride, s'en vont davantage dans le "Sud" (bas) du classement ! Comme le chantait Robert Charlebois : "j'ai été, au sud du sud, au soleil; mais ché pu où chu rendu" (Lindberg).
Il ne reste pas grand chose de positif du bord des misérables Habs. Oh ! Les fefans s'excitent en regardant Emelin faire de grosses mises en échec... Mais en se ruant littéralement sur ses adversaires, j'ai remarqué que Emelin se sort souvent du jeu puisqu'il est en déséquilibre ou étendu sur la patinoire après ses placages. Des joueurs ennemis peuvent profiter de la situation pour reprendre le disque et attaquer en surnombre. J'ai aussi noté que, après avoir envoyé Eller dans les estrades, durant la game contre les Jets, Cunneyworth est tombé en amour avec le grand Danois. Il joue maintenant quatre ou cinq minutes de plus que Plekanec, le meilleur pointeur du Caca. "Turtle neck" Plekanec joue également moins sur le jeu de puissance mais toujours autant en infériorité numérique. Excellent ! Ses chances de marquer en sont d'autant plus diminuées ! Parlez-moi d'un entraîneur qui fait moins jouer ses meilleurs joueurs ! C'est "too much" ! Ha ! Ha ! Ha ! Eller joue plus que Desharnais, Cole et Plekanec ! Wow ! Cunneyworth peut bien avoir un dossier de 1-5 jusqu'à maintenant ! Pour réussir à boucler la mi-saison avec une fiche de .500 les CHaudrons devront gagner leurs trois prochaines rencontres. Aussi bien demander à une poule de pondre des oeufs en chocolat ! Et on sait que les clubs qui n'atteignent même pas la barre des .500 à la mi-saison ne vont pas loin. Sauf dans le "sud du sud" du classement !
Scandalous Spotlight: Almina, Countess of Carnarvon
Almina was born Almina Wombwell in 1876. Her mother Marie Boyer was French, her father a respectable banker. While her sisters all married well, Marie married a ne'er do well, younger son of a baron named Captain Frederick Wombwell. The couple seperated after Freddie apparently was caught stealing from Marie's parents. Marie soon made the acquaintance of Alfred de Rothschild, the man widely believed to be Almina's father. Even her unusual name Almina was a combination of her parents names. However, although he doted on Almina and left her a fortune, Alfred never openly acknowledged Almina as his. Almina grew up to be beautiful, vivacious and a little bit spoilt. Petite, she was blessed with the curvaceous figure that was then fashionable, Fiona Carnarvon describes her as a "Pocket Venus," throughout the book. Her 'god-father' Alfred doted on her, lavishing her with expensive presents, no doubt to make up for not claiming her as his own. Although a bachelor, he never married Almina's mother, even after her husband died. Apparently he liked his freedom too much, plus Marie was Catholic.
In 1893, Almina made the acquaintance of George Edward Stanhope Molyneux Herbert, 5th Earl of Carnarvon. The Earl was deeply in debt and needed a wealthy bride, Almina was looking for respectability. Although she had been presented at court, the knowledge of paternity was like a dark cloud, even with her large dowery. The Earl landed a huge £500,000 dowry (equivalent to £25million in today's money), which was used to finance his later discovery in Egypt.They each got what they wanted when they married on June 26th (the Earl's 28th birthday) of 1895 at St. Margaret's, Westminster. At the age of 19, Almina was now the chateleine of Highclere Castle, as well as the Earl's other properties.
I bought Fiona Carnarvon's book on the day it was published and I find it riveting. While her book deals with a great deal of social history, detailing how an Edwardian household was run, the different roles of the servants, aspects of Edwardian society, Cross's book seems to take a more salacious tone. Just from reading the web-site , he seems to have a less rosy colored view of Almina. According to a recent article in The Daily Mail, Cross claims that Almina had an affair with her husband's best man, Prince Victor Duleep Singh, the son of the deposed Maharajah of Lahore, and that her son, the 6th Earl of Carnarvon was a product of this affair. What this means of course, if it could be proven and I don't see anyone taking a DNA test anytime soon, is that the current Earl is not the real Earl. Given that Prince Victor and his wife were childless, I think the changes that he is the father of 6th Earl are also slim. Although Prince Victor was of mixed race, there was a very good chance that if Almina had been pregnant by him, the child would have dark or tan skin. How was she going to pass the baby off as the Earl's if that had happened? It boggles the mind. Was she going to claim the baby died? Or given it away secretly? I can't imagine that Almina would have taken such a risk, given her own background.
According to Cross' biography (which I have not read, my information comes from the reviews that I have read of it), the marriage between the 5th Earl and Almina was a marriage of convenience. Even Fiona Carnarvon believes that the marriage was one of cash for a title, although she writes that Almina was deeply in love with her husband when they first got married. However, even if that were true, Almina would still have been required to provide the heir and the spare if possible, before discreetly seeking comfort elsewhere. Even if the Earl was, as Cross claimed, undersexed, that doesn't mean that he wasn't capable of fathering children with his wife. Heck, Oscar Wilde was gay, and still managed to father 2 children with his wife! Cross also writes that the Earl had a passion for photography, nude photography that is, commissioning 3,000 nude photos from a photographic studio, which makes him no different that a lot of aristocrats at that time. They may not have married for love, but they certainly spent a great deal of time together, traveling to Egypt many times form 1906 until his death. They were united in their passion for the Earl's discoveries as he went from a relatively small dig to the final discovery with Howard Carter. When she wasn't in Egypt, Almina used her prodigious energy as a political hostess, helping to get her brother-in-law Aubrey Herbert elected to Parliament, and giving speeches up and down the country to various women's groups. In January 1918 Sir Alfred de Rothschild died, leaving Almina almost everything - his house in Mayfair, a handsome tax-free legacy and fabulous pictures, objects and furniture. A portion of her new fortune went to fund her husband's last expedition to Egypt with Howard Carter.
Almina remarried her 2nd husband, not long after the Earl of Carnarvon died in 1923 (his death was considered to part of the Curse of King Tut's tomb). Her 2nd husband was Lieutenant-Colonel Ian Onslow Dennistoun. According to Christopher Wilson's article in The Daily Telegraph, Dennistoun owed his promotion to his wife Dorothy's liaison with the Army's Quartermaster General! Dennistoun and Almina met in Paris in 1920, 3 years before her husband's death. Almost immediately, Almina set him up in a smart cottage. Apparently Almina also used him for money-laundering purposes. She often sold jewelry and works of art that she had inherited from her god-father, and she used Dennistoun's bank accounts to hide the money from the tax man! Almina also apparently was having an affair with a man by the name of Tommy Frost who was also sleeping with Dennistoun's ex-wife Dorothy!
Unfortunately, it turned out that she had no head for running a business, finding it difficult to present her patients with a bill. Eventually the nursing home, according to Evelyn Waugh, became a place where high-class women could discreetly obtain an illegal abortion. Then at the age of 70, she became involved with a much younger man, who worked as heating engineer. It was the last straw for her son, the 6th Earl, who gave her up to the IRS, calling her a "scheming swindler" (they were never close). In her lifetime, Almina had gone through the equivalent of 50 million pounds, much of it no doubt going to pay for the Earl's expeditions to Egypt (they made yearly trips to the country, and the Earl started his own excavations in 1906), the upkeep on Highclere, taxes etc. One has to wonder if her son's sour grapes came more from the fact that his mother managed her own money, rather than turn it over to him to manage.
Almina's last years were spent in obscurity and poverty. She died at the age of 93 after choking on a piece of chicken, an ignominious end to a once glamorous life.
Thursday, December 29, 2011
Mary Phelps Jacobs and the Modern Brassiere
Imagine you are a 19 year old debutante in 1910 about to attend a ball. You put on a fabulous couture dress from Paris, only to discover that your corset cover is sticking out over the top of your sheer evening gown. What is a girl to do? Well, if you are Mary Phelps “Polly” Jacobs, you throw off your restrictive corset cover and have your maid fashion help you fashion an undergarment out of two handkerchiefs sewn together with pink ribbon and cord. Voila! You have created your own bra! The new undergarment was soft and light and conformed to the wearer better than a corset which had a tendency to create a uniboob. Polly’s new undergarment complimented the fashions of the time which were less restrictive than the previous Victorian fashions which required women to be trussed up like a chicken to get into them. When she showed her friends her new design, they, of course, all wanted one. Before she knew it, Polly was in the bra-making business. It wasn’t until a stranger offered her a dollar for one of her contraptions, that she started thinking that she could really make some money from it.
Nothing in Polly’s background suggested such a ground-breaking achievement. She was born into a world of power and privilege if not wealth, amongst her ancestors was William Bradford, the 1st Governor of the Plymouth colony, another was a General Walter Phelps, who commanded troops in the Civil War at the Battle of Antietam. Her family was well-off, but certainly not in the same league with the Astor’s or the Vanderbilt’s. Polly once wrote that her father had been raised, as she put it, "to ride to hounds, sail boats, and lead cotillions," and they divided their time between a house in New York, an estate in Connecticut and one in New Rochelle, NY. She went to the best schools (Chapin, Rosemary Hall), danced at cotillions, and even met King George V in 1915 at a garden party in London. When it came time to marry, it was to another blueblood, Richard Peabody, whose family had settled in New Hampshire in 1635.
Polly Jacob didn’t actually invent the brassiere. There had been attempts as far back as the 1860’s to create an alternative to the tyranny of the corset. Parisian corset maker Herminie Cadolle in 1889 invented a two-part garment much like a bikini but her design seems to have been known mainly to her customers. Later in 1893, Marie Tucek patented the first bra, her device included separate pockets for the breasts and was fastened by hook and eye closures, but she apparently failed to successfully market her invention.
Polly was the first to patent an undergarment named 'Brassiere,' which derived from the old French word for 'upper arm'. Like the bras that most of us wear today, her design had shoulder straps that attached to the bra’s upper and lower corners, but it also had wrap-around laces which tied in the front, allowing the wearer to wear gowns that were cut low in the back. It was wireless so it didn’t offer much in the way of support. In her application, she noted that her invention was “well-adapted to women of different size” and was “so efficient that it may be worn by persons engaged in violent exercise like tennis.” She received her patent in 1914, the same year that she married Peabody.
It was an invention whose time had come, not only was the fashions less restrictive but during WWI, the U.S. Government requested that women stop buying corsets to conserve metal. Polly named her new company the Fashion Form Brassiere Company which was located on Washington Street in Boston. There with a staff of two, Polly began manufacturing her wireless bra. While Polly managed to snag a few orders from department stores, her business never really took off. Her marriage to Peabody was also failing. They had two children, but Peabody came back from the war with two unfortunate hobbies: drinking and watching buildings burn. Polly fell hard for another blue-blooded, hard-drinking WWI vet named Harry Crosby. Their affair scandalized New York and Boston society but Polly didn’t care. Her office space provided cover for her trysts with Harry. In 1922, Polly divorced Peabody and quickly married Harry, who had no taste or interest in conventional business. Since he had a generous trust fund, he discouraged her from working and convinced her to close the business. Later, she sold the patent to the Warner Brothers Corset Company for $1,500 (about $20,000 today). Warner’s then went on to make over $15 million dollars with the design over the next 30 years before they eventually phased out the design.
After their marriage in 1922, Polly (now renamed Caresse thanks to Harry) and Harry moved to Europe were they led a “mad and extravagant life,” filled with drugs, drinking and numerous affairs on both sides. Their decadent lifestyle lasted until Harry’s murder/suicide with his young lover, Josephine Noyes Rotch in 1928 (and that’s a whole other scandalous story!). Caresse continued her writing and publishing work with Black Sun, the publishing company she had founded with Harry. During its years of operation, it published everyone from D.H. Lawrence, Archibald MacLeish, and Henry Miller to Ezra Pound.
In 1937, she married Selbert Young, a retired football player and sometime actor who was 18 years younger, and moved to Washington, D.C. where she opened an art gallery and started a magazine called Portfolio. After her third marriage collapsed, she spent her final years in Rome, where she planned to create an artist colony. She died in Rome in 1970, at the age of 78, but she lived long enough to see the bra go through a number of transformations (although unfortunately not Victoria’s Secret million dollar bras!). How ironic that something that was meant to liberate women, was later seen as a symbol of oppression!
Wednesday, December 28, 2011
LES SCALPERS D'OTTAWA MÉCONTENTS : «LE CH, ÇA NE VAUT PLUS D'LA MARDE !»
Comme douche froide, ça en a été une glaciale ! Les partisans des Sénateurs d'Ottawa ont vu leur équipe (en particulier leurs gardiens de buts et leur défenseurs, qui sont d'ailleurs parmi les plus faibles de la LNH) s'effondrer au compte de 6 à 2 devant les CHaudrons, représentant la capitale mondiale des morons, Mourial. Après avoir vu leurs favoris dominer les CHieux en début de match, ils n'en croyaient pas leurs yeux lorsque ceux-ci ont marqué trois buts sans réplique, sur leurs quatre premiers tirs au filet. Ayoye ! Mais malgré ce cinglant revers, les fans des Sens n'étaient pas les personnes les plus malheureuses dans les environs du domicile de leur club. Non ! Les plus découragés et les plus frustrés, sur la Place Banque Scotia, c'étaient les scalpers, qui ont fait chou blanc en tentant de revendre leurs billets sur le marché noir avant la partie. Eux qui, d'habitude, lors des visites du torCHon à Ottawa, peuvent obtenir jusqu'à $ 500 pour un billet valant $ 100, eh bien, ils ont été chanceux hier lorsqu'ils ont pu s'en défaire pour $ 125. Certains ont blâmé la menace d'une tempête de neige pour expliquer ce manque d'intérêt de la part des fefans moronréalaids, ordinairement présents en grand nombre et prêts à vendre leur mère pour se procurer de précieux billets leur permettant d'encourager follement leur CHicolore. D'autres revendeurs, plus réalistes, mettaient plutôt la faute sur les CanaCHiens eux-mêmes, un club poche, qui ne vaut plus de la marde, et ne fait donc plus monter les enchères pour les billets donnant le droit de les voir à l'oeuvre. Nous les anti-habs, ça fait près de vingt ans qu'on sait que le torCHon c'est un ramassis de restants en reconstruction perpétuelle... Que leur personnel assigné au recrutement est constitué de crétins. Que leur direction est pourrie. Cela a pris du temps pour que ça se vérifie sur le marché noir, mais c'est fait maintenant ! Le Caca n'attire plus que les pires bipolaires dans la masse des fefans hydrocéphales (têtes d'eau).
Oui, il fallait les voir ces cons dans les estrades, fous comme des balais car, non seulement leurs laissez-passer ne leur ont pas coûté chers, mais ils ont pu célébrer une rare victoire de leur bande de "losers". Un vrai cadeau de Noël en retard... Premier gain de leur "head coach" Cunneyworth et festin pour plusieurs joueurs des Habitants qui n'avaient pas marqué de but depuis belle lurette. Comme Cammalleri, un premier filet après dix matchs de famine. Comme Plekanec, qui n'a que trois buts à sa fiche dans les seize dernières rencontres. Comme Subban, qui déjoue le gardien adverse une fois à tous ses cent lancers à côté de la cible. Comme Lars Eller, qui a parti le bal pour la CHiasse en égalant le pointage 1 à 1 alors que sa gang était à court d'un homme (infériorité numérique). Sans doute, ses coéquipiers sur le banc se sont dits : si un nul comme Eller peut marquer, chacun de nous peut le faire aussi ! Ataboy ! C'était ça le plus amusant en écoutant la description du match d'hier à la télé. Chaque but était commenté en étant mis dans l'éclairage du contexte de la disette que traversait presque chaque marqueur du Caca. Fort révélateur de la saison de misère que connaissent les Canassons de MortYial !
La météo pouvait bien annoncer une tempête ! Pour que les Canailliens marquent six buts, une première cette saison, il fallait bien qu'il tombe de la marde. Et de la marde il y en a eu : pluie, neige, grésil, verglas... Une belle bouette ! Et il devait sûrement y avoir quelque chose d'anormal dans l'air pour qu'un joueur de la CHnoutte (Pacioretty, essayant de mettre un doigt dans l'oeil de Lee, photo ci-dessus) trouve le courage (ou la témérité) de se battre. On ne se souvenait même pas de la dernière fois où un CHieux avait jeté les gants autrement que pour feindre une blessure, se décrotter le nez ou se poignez le cul à deux mains. Dans le vestiaire après la joute, Pédé Subban avait la tête enflée comme une citrouille et il pavoisait parce qu'il avait enfin fait allumer la lumière rouge d'un autre but que le sien. Pourtant, en défensive, il a été à son égal coutumier : c'est-à-dire affreux. Notamment sur le but de Spezza, et sur bien d'autres jeux où il a donné le disque à l'adversaire. Dans ces cas-là, son tata Price ou un coéquipier ont sauvé les meubles, les Sens n'ont pu capitaliser sur l'erreur, ou Subban a été chanceux de s'en tirer sans mal. Pas de quoi s'afficher comme une super star en jouant le gars "cool" et au-dessus de ses affaires. Quel prétentieux ridicule !
Le plus drôle c'est qu'au début du troisième vingt, même avec une avance de trois buts pour le Cacad'CHien, les lèche-culs de RBS (le réseau de BS de la CHiure) avaient encore la chienne en songeant à la fâcheuse manie du club des Molson de s'effondrer en fin de partie. D'autant plus que les Sénateurs étaient revenus de l'arrière plusieurs fois cette saison durant le troisième engagement. La confiance était loin de régner chez les putes de la CHiasse... On peut le comprendre aisément ! Bon, mettons, les guenilloux en ont gagné une... Ça leur arrive parfois... La loi de la moyenne, sans doute (même si la "moyenne" n'est jamais forte chez les CHaudrons). Mais ça ne signifie pas qu'ils peuvent coller deux victoires de suite ! Ils l'ont fait très rarement durant la présente campagne. Ils peuvent très bien finir l'année 2011 en queue de poisson, en Floride, contre le Lightning et les Panthers ! Et en janvier, pas de chance : ils disputent huit de leur onze joutes au Centre PouBell. Là où ils jouent comme des pieds et gagnent un match sur trois... Le pire rendement à domicile de toute la Ligue Nationale... À ce train-là, le Caca sera éliminé à la fin du mois !
Tuesday, December 27, 2011
Scandalous Women Gift Guide: GemFatale
You can take a peek at http://etsy.com/shop/GemFatale. And readers of Scandalous Women can receive a 10% discount. Just mention the coupon code "scandalouswomen" when you order.
Sunday, December 25, 2011
LE TEMPS DES DINDES PAS DE TÊTE EST ARRIVÉ : «HALTE-LÀ, HALTE-LÀ, HALTE-LÀ, LES CANADIENS, LES CANADIENS, HALTE-LÀ, HALTE-LÀ, HALTE-LÀ, LES CANADINDES SONT LÀ !
Bonjour c’est moi Monsieur Gauthier, (Bis) Est-ce que ça vous tente d’être choqués? (Bis) Est-ce que vous êtes des loosers? (Bis) Est-ce que vous êtes des fefans? (Bis) On vient d’en perdre 5 d’affilées! (Bis) Pis v’la Ottawa pis Tampa Bay (Bis) On se fait battre par n’importe qui Pis mes amis c’est pas fini! PK Sulbanc (Bis) – Martin Dehors (Bis) – Price sur le banc (Bis) – Tout l’monde dehors! Pis les journalistes qui disent: “C’t’un club de din-des din-des din-des, Tiens vl’a Gomez prend aussi Kaberle, Un club de din-des, din-des, din-des, Les Saintes dindes bleu-blanc-roug’, Oui je les emmerd’rai encor’ longtemps!” (BIS) La métropole est en émoi (Bis) Et à Québec, nous on festoie (Bis) Le club végète dans le sous-sol (Bis) Jacques-e Martin lui y ri-i-gole (Bis) Les défaites s’accumuuuuuuuulent Pis à chaque partie on nous encuuuule! PK Sulbanc (Bis) – Martin Dehors (Bis) – Price sur le banc (Bis) – Tout l’monde dehors! Et pis Randy lui qui nous dit: It’s turkey club-e, club-e, club-e shit Gauthier give me some forwards, It’s turkey club-e, club-e, club-e God damn turkeys of Montreal When the fuck will I win a game, When the fuck will I win a game, Plus tard on sera éliminé (Bis) Quelque part vers la mi-février (Bis) Nos partisans sont en joualvert (Bis) Pour oublier, y boivent d’la bière (Bis) La Molson passe de travers, pis le Centre Bell sera désert! PK Sulbanc (Bis) – Martin Dehors (Bis) – Price sur le banc (Bis) – Tout l’monde dehors! Pis les journalistes qui disent: “C’t’un club de din-des din-des din-des, Tiens vl’a Gomez prend aussi Kaberle, un club de din-des, din-des, din-des, les Saintes dindes bleu-blanc-roug’ “C’t’un club de din-des din-des din-des, Tiens vl’a Gomez prend aussi Kaberle, un club de din-des, din-des, din-des, les Saintes dindes bleu-blanc-roug’, oui je les emmerd’rai encor’ longtemps!” Oui je les emmerd’rai encor’ longteeeeeeemps! |
Friday, December 23, 2011
À PART DE LA HONTE IL N'Y A RIEN DANS LE BAS DE NOËL DES FEFANS DU CH
Le Cacanadien est en pleine débandade. À ses pauvres partisans cocus, comme présent pour Noël, le club des Molson a offert son pire match de l'année en s'inclinant 4-0 devant les Jets à Winnipeg. Hormis la honte, il n'y a rien dans le bas de Noël des fefans ! Les cadeaux ce sont plutôt les anti-habs qui les accumulent ces temps-ci au pied du sapin. Si Scary Price et ses coéquipiers ont fait des cadeaux dernièrement, c'est aux équipes adverses. Hier, le 3e but des Jets en était tout un. Sur le jeu, notre vieux chameau Hal Gill a pris toute une tasse de café dans sa zone pendant que deux autres CHieux étaient aux premières loges pour voir leur gardien se faire passer un sapin sous le bras droit. Une magnifique offrande du temps des fêtes enveloppées dans de papier luisant avec un ruban CHicolore dessus. Mathieu Darche a résumé la situation de son équipe de broches à foin en déclarant après la partie : «c'en est rendu une joke». Nous ici, ça fait longtemps qu'on le dit. C'est même la raison d'être de ce blogue. On aime s'amuser. Et quelle meilleure façon de le faire que de rire des CHaudrons de Mourial, les prêtres de la rondelle du "peuple à genoux" de la métropauvre ! Et ce n'est pas fini, le plus drôle est probablement à venir lorsque l'état-major du Caca démantèlera ce club de pique-pique, au cours des prochaines semaines. Se débarrasser de leur bois mort ? Les boss des bécosses CHicolores auront bien du mal à le faire. Aucun club ne voudra ramasser leurs deux de pique qui sous-performent tout en étant sur-payés... D'habitude, c'est la spécialité du torCHon de fouiller dans les poubelles pour ramasser les restants de tables des autres. Pas l'inverse... Les fefans vont se désâmer encore longtemps... Et nous, les anti-habs, on va se payer leur tête d'hydrocéphales dans tous les partys du temps des fêtes, cette année ! Qu'est-ce qu'on va se marrer de les voir boire comme des trous pour oublier les déboires de leur équipe de merde ! C'est le temps des Canadindes ! Dans les histoires qui se conteront pour rire autour du sapin de Noël cette année, ce ne sont pas des farces de newfies que l'on entendra, ce sont des jokes au sujet de Mourial et de ses vauriens de Cannes à CHiens. Quel bon temps nous aurons en trinquant aux insuccès de la CHiasse. Le paradis bien avant la fin de nos jours ! Le paradis maintenant ! Ha ! Ha ! Ha ! Et à Québec, lorsque nous récupérerons les Nordiques, notre SEULE ÉQUIPE NATIONALE FRANCOPHONE, l'ambiance dans notre nouvel amphithéâtre sera du tonnerre comme celle qui prévaut à Winnipeg. Ce sera à notre tour d'humilier Mourial et son minable club de pousseux de puck.
Au début de la présente saison, je me demandais quelles nouvelles façons les Habitants inventeraient pour perdre et nous faire rigoler. On en a vu une hier alors que la CHiasse a passé la moitié de la deuxième période en avantage numérique sans même menacer le filet des Jets. Durant un jeu de puissance de quatre minutes, ils ont lancé une fois au but (un tir de 103 pieds de Campoli !) alors que leurs opposants ont tiré trois fois sur Price en profitant de descentes à trois contre deux ou à deux contre un, même s'ils étaient à cours d'un homme ! Inimaginable ! Du jamais vu ! C'est vous dire à quel point les CHieux sont démoralisés, désorganisés, confus, dépourvus de talent et indifférents au sort de leur équipe. Une bande de perdants sans détermination, sans fierté, sans leaders. Aucun sentiment d'urgence face à leur situation périlleuse. Toute la planète Mourial était sans dessus dessous après l'annonce que Subban et Eller seraient relégués dans les estrades et ne seraient pas habillés pour la partie d'hier. Mais qu'est-ce que les fefans leur trouvent à ces deux joueurs inférieurs à la moyenne ? La propagande et le lavage de cerveaux qu'ils subissent année après année est-il si terrible que ça pour les aveugler à ce point ? Faut croire qu'ils sont des victimes consentantes des "mentalistes", des hypnotiseurs et des illusionnistes de l'organisation du Cacad'CHien. Vous croyez que Eller et P.K. étaient malheureux d'être punis et de ne pas jouer ? On les a aperçus en train de rire durant la rencontre. Scary Price, lui, ne se bidonnait pas. Livré à lui-même, se débattant comme il le pouvait pour éviter que le score monte à 7 ou 8 à zéro, il s'est précipité vers la sortie alors que s'égrenaient les dernières secondes au cadran. Il n'a même pas attendu la sirène finale ! Faut-il qu'il soit écoeuré ! Ha ! Ha ! Ha !
Une autre chose que les anti-habs avaient prévu, c'est que Tomas Kaberle ferait patate avec la CHnoutte. Gauthier est allé le chercher pour remettre en marche le jeu d'impuissance de ses canassons. Résultat : avant l'arrivée de Kaberle, l'attaque massive du CH était au 28e rang de la LNH avec un taux de réussite de 12,5 %. Après l'arrivée du sauveur portant le dossard no 22 : le power play est 29e avec un pourcentage de 12,3%. Et vous ne savez pas encore la meilleure ! Il paraît que la direction du torCHon songerait à ramener Bob Gainey dans un rôle plus actif (directeur général ou entraîneur, ou les deux !) au sein de l'équipe. Ce n'est pas une farce ! La rumeur court. S'il fallait... Mais rien n'est impossible avec le CH ! Qui vivra verra ! En attendant, je souhaite à tous mes lecteurs, un très joyeux Noël ! Les anti-habs sont garantis d'en avoir tout un ! Prenez un verre à ma santé ! Je ferai de même ! Yeahhhhhh !
Thursday, December 22, 2011
APRÈS LE PRINTEMPS ARABE, L'HIVER FEFANS ?
Une autre émeute de fefans avec ça ? Pourtant, au début des années 2000, quand le Bleu, Blanc, Merde avait été vendu à un Américain (George Gillett), pas un mordu de la CHiasse n'avait été choqué. À la grande surprise de l'ancien président du torCHon Pierre Boivin, qui a confié plus tard, que c'est lors de cette vente du CH à un Yankee qu'il a été le plus stressé durant son long séjour à la tête de l'administration de l'équipe... Il craignait la réaction des médias et des partisans francophones des CHaudrons... Il est vrai que Gillett (un gars sans le sou qui avait fait faillite quelques années auparavant) s'était payé les Habs avec l'argent des contribuables, un prêt avantageux pour lui, consenti par le gouvernement provincial. Les fefans n'ont pas bronché non plus lorsqu'ils ont su que le DG de leurs ex-glorieux, Pierre Gauthier, est un fier résident du Vermont. Démontrant un manque de solidarité exemplaire envers son pays d'origine, Peter préfère payer moins de taxes et d'impôt en demeurant chez l'Oncle Sam. Les partisans de la Sainte Guenille n'ont pas non plus déclencher de tempête, ne serait-ce qu'une petite tempêtette dans un verre d'eau, en entendant Gauthier affirmer sans gêne, qu'à talent égal il ne se sentait pas obligé de choisir un joueur québécois plutôt qu'un étranger. Parmi les revendications du Mouvement Québec Français, on note aussi la demande faite aux autorités du CH de cesser de faire jouer de la musique d'ambiance anglophone durant les matchs au Centre PouBell. Diffuser des rigodons ou des chansons francophones pendant les parties ? Encore un moyen de décourager encore davantage les joueurs presque tous anglophones du Cacanadien d'accepter d'évoluer devant les fans bipolaires de la CHiasse, même en étant sur-payés...
Au plan hockey, rien de nouveau à signaler. Vous pouvez relire mon billet d'hier. C'est du pareil au même. Hier à Chicago, un effondrement en deuxième moitié de partie et P.K. Subban qui s'illustre encore par son jeu pathétique. Faut-il s'étonner de voir le torCHon ne jouer réellement que la moitié des matchs ? Non ! Parce que les CHaudrons n'ont que la moitié d'une équipe ! Au moins la moitié des défenseurs ne sont pas du calibre de la LNH. Et la moitié des joueurs d'avant ne sont pas assez grands, forts ou talentueux pour compétionner parmi les hommes du circuit Bettman... De moitié en moitié, si vous soustrayez les blessés (et ceux qui jouent blessés comme Cole) et ceux qui se poignent le beigne en attendant de changer d'organisation, il ne vous reste que le quart du quart d'un club normal et...beaucoup de bois mort ! Pauvres fefans ! Pauvre Cunneyworth ! L'hiver va leur paraître une éternité ! De toute façon, qui croyait vraiment que le torCHon gagnerait à Boston ou à Chicago ? Personne, même si les Hawks avaient joué une partie épuisante, la veille, à Pittsburgh. Ils n'ont eu besoin que de deux buts en 21 secondes en 2e période, pour écarter les CHieux de leur chemin. En 3e, la bande d'incapables de Mourial n'était plus là. Trois lancers au filet des Blackhawks défendu par le montréalais Crawford. Au sommaire de la joute, des 21 tirs de la CHnoutte, huit appartiennent à Pacioretty, dont un seul a été vraiment menaçant. Toujours rien de dangereux non plus venant du bâton de Mike Cammalleri. C'est pas des farces, on commence à le comparer à Scott Gomez !!! Ayoye ! Quant au peu fiable Chris Campoli, on a appris que la direction du Cacad'CHien chercherait déjà désespérément à l'échanger à un club dont les hommes de hockey sont aussi incompétents que ceux de Mourial. Pas facile à trouver, croyez-moi ! Si le club poCHe des Molson perd au moins trois des quatre derniers matchs à l'étranger lors de la période des fêtes, ça va brasser encore plus lors de la manif du 7 janvier dans la métropauvre moronréalaise.
Ce soir contre Winnipeg, ce ne sera pas de la tarte pour les CHieux. Les Jets se souviennent de leur défaite humiliante (5-1) contre le CHicolore lors de leur ouverture locale au mois d'octobre. Ils voudront se reprendre. Ils ont une excellente fiche de 6-1-1 chez eux en décembre (11-5-1 au total en 2011). Leur dossier au cours de leurs dix dernières parties et également fort reluisant : 6-3-1 contre 3-4-3 pour la CHarogne. Scary Price protégera la cage du bleu, blanc, merde. Ce qui n'est guère rassurant pour Cunneyworth et les fefans puisqu'il a perdu ses trois derniers matchs en allouant une moyenne de 4,08 buts par partie. En regardant un peu plus loin, vers la fin du voyage, les CHaudrons affronteront les Panthers de la Floride, qui ne sont plus une proie facile comme avant. Même de prochains rivaux comme les Sénateurs d'Ottawa jouent assez souvent du bon hockey par les temps qui courent. Peu importe l'adversaire ces jours-ci, les faibles Canailliens ne peuvent se permettre de le prendre à la légère... Avec la moitié du club qui est constitué de simples passagers qui rêvent d'aller voir ailleurs s'ils y sont, «y en aura pas de facile» comme disait Claude Ruel, un ancien entraîneur francophone du CH, dont la langue devenait bleue quand il enguirlandait ses joueurs après de mauvaises soirées...
Tuesday, December 20, 2011
IL JOUE COMME UN TOTON : P.K. SUBBAN L'IDOLE DES ANTI-HABS !
On ne peut même plus compter le nombre de ses erreurs, de ses gaffes, de ses cafouillages, de ses bévues, de ses clowneries insignifiantes, de ses déclarations stupides, de ses conneries... Combien de défaites a-t-il coûtées aux CHaudrons de l'Île aux génies moronréalaise (la plus grande concentration mondiale de ti-jos connaissants au kilomètre carré) ? Combien de précieux points perdus au classement à cause de la machine à revirements no 76 du Caca ? Une quantité innombrable... Il y a deux ans et demie, l'organisation CHicolore claironnait que notre homme, le flamboyant et l'intarissable pie, P.K. Subban, était un joueur de franchise, un futur récipiendaire du trophée Norris, la 8e merveille du monde... Au lieu de ce Bobby Orr version 2.0, on nous a livré un joueur poche qui régresse de match en match, de saison en saison, de chutes en rechutes... Les anti-habs ont la chance extraordinaire de l'avoir pour pouvoir rire encore plus des échecs et des revers du torCHon. Cette chance est d'autant plus formidable que P.K. est adoré par les fefans puisqu'il est un des rares porte-couleurs de la CHiasse qui leur donne un spectacle, c'est-à-dire un certain "retour" sur le fort prix de leurs billets qui, sinon, seraient payés en pure perte... Cette énorme popularité de Subban empêche peut-être la direction de l'équipe de le retourner dans la Ligue Américaine ou de le recycler en placier, dans les gradins; ou en essuyeur de café renversé, sur la galerie de la presse... Oui, Piqué des vers Subban joue comme un toton. Pour cette raison, il mérite toute notre reconnaissance et peut-être même le titre de L'HOMME DE L'ANNÉE du site CH COMME DANS CHAUDRONS. Encore hier, à Boston, l'idole des anti-habs a été un des principaux artisans de la défaite du bleu, blanc, merde. Grippé, a-t-on appris avant la partie, il était encore plus faible que d'habitude. Faible de corps, et faible d'esprit (simplet)... Voulant mettre un peu trop de moutarde en levant une patte pour faire une passe par en-dessous à un coéquipier qui ne l'attendait pas, notre "hot-dog" national (-2) a plutôt passé le disque à l'ennemi, sur le but de Krejci. Des bévues semblables, il en commet à la tonne, sans mentionner les dizaines de fois où il perd l'homme qu'il doit couvrir, ou encore toutes les occasions où il se retrouve sur la glace, sur son gros cul... Il est vrai que, dans ces derniers cas, c'est souvent voulu de sa part ("diving" comme dirait monsieur l'unilingue anglophone Randy Cunneyworth). Bref, s'il n'y avait pas de Pitou Subban, il faudrait l'inventer ! Pour le plaisir des anti-habs ! C'est drôle, les journaliCHe-culs, à la solde de la CHarogne, ont arrêté de dire et d'écrire que Subban était un dieu sur patins... Maintenant, ils le critiquent parfois avec virulence. Nous ici, on a pas attendu aux calendes grecques pour voir clair et dénoncer cet autre prospect sur-évalué du Cacad'CHien. On l'a fait dès sa première saison sous la grande tente des brasseurs de pisse de Molson.
Hier, les Bruins se sont contentés de faire leur ouvrage. Pas besoin de trop se forcer pour se débarrasser des mouCHerons de MORTyal. On était loin du massacre de 6-0 de la saison passée. Un match où les éventuels champions de la Coupe Stanley s'étaient défaits de leurs complexes face à la CHiasse, en les écrasant aux points et avec leurs poings. Le match de l'année pour les anti-CH ! On s'en souviendra longtemps ! Un rêve ! Dommage que Lucic ait été suspendu pour la joute d'hier. Ce broyeur d'os de CHieux aurait ajouté au spectacle avec ses placages percutants et ses empoignades faisant sortir les ouïes de la tête de ses adversaires. À leur 22 dernières sorties, les Bostonnais ont mis en banque 39 points sur une possibilité de 44. Phénoménal ! Pendant ce temps, les CHaudrons ont chuté à neuf reprises, à leurs douze dernières stations sur leur épineux chemin de croix... Un vrai calvaire ! Et on en redemande de la torture de martyrs de la Sainte Guenille ! Surtout demain soir avec Peter Budaj dans les buts, contre les redoutables guerriers armés de tomahawks, des Blackhawks de Chicago. Avec les défaites qui s'accumulent comme la neige en hiver, la ferveur des jusqu'auboutistes fefans du Caca semble baisser à petit feu. Hier, au lieu d'être des milliers à polluer le TD Garden de Boston, ils n'étaient qu'une poignée (100 ou 150 colons, selon les calculs de certains observateurs) à faire rire d'eux par les braves partisans des Bruins. On ne sait toutefois pas si, comme les Bostonnais, ils ont hué Subban et se sont moqués eux aussi de Price en criant : "Caaaaaaarey, Caaaaaaarey, Caaaaaaarey" quand le gardien du torCHon a imité les maladresses de son chum P.K.. J'aurais aimé que le club de Claude Julien enfile une couple de buts pour décourager les Habitants et ainsi ouvrir possiblement les écluses, pendant l'avantage numérique de quatre minutes obtenu grâce à la punition décernée à Leblanc. Ce dernier avait coupé Patrice Bergeron au menton, avec un bâton trop élevé. En passant, le Québécois portant le no 37 pour les Bruins, a encore joué tout un match en défensive. Le meilleur attaquant défensif de la LNH, sans aucun doute...
Parlant de Québécois, David Desharnais a connu une soirée difficile. Notamment dans les cercles de mise au jeu où il a compilé une fiche atroce de 2 en 15 (13%). Il faut dire que Pacioretty, son compagnon de trio, ne l'aide pas (il a toujours aussi peur de Chara, voir photo ci-dessous). Il en arrache énormément depuis qu'il est revenu au jeu après sa suspension de trois matchs pour avoir cassé le nez de Kris Letang. Il se cherche. Comme si c'était lui qui avait subi une commotion cérébrale ! Erik Cole, l'autre membre du trio, n'a pas été efficace non plus, avant son but en toute fin de rencontre. C'est surtout parce qu'il a été très ralenti en première période quand Dennis Seidenberg l'a pincé d'aplomb. Un jour ou l'autre, Cole va tomber au combat... Il joue dangereusement... S'il faut que les CHieux le perde... Cunneyworth a continué de faire du trio de Plekanec son trio numéro 1. Le temps de glace du trio de Desharnais a donc été réduit. Le résultat est le même : le CHicolore marque entre zéro et deux buts par partie. Andrei Kostitsyn est entré dans le "dog house" du nouvel instructeur en chef de la CHiure. Il ne s'est traîné les patins que pendant onze minutes et demie sur la surface glacée du TD Garden. Lars Eller l'autre prodige annoncé par Pierre Gauthier, n'a pas impressionné Cunneyworth hier. Lui et le grand espoir des fefans, Louis Leblanc, n'ont presque pas joué en troisième période... À cause du but qu'il a marqué contre son ancienne gang, et à cause de la crise qui vire à l'envers la planète hockey de Mourial, vous pensez bien que l'ex-CHieux Benoît Pouliot avait le sourire facile après la joute. Disant se sentir bien, Pouliot a affirmé ne pas en revenir encore d'avoir la chance incroyable de jouer pour un club champion. Ce qui ne lui était encore jamais arrivé... Quel supplice aurait-il eu à endurer s'il était demeuré dans la métropauvre... Il peut bien rire !
L'histoire de la nomination d'un entraîneur unilingue anglophone chez les Mountreawl Americans (j'ai déjà écrit un article au sujet du fait que le CH n'est pas notre équipe nationale, c'est sur mon blogue JOURNAL INTIME D'UN ANTI-HABS EN FEU -voir ma liste de blogues à droite-, voir le lien de l'article dans la section des billets les plus lus, dans la marge de droite du site), a pris une tournure politique et raciale. Quelle bouffonnerie ! Qu'est-ce qu'on s'amuse à voir tout le monde s'empêtrer dans ce vaudeville ! Et Geoff Molson qui vient de condamner Cunneyworth à échouer en écrivant dans un communiqué qu'il était important que le "coach" des Habs sache s'exprimer en français. Ça signifie que Cunneyworth est là en attendant de lever les pieds à la fin de la saison (peut-être avant !). Quel message est-ce que ça envoie aux joueurs ? Pourquoi écouteraient-ils leur nouvel entraîneur ? Pourquoi se fendraient-ils en quatre pour lui, sachant qu'il n'est qu'un bouche-trou ? Ceux qui sont déjà paresseux de nature, vont dormir encore plus au gaz... Les gros salariés, qui ont des contrats à long terme, vont patiner sur des oeufs en ayant seulement pour but de ne faire que le minimum et, surtout, de protéger leur santé en évitant les blessures. Comme des rats, ils vont quitter le navire avant qu'il coule. Que restera-t-il de la formation du torCHon, pour tirer la charrette ? Quels joueurs auront pitié de l'infortuné Cunneyworth ? Une poignée de bouche-trous comme lui ! Ceux qui veulent sauver leur job. Ceux qui ne se fichent pas d'être échangés dans une vente de feu advenant une spirale descendante de plusieurs défaites consécutives qui va mettre les fefans en crise bipolaire...
Ils me font bien rigoler les fefans qui appellent au boycott de la camelote du CH pour punir Molson de son manque de respect à leur égard (c.f. instructeur unilingue anglophone). Comme si dans les vingt dernières années, ils n'avaient pas déjà promis cent fois de passer aux actes en buvant autre chose que de la bière Molson, et en déchirant leurs billets de saison... Des promesses d'ivrognes oui ! Il y a une liste d'attente (elle-même payante) de cinq ans pour les billets de saison. Comme les fefans ont la mémoire courte, et que le temps finit toujours par arranger les choses, Geoff Molson peut bien se cacher dans son bureau en attendant que la tempête passe. Il y a bien les joueursnalisssssssses qui s'énervent et qui crachent dans la soupe, trop contents d'avoir enfin de la copie après avoir souffert pendant plus de deux ans avec l'ennuyant Jacques Martin comme seule maigre denrée à se mettre sous la dent. Voyant tout ce déchaînement médiatique et cette folie collective; voyant ce guêpier et cet environnement malsain, est-ce que Patrick Roy sera vraiment intéressé à se retrouver comme aubergiste en chef dans cette auberge à cochons ?
Monday, December 19, 2011
Scandalous Women in London: The First Actresses
From the web-site: The First Actresses presents a vivid spectacle of femininity, fashion and theatricality in seventeenth and eighteenth-century Britain. Taking centre stage are the intriguing and notorious female performers of the period whose lives outside of the theatre ranged from royal mistresses to admired writers and businesswomen. The exhibition reveals the many ways in which these early celebrities used portraiture to enhance their reputations, deflect scandal and create their professional identities.
Intriguing no? The exhibition mentions the fact that, in the beginning, actress and prostitute were seen as synonymous. Indeed, many of the early actresses had aristocratic protectors, Elizabeth Barry & The Earl of Rochester, Nell Gwyn & Charles II, Dorothy Jordan & The Duke of Clarence. Also many actresses including Elizabeth Farren, ending up marrying their lovers, albeit after their wives had died and the heirs had already been secured. Elizabeth Farren married the Earl of Derby, and Lavinia Fenton, the Duke of Bolton.
Looking at the portraits, one can see the rise of celebrity culture. Just as today, photographers like Annie Leibovitz are known for their celebrity portraits, artists like Reynolds, Gainsborough and Romney painted all the leading actresses of the day. And then there was the celebrity memoir, many of the leading actresses of the day wrote books about their lives which were eaten up by the public.
This lovely actress is Dorothy Jordon (1761-1816), one of the foremost comic actresses in London in the 18th century. Born in Ireland, Dorothy was also the mistress of the Duke of Clarence (the future King William IV), and the mother of his 10 illegitmate children, the Fitz-Clarences. For 20 years, she was not only his mistress but she also supported him and their children, since his civil list allowance did not cover his extravagant lifestyle. After the death of Princess Charlotte, the daughter of the Prince Regent, died in childbirth, the Duke dumped Dorothy and married a German princess in order to secure the line of succession. He and Queen Adelaide had no children who survived, paving the way for Queen Victoria. When Dorothy went back on the stage to support herself, after he left, he took her children away. What a prince!
This is Lavinia Fenton (1708-1760) who played Polly Peachum in the first ever performance of John Gay's The Beggar's Opera. Lavinia became the mistress of the Duke of Bolton, and then married him after his wife's death. Not bad eh?
This beauty is Mary Robinson (1757-1800), also known as Perdita after the role that she played when she met the Prince of Wales (future George IV). She was briefly his mistress, but the relationship was fleeting. Mary eventually gave up acting to write poetry and plays. Mary had a long affair with Banastre Tarleton who didn't really treat her well. Unfortunately she is not as well known as she should be. ALL FOR LOVE by Amanda Elyot is a historical fiction novel about Mary Robinson.
This is one of 2 portraits of Nell Gwyn (1650-1687) that are in the exhibition. The 2nd portrait was just recently attributed to her. I admit that I have a fondness in my heart for Nell Gwyn. Apart from his Queen, Catherine of Braganza, and his sister Minette, I think Nell is the only mistress who truly loved the King for himself and not for what he could do for. She never demanded a fancy house or jewels for herself, the only thing that she demanded was that their children be cared for, and given the same titles that his other bastards were given.
Ah Sarah Siddons (1755-1831), the Meryl Streep of the late 18th and early 19th century. There are several portraits of Sarah in the exhibition. She came from a theatrical family, her parents were actors, and her siblings also went on the stage, the most well known being her brother John Philip Kemble. Mrs. Siddons was not a success when she made her debut in London as Portia in Merchant of Venice and a few other roles. Whether it was nerves or lack of experience, she was soon sent packing. In fact, she spent several years in the provinces after her disasterous debut, honing her craft until she finally came back in triumph several years later. While Dorothy Jordon,Peg Woffington and Frances Abington were known for their comedic roles, Sarah was a tragedienne bar none. One of her most famous roles was that of Lady Macbeth.
There were several other actresses included in the exhibit including women who were known more for operatic roles than acting, although most actresses of the period were expected to be able to sing a little as well as dance. They also had to provide their own costumes! One of the actresses included in the exhibit is Elizabeth Inchbald who gave up the stage to write plays. She was well acquainted with William Godwin, and was not happy when he hooked up with Mary Wollstonecraft and then married her. The exhibit explores the "breeches" roles that were so popular in the 17th & 18th century. These roles allowed women the freedom to go on stage dressed like men, but it also caused a stink because they weren't covered up!
I had no idea how many actresses at that time extended their careers by picking up the pen. I wish some enterprising theatre producer would devote a season to reviving one of Mary Robinson or Elizabeth Inchbald's plays, even if it was just in the staged reading format.
While I was at the museum, I also made a pilgrimage to see Mary Wollstonecraft and Emma Hamilton's portraits in the museum. One of the displays concerned Princess Charlotte of Wales and the future Queen Victoria. While looking at the portraits of Queen Victoria, I was struck by how much Prince Andrew's daughter Princess Beatrice looks like her.
Afterwards, I went to the National Cafe for the Lady Hamilton tea which included a plum Bellini. Unfortunately they served the tea, not using loose tea, but with a tea bag! Considering the tea cost me a whopping 21 pounds, I thought it a bit much. On a lighter note, the scone with clotted cream was awesome!